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Chapitre 24 : braguette folle vs mi-anglais round 2 (partie 1)

Je commence à réfléchir à des choses importantes, comme ma tenue pour mon rendez-vous de demain, lorsqu'on arrive à mon immeuble.

Après les salutations d'usage avec Amir, je rejoins mon logement. Sur le palier, je croise Madame Logui qui de toute évidence est déçue de me voir seule.

Dans le calme de mon appartement, j'effectue mon rituel habituel pour retrouver ma forme de licorne.

Lorsque je m'apprête à me glisser dans mon lit, je reçois un appel de Tony.

— Allô ? Tony ?

— Salut, Charline, me répondit-il joyeusement, je ne te dérange pas ?

— Euh... Ben, j'allais me coucher, mais non.

— Cool ! il faut que je te raconte ! J'ai commencé à parler à une fille sur le site et j'ai pris en compte ta remarque : je lui ai tout dit. Et elle n'a rien ! Du coup, j'ai rendez-vous avec elle samedi !

— Waouh, c'est trop bien ! dis-je, heureuse pour mon futur ex-plan Q.

— J'avoue que j'ai un peu les genoux qui claquent, dit-il en rigolant nerveusement.

— Oh il ne faut pas !

— Je ne pensais pas que ça passerait alors, je... bref...

— Tu es tendu ?

— Grave, répondit-il en poussant un petit soupir anxieux.

— Elle te plaît ? demandé-je avec le sourire.

— Ouais...

— Tu es trop mignon, dis-je en m'autocâlinant.

Il rit doucement avant de commenter :

— Ça me fait une belle jambe.

— Et avec deux tu pourras mettre un short !

— Euh...

— Pardon, je me suis emportée. En quoi puis-je t'aider ?

— Ben... euh... est-ce que je fais maintenant ?

— Ben tu fais comme avec moi, tu trouves un lieu de rencard, tu y vas, tu es charmant...

— Ah je suis donc charmant, s'amuse-t-il.

— Oui, dis-je toute sourire en repensant à notre premier « rendez-vous ».

Il rit nerveusement avant de demander :

— Ça l'a fait le coup du mec sexy et désolé d'être en retard ?

— Carrément, m'amusé-je

— Tu es trop gentille.

— Mais... Bon bref, reste dans la même lignée : sois naturel et honnête.

— Mm...

— De toute façon, si c'est pour du long terme, autant te montrer tel que tu es dès le début non ?

— De la part de la fille, qui porte des talons de 10 cm et une bonne dose de fond de teint, se moque-t-il.

— Roh !

— Excuse-moi, je n'envisageais pas être désagréable, ce que je dis c'est que : même si tu es fatiguée, tu es très belle sans maquillage.

— Merci, c'est gentil, dis-je en ne sachant plus trop si je dois lui en vouloir ou pas.

— Non, c'est juste vrai, déclare-t-il naturellement.

Je sens un picotage de visage imminent, mais je n'ose rien dire.

— Bon ben, je vais te laisser te reposer. Je crois que tu as un tête-à-tête demain ?

— Oui, en début de soirée, et toi ? C'est quand, du coup ?

— Samedi midi.

— Ah...

— Quoi ?

— J'ai rendez-vous avec un autre gars samedi midi...

— Waouh ! Madame met les bouchées doubles ! Tu me raconteras !?

— Ouais, toi aussi... fis-je mollement.

— Bien sûr ! Euh attends... Qu'est-ce qu'il y a ?

— Ben tu ne trouves pas ça bizarre qu'on se soutienne autant alors que... ben... Tu es mon plan Q, quoi...

Il explose de rire dans le combiné et je me sens vaguement idiote d'avoir verbalisé ainsi ma pensée.

— Non, non, je trouve ça trop cool et puis on n'est pas vraiment un plan Q, toi et moi. On n'a jamais couché ensemble.

— On aurait pu !

— C'est vrai, et on serait beaucoup moins tendu à l'heure actuelle tous les deux.

— Roh Tony.

Il esclaffe de nouveau et cette fois-ci je le suis. Si j'avais peur qu'il m'en veuille de chercher sérieusement un homme, tout doute est dissipé.

— Tu es vraiment une personne à garder dans son entourage, s'amuse-t-il.

— Je prends ça comme un compliment.

— C'en est un ! m'assure-t-il.

Sur ses bonnes paroles, nous nous saluons et je sombre quasi immédiatement dans les bras de mon amant le plus fiable : Morphée.

La journée de vendredi s'écoule avec une lenteur déconcertante. Je suis comme un lion en cage, je finis la jupe de Simon, je nettoie mon atelier, mes machines, je passe mes nerfs sur quelques fournisseurs dont mes commandes ont du retard.

Je sens qu'Amir m'évite pour ne pas s'en prendre une à la volée.

Finalement, un peu après l'heure du goûter et alors que j'ai changé quarante fois d'idées de tenues, Amir me somme de partir.

— Tu feras la clôture ?

— Oui.

— Tu te souviens qu'on doit entendre les deux cliques avant de boucler la grille et n'oublies pas de verrouiller la porte de derrière !

— Oui, oui, ce n'est pas la première fois que je ferme la boutique, s'amuse-t-il.

— Je sais, mais...

— Allez patron ! Et profite bien de ta soirée, me dit-il en me poussant vers la sortie avec la jupe de Simon dans un sac cabas.

Une fois dehors, je souris en me disant qu'Amir a raison : il faut que je me calme.

Je regagne donc mon appartement pour me préparer.

Devant mon miroir, je repense aux paroles de Tony hier soir sur le fait que je sois plus belle sans artifice.

Je laisse ses mots s'insinuer en moi et je ferme les paupières. Rapidement, je vois un film accéléré de mes récentes mésaventures amoureuses : Lise en train de me tourner le dos après m'avoir plus qu'émoustillée... Simon est sa photo de profil mensongère... Et je ne sais pas trop pourquoi, une des madeleines de Charles-Hub'.

Lorsque je rouvre les yeux, je suis déterminée ! J'attrape un leggings noir et un de mes T-shirts larges qui me tombe sur une épaule.

Je passe dans la salle de bain me débarbouiller, enfile une paire de converses blanche, une veste et après un coup de bon vieux stick à lèvres, je suis prête.

Je me regarde dans le miroir de ma chambre une dernière fois, avant de prendre mes affaires, direction un modeste café un peu plus bas.

Simon m'attend déjà attablé à l'intérieur. L'endroit est un bistrot standard parisien avec un long bar sombre, entouré de petites tables plus pâle et de chaises en bois. Les lumières rondes et chaudes pendues au plafond réchauffent le lieu ainsi que les éclats de voix joyeux des clients.

Mon acheteur/ prétendant travaille sur un ordinateur portable à une table près de la baie vitrée. Il a ouvert un bouton de sa chemise blanche ainsi que son pourpoint gris clair assorti à son pantalon. Ce qui lui donne un air sexy et décontracté. Je le vois foncer les sourcils derrière son écran en se passant la main dans la toison rebelle.

Je me félicite intérieurement d'intéresser un aussi beau spécimen.

Sans un bruit, je me faufile sur la chaise en face de lui. Il relève doucement les yeux vers moi et rapidement les traits de son visage s'adoucissent.

Il tape encore sur quelques touches, puis ferme son ordinateur pour le glisser dans un sac à dos en cuir marron posé à côté de lui.

— Salut, me dit-il de sa voix sensuelle.

— Salut, répondis-je en me concentrant pour ne pas atteindre la combustion spontanée.

— Tu es très belle, commente-t-il faussement intimidé.

— Oh... Merci, je voulais que tu me voies au naturel... me justifié-je mollement en retirant ma veste.

— C'était une bonne idée, affirme-t-il en regardant mon épaule dépasser de mon T-shirt nu de toute bretelle de soutien-gorge.

Hé hé et là tu te demandes : mais comment tient une aussi imposante poitrine !? Ça mon gars, tu le sauras pas ! m'amusé-je intérieurement.

— Je suis désolé, je n'ai pas pris le temps de me changer...

— Ce n'est pas grave, j'aime bien les pourpoints...

Il me sourit largement avant de me proposer de passer commande.

J'adopte pour un thé de piètre qualité et une gaufre un peu sèche hors de prix, mais ce n'est pas dramatique. L'important c'est que je passe un agréable moment avec mon candidat.

Il est de très bonne compagnie et sait me faire rire sans trop en faire.

D'un coup, je me rappelle qu'il est encore mon client :

— Oh, mais au fait ! m'exclamé-je en fouillant dans mon sac cabas. Voici, ta commande !

— Oh merci !

Il prend la jupe enveloppée dans du papier fin.

— Je vais la passer aux toilettes pour vérifier, mais je suis sûr que c'est parfait, me dit-il avec un clin d'œil.

— OK, je t'attends ici. C'est encore un peu tôt pour que je t'y accompagne, plaisanté-je.

— Ne brûlons aucune étape, approuve-t-il.

Pendant son absence, je sors mon portable pour faire un compte-rendu de ce début de rendez-vous sur la conversation de groupe. Oh combien, il est charmant, les petits trucs que je trouve mignons chez lui comme quand il prend cet allure faussement timide... Je résume ses blagues...

Je le savais, on a un challenger, commente la Nazgûl.

Ne nous emballons pas ! s'exclame Joy. Il a l'air pas mal, mais il y a Peter demain et il est mieux.

Mm, je reste neutre et je dis savoure Charly !!! m'encourage Caleb avec plein de pouces vers le haut.

C'est là que Simon réapparaît, il dépose un chaste baiser sur mon front avant de se rasseoir.

— Elle est parfaite, merci beaucoup. Je te fais un virement ?

— Oui, s'il te plaît.

On règle la partie paiement et je mets mon portable en silencieux pour pouvoir profiter au mieux de ce rendez-vous.

— Au fait, dis-je en rangeant l'appareil, tu m'as dit que tu souhaites la porter sur scène, mais... Je ne sais pas trop ce que tu fais comme musique en fait...

Il rit doucement avant de sortir son téléphone et une paire d'écouteurs :

— j'ai des échantillons si tu veux, me propose-t-il.

Je m'équipe et il me fait écouter trois chansons différentes, un genre de rock soft, une plus rythmée et un mélange de rock-métal. Je dois avouer que j'aime assez.

Je le complimente sur sa musique en lui rendant son matériel. Il reprend cet air faussement timide et hausse les épaules comme si ce n'était pas grand-chose.

— Ce n'était pas moi qui chante, mais je suis co-compositeur avec le guitariste.

— Waouh ! Quand même, m'émerveillé-je.

— Oh tu lances ça pour être gentille...

— Tu es un faux humble, toi, dis-moi, m'amusé-je.

— Non, non... Vas-y continues à m'encenser, plaisante-t-il en tirant sur le col de sa chemise.

On pouffe tous les deux puis il redevient sérieux.

— Tiens, dit-il, c'est le flyer pour notre prochain concert si ça te tente...

— Ouais, merci !

Je prends le prospectus et le glisse dans son sac.

— Ça te dit qu'on se débarrasse de tout ça et qu'on aille se dégourdir les pattes ? me propose-t-il.

— Pourquoi pas, approuvé-je toute sourire.

On se lève, je passe ma veste et Simon me tourne le dos pour rassembler ses affaires. Je ne sais pas s'il l'a fait exprès, mais je profite de la vue d'un magnifique fessier rebondit légèrement moulé dans le tissu tendu de son pantalon. Miam ! se réveille mon cerveau coquin.

Il se redresse et je détourne le regard comme si de rien n'était.

— Je suis prêt, déclare-t-il en jetant son sac sur une épaule et en me faisant signe de le précéder.

Je m'exécute ravie de ce geste de bienséance. Lorsqu'on arrive au niveau du bar, chacun paye sa part avant de se diriger vers la sortie.

Cette fois-ci, il me devance, l'action de tout à l'heure était-il une simple coïncidence ?

Il ouvre la porte et se met sur le côté pour me laisser passer :

— Vas-y.

— Oh merci, ça sera plus facile comme ça pour regarder mes fesses, m'amusé-je.

Il soupire avant de déplorer :

— Si seulement cette veste n'était pas si longue.

Je lâche un petit éclat de rire pour récompenser son humour et il m'adresse un large sourire.

Une fois dans le froid de Paris, il me prend délicatement la main et m'entraîne sur la gauche.

— Je suis stationné de ce côté, m'explique-t-il.

— Oh ! Tu as une voiture ?

— Seulement pour le week-end. Je l'ai loué, j'ai deux mariages en banlieue et diamétralement à l'opposé. Habituellement, je suis en scooter, mais il est au garage.

— Ah...

On ne parle plus jusqu'au véhicule, une berline grise typique des agences de prêt.

Sur le chemin, je profite du contact de nos mains entrelacées. La sienne est douce, large et chaude.

Étant à plat dans mes chaussures, je me rends compte de notre différence de taille : au moins 20 centimètres je dirai. Il n'est pas si grand que ça pour un homme, mais vu ma petitesse, ce n'est pas grave.

On se jette de courts regards de temps à autre avec un demi-sourire charmeur/ charmé. On apprécie simplement la présence de l'autre sans sentir le besoin de combler chaque silence.

À la voiture, j'en profite pour laisser le sac cabas vide devenu encombrant. On part déambuler sans but précis dans les artères de Paris. C'est tellement agréable, on tombe sur des petits recoins auquel je n'avais jamais prêté attention.

Simon me montre un Paris juste à côté de chez moi que je découvre. Il attire mon regard sur des peintures de rue aux coins de carrefour, de petites sculptures faites dans les bancs du mini-parc ou encore sur d'étranges plantes qui poussent sur un balcon.

On finit par décider de prolonger avec un dîner. Étant dans un quartier que je ne connais pas et lui peu, on fait le pacte d'entrer dans le premier restaurant que l'on trouve.

On tombe sur un établissement asiatique à la décoration classique et j'ai une petite pensée pour Jian. Il faudra que je lui raconte tout à lui aussi !? Je vais peut-être tout coucher sur papier histoire de ne pas avoir à me répéter.

Je m'amuse intérieurement de mon idée alors qu'on nous apporte la carte et des serviettes chaudes pour nous débarbouiller. Je me demande vaguement ce que peut bien tramer mon serveur/ Uber/ apprentis psy en cet instant en regardant un panneau ornemental. Il représente des montagnes et des cerisiers en fleurs. Puis mes yeux croisent ses de mon compagnon pour la soirée, j'oublie tout le reste.

On passe un bon moment autour de goyza et de chirashi, le menu B3 en somme.

Simon me fait rire avec ses anecdotes sur les mariées exigeantes et sur les mariés au bord du divorce anticipé.

— Mais non, c'est pas possible, m'amusé-je, un couple ne peut pas se parler comme ça à deux jours de son union !

— Si, si, je t'assure ! J'ai cru que j'allais devenir chèvre alors j'ai ce que faisait ma mère quand j'étais petit et qu'on se disputait avec mes frères.

— C'est-à-dire ?

— J'ai souri de toutes mes dents, je me suis placé légèrement en retrait et j'ai crié ; du sang ! Du sang !

J'explose de rire avant de demander :

— Il s'est passé quoi ?!

— Ils se sont stoppés et sont devenus rouges de honte.

— Non !?

— Si ! Et après, ils ont fait comme si de rien n'était, d'après le rabbin j'ai sauvé le mariage !

Je pars de nouveau en fou rire et il me suit avant de commenter :

— J'en ris aujourd'hui, mais sur le coup c'était vraiment prise de tête.

Je me calme doucement et essuie une larme devant l'air ravi de mon interlocuteur.

— À toi, raconte-moi un truc ?

— Quel genre de chose ?

— Je ne sais pas, n'importe... Mais ça doit être drôle !

— Mm...

Je réfléchis avant de lui relater mon dernier plus gros mensonge en date.

*

C'était à Noël dernier, j'étais restée dans la capitale avec mon duo infernal pour les fêtes.

Le 24 décembre tombait un samedi cette année-là et ça faisait trois jours que j'étais très malade.

Par miracle, j'avais trouvé un médecin et un rendez-vous de libres.

Malheureusement toutes les pharmacies du quartier fermaient exceptionnellement à 17h30 et bien sûr j'étais sorti équipé de mon ordonnance à 17h45.

Sans réfléchir, j'avais foncé jusqu'au centre commercial le plus proche.

Dans la galerie, que je connaissais par cœur, les vitrines s'assombrissaient les une après les autres. Je m'étais mise à courir dans les allées quasiment dessertes, chargées de décorations de Noël à deux pas de l'établissement convoité les paroles « all I want for Christmas is you » (* tout ce que je veux pour Noël c'est toi) avaient commencé à retentir et je m'étais alors rendue compte que c'était effectivement mon souhait le plus cher pour le réveillon.

Devant l'officine un vigile typé asiatique m'avait arrêté :

— Désolé madame, on ferme à 18h et il est 18h00.

Épuisée, j'avais tenté le tout pour le tout en lâchant un juron en chinois.

— Tu parles chinois, madame ? m'avait-il demandé, interloqué.

— Oui comme mon mari, avais-je essayé sachant bien que aussi blonde que moi je ne pouvais prétendre à autre chose.

Il avait regardé à droite puis à gauche avant de me pousser à l'intérieur en disant :

— OK, vas-y, c'est bon, madame.

— Merci que les ancêtres te protègent.

Sans un mot, il me salua et fit un signe de tête à la femme mécontente du comptoir.

*

Quand j'y repense, j'ai un peu honte de ce mensonge, mais mon compagnon semble trouver l'anecdote à son goût.

— Excellemment, dit-il en se tordant de rire. Il a vraiment fait ça.

— Ouais...

— Mais comment ça se fait que tu parles chinois ?

Aïe, on arrive à la partie où je vais devoir lui dire pour mes parents et de mon éducation douteuse pour futur hérité/ élite.

Je resonge à ce que j'ai dit à Tony sur le fait de ne rien cacher et je lui déballe tout. Il semble un peu étonné par moment, mais s'abstient de tout commentaire.

Quelque part, ça me fait du bien de tout avouer à quelqu'un qui ne me connaît pas.

La discussion repart sur des sujets plus frivoles et nous ne faisons pas attention au temps qui passe.

Ce n'est que lorsque le serveur nous annonce la fermeture imminente que nous regardons nos montres.

— Si vous voulez, nous avons un bar attenant pour finir la soirée, propose le jeune garçon avec trois poils au menton.

— Merci, mais on va y aller, déclare Simon.

Il m'adresse un pauvre sourire en m'expliquant :

— Je bosse demain...

— Pas de problème, répondis-je sobrement.

Une fois la question de la note réglée, il m'offre gentiment de me raccompagner et sa main retrouve naturellement sa place dans la mienne.

J'aime bien Simon, sa présence, son contact, sa voix, tout à un côté douillet comme un bon bol de chocolat chaud avec des marshmallows après le ski.

On passe à sa voiture chercher mon sac cabas avant de se diriger vers mon immeuble.

— C'est moi ou tu marches de plus en plus lentement ? demandé-je, au bout de quelques minutes.

— Mm c'est possible en effet...

— Ah ?

— C'est pour retarder le moment fatidique, m'avoue-t-il avec son petit air faussement timide qui me donne chaud.

Au pied de mon logement, il me lâche la main pour mettre les siennes dans les poches.

— On y est, commenté-je classiquement.

— Ouais, dit-il en oscillant légèrement d'avant en arrière.

— Bonne nuit, dis-je.

Beaucoup plus nerveux que je ne l'aurais imaginé, il franchit le pas qui nous sépare et se penche vers moi. Il plante ses yeux dans les miens et me demande fébrile :

— Je peux ?

***

Coucou tout le monde !

Eh oui, elle a décidé de couper le chapitre ici hi hi hi ! (⁠≧⁠▽⁠≦⁠) Alors ? A votre avis, quelques sont les plans de Simon ? Il a demander la permission pour... (⁠ʘ⁠ᴗ⁠ʘ⁠✿⁠)

Pensez-vous qu'il prend la tête ou que Peter a encore ses chances après ce rendez-vous ? ¯⁠\⁠(⁠◉⁠‿⁠◉⁠)⁠/⁠¯

J'espère que vous allez bien et que ce début d'année n'est pas trop dur. (⁠✿⁠^⁠‿⁠^⁠)

Xoxoxoxo

Cam

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