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Chapitre 1 :

L'odeur du petit déjeuné me réveille de plein fouet. Mon estomac crie famine avant même que je ne lève la tête de l'oreiller. La veille j'ai dû sauter le diner à cause d'une dispute avec Lisandro. Le midi je n'ai pas pu gouter au bon plat que m'a préparé Lise, ma servante, à cause des gamineries de Syan et ses amis. Je m'étire les bras, les jambes. Ma bouche est asséchée. En me voyant dans le miroir, j'aperçois mes cheveux en bataille.

Je me précipite en dévalant les escaliers pieds nus.

- Attention mademoiselle, m'avertit un servant, vous allez blesser vos beaux pieds encore jeunes, à marcher n'importe où.

C'est vrai qu'à Niopheria, les gens ne sont pas tout à fait comme nous. Petite je pensais qu'ils nous haïssaient parce que l'on était d'un différend monde, mais en fin de compte c'est beaucoup plus compliqué que cela. Par exemple, le corps des femmes humaines diffère de celui des Niopherianes. Elles ressemblent plus à un homme, même si leur sexe reste le même. Les poitrines n'existent pas à Fourthia. Je trouve que ça ôte le charme d'une femme. Mais pour nous, humaines vivant dans ce monde, ça nous rend la tâche compliquée de les cacher pour ne pas attirer l'attention. Surtout pour Noor et moi.

- Pardon, je réponds en virevoltant pour l'esquiver, je mettrais mes chaussons la prochaine fois !

Les Niopherians, quant à eux, on les reconnait de, un, grâce à leur marque sur la paume de main. Chaque royaume à son propre insigne. Celui de la Terre représente une rose entourée de ronce. Celui du feu n'est autre qu'une flamme, le vent représente le début d'une tornade. Quant à l'eau, ils n'ont pas cherché trop compliquer, et ont opté pour une goute. Le signe de la terre est quand même le plus joli. Je trouve que c'est celui qui reste le plus falsifier à mon gout.

Je me précipite devant mon assiette. Le cuisiner vient de déposer deux œufs et un pain Niopherians. Lisandro est en face de moi, il sirote son café, la tête dans le papier que lui à amener son messager. Il l'abaisse en me voyant baver devant mon assiette, tellement que mon estomac parle, en me conseillant :

- Tu aurais dû manger hier soir, sauter les repas n'est pas bon pour tes entrainements et ta prise de muscles.

Ses yeux verts me fixent déglutir l'œuf sur le plat, en entier. C'est aussi l'une des particularité des habitants. Chaque citoyen à des yeux différent en fonction d'où il vient. Les yeux verts pour la Terre, les yeux rouges pour le feu, bleus pour l'eau et gris pour le vent. Or moi, je suis un cas à part, comparé à mes demi-sœurs, je possède des yeux verrons. Un œil qui est de couleur vert, l'autre de couleur bleu. Lisandro a déjà pensé à aller chercher des lentilles dans le monde humain, mais j'ai refusé. Pourtant, Lise ma servante, lui en a déjà piqué. Si je dois faire partie de Fourthia, je ne veux pas cacher mes origines. Mais mes yeux ne m'ont pas simplifié les choses avec les gens de la cour. Surtout avec le prince royal. Juste le fait que son existence travers mes pensées, m'hérissent les poils de colère.

- C'est la querelle d'hier qui te permet de me fusiller d'un regard noir ? Me demande-t-il en haussant les sourcils, voyant mon visage afficher une mauvaise mine. Tu sais très bien que je ne veux pas que tu te places à la haute cour, Liv, pas encore.

- Je sais, je mens.

Ah et ils ne savent pas mentir. Lisandro nous l'a appris dans les cours d'espionnage qu'il effectue à nous quatre. C'est pour cela qu'il nous a recruter nous des humaines, on lui a prêter serment de ne pas lui mentir à lui, mais aux autres, oui. Bon, il s'avère que cela m'est déjà arrivée de ne pas respecter cette promesse, plusieurs fois. Si un jour notre identité venait à être révéler, on pourrait nier toute cause nous impliquant. La ruse est un bon atout dans ce monde cruel.

- Ce n'est pas l'histoire d'hier soir qui m'énervent, père, juste le fait que mon repas de la veille ne sera pas le même aujourd'hui...

- Tu as trouvé bon ce que t'a cuisiné Lise ? M'interroge-t-il, en remettant sa tête dans son papier.

- Oui, j'aimerais avoir le même encore si possible...

Il n'a pas le temps de me répondre, que Yoshiko et le reste des filles descendent ensemble. Yoshiko et moi avons presque le même âge. Elle a juste un an d'écart. Elle est plus grande en termes d'âge, mais en termes de taille je la dépasse. Je suis donc la petite dernière. Mais on s'entend comme des âmes sœurs.

Elle vient se poser à côtés de moi en regardant mon assiette de travers.

- Je ne comprends pas comment tu fais pour manger des aliments humains, alors que l'on a ça ici.

Elle désigne une noix chocolatée. C'est un aliment que l'on casse en deux, pour venir faire couler de la noisette directement sur le pain. Au début je trouvais que la noisette avait meilleur appétit que le nutella. Mais plus j'ai grandi, plus j'ai trouvé cela... écœurant.

- Chacun ses passions, je babille, mais moi je préfère nourrir mes muscles que ma graisse.

Je lui lâche un clin d'œil moqueur. Elle me tire la langue. Lisandro nous empêche d'aller plus loin :

- Les filles un peu de tenu, vous n'avez plus huit ans...

- Non vous en avez dix-huit et dix-neuf, et pourtant on dirait des gamines, rajoute Noor en se plaçant au fond de la table.

Noor n'a jamais réellement apprécié Lisandro. Elle le méprise pour ne pas lui laisser le droit de devenir chevalière de la cour. Mais même avant cela, elle faisait en sorte de nous faire faire un abondant d'absurdité, pour le mettre en colère. Maintenant elle s'abstiens de le faire, mais elle garde toujours ses distances avec lui.

- Laisse-les, renchéri Belle déjà préparé pour le cours d'espionnage qu'elle va suivre. A leur âge, tu faisais encore beaucoup de bêtise Noor.

Même si Noor n'a que vingt et un an, elle n'a pas beaucoup d'écart avec Belle qui en a vingt-trois. Pourtant, je n'ai pas souvenir qu'elle nous faisait subir ses tortures de potion magique. Car oui, ici on peut pratiquer la magie. Ce n'est pas donné à tout le monde. Tous les Niopherians en n'ont pas l'accès. Et les humains encore moins. Noor est un cas rare. Même Lisandro était sous le choc quand il a découvert qu'elle pouvait manipuler la Terre. C'est une autre particularité de chez Fourthia. Les quatre éléments peuvent être manipulés par les êtres aptes à recevoir la bonté. La famille royale elle, les a gratuitement. Mais le reste, il faut gagner le cœur de la Terre pour l'acquérir. Je ne sais pas comment Noor l'a gagné. Mais elle ne veut pas nous le révéler et le garde secret. Surtout que la bonté, ce n'est pas vraiment son truc.

- Qu'est-ce que t'as à me mater depuis tout à l'heure Liv ?

Je ne me suis pas rendu compte que je la fixais. Je déglutine mon pain à la saveur de Rose, pour m'enfuir en direction de ma chambre.

- Je fais si peur que ça ? Quémande Noor au loin.

Je ne m'attarde pas plus en bas et à sa réflexion. Lise m'attend pour me coiffer et m'apprêter pour la séance d'entrainement à la chevalerie. Moi aussi je veux devenir chevalière. D'où la dispute avec Lisandro, quand j'ai dit qu'un jour je passerais le concours. Mais je ne le ferais pas pour les mêmes raisons que Noor. Je ne veux pas me battre pour Niopheria, mais pour retourner dans le monde des humains. Les seules personnes à avoir le droit de mettre un pied sur Terre, c'est la famille royale et tous les postes qui y sont proches. Je me suis dit, que je devais opérer pour la garde royale. Si la chance est avec moi, peut être que la reine m'autoriserait à aller faire un tour là d'où je viens. Mais il y a plusieurs inconvénients, d'un Lisandro, qui ne me laissera pas concourir. De deux, il y a de forte chance que je ne sois pas la garde de la reine. Je ne choisirais pas. Mais je prie chaque soir pour ne pas être la garde du prince Syan... J'en fais même le signe de prière avec mes mains, actuellement, juste en pensant à cela.

Lise toque à ma porte, je la laisse entrer. Elle amène ma tenue de préparation, réparer à neuf. La dernière fois, Elio le prince de feu, à tester sa magie sur moi. Heureusement que la rivière est à cinquante mètres du terrain d'entrainement. J'ai évité la mort. Mais les vêtements n'ont pas été épargné.

- Voici vos nouveaux accoutrements, mademoiselle.

Je m'active de les enfiler, pour que Lise puisse s'occuper de ma coiffure. Mon moment préféré de la journée, où je peux lui dévoiler tous mes secrets sans qu'elle n'en parle à personne. C'est une servante humaine, après tout.

- Avez-vous pu parler de votre envie de participer au concours à votre cher père ? me demande-t-elle en commençant ma couronne de tresse.

- Non je n'ai pas eu encore l'occasion, mais je crains qu'il refuse. Vous connaissez Lisandro. Il ne souhaite pas que l'on devienne chevalier.

Elle me coiffe les cheveux d'une délicatesse... cela me procure des frissons dans tout le corps.

- Pourquoi ne pas attendre et passer le concours comme un concours blanc ?

- Vous le savez ! Je veux juste, retourner chez nous...

Je deviens nostalgique à chaque fois que l'on me dit de reculer un peu plus mon rêve. C'est ma seule motivation, ce rêve. C'est lui qui me pousse à aller de l'avant tous les jours. A supporter les moqueries et commentaires désagréables des Niopherians, à m'entrainer jusqu'à ne plus pouvoir marcher le lendemain... Parfois le fait de me raccrocher qu'à cela, m'évite de sombrer.

- C'est chez nous ici, Liv.

Cette phrase m'accable. C'est faux. On nous a forcé à vivre ici. Je veux juste retourner la d'où je viens. Est-ce si dur à comprendre ?

Je ne dis plus un mot avant de sortir dehors avec mon panier repas. Le même que celui d'hier, accompagnée de Yoshiko. Nous suivons les mêmes cours elle et moi. Noor et Belle ont fini depuis peu. Elles se consacrent dès à présent, entièrement à l'espionnage.

- Tient, tu as la même chose qu'hier, remarque Yoshiko en soulevant le drap qui cache la nourriture. La chance, j'aurais aimé le gouter aussi son repas à Lise.

Elle dit cela, car Yoshiko et moi, sommes les souffres douleur de la classe. Le fait d'être les seules humaines n'arrangent rien. Les gens de la haute cour s'en prenne souvent à nous. Elle a souvent tendance à se laisser faire. Je l'ai toujours défendu. Même si elle aimerait que je ne le fasse pas, la voir se faire humilier me met en rage. Surtout quand c'est le prince Syan, il a tendance à aller plus loin pour me faire monter sur mes grands chevaux. Je bigle Yoshiko en lui adressant un regard tendre :

- Ne t'en fais pas, si quelqu'un s'en prend à notre repas, il mangera la poussière ! J'exclame d'un ton téméraire. On partagera nos repas, si cela te fait plaisir.

Elle réagit d'un sourire timide.

- Peut-être, que si tu ne réagissais plus... Ils nous laisseraient tranquille ?

- Peut-être, dis-je en levant les épaules, mais le fait de te voir à leur merci, me met hors de moi. Je n'arriverai pas à rester sens rien faire, pendant qu'on te maltraite juste pour le plaisir. Comment pourrais-je te regarder dans les yeux après ?

Je l'attrape par la taille, en signe d'affection, pendant qu'on entre dans la ville de Niopheria. Chaque marchand nous reconnait. Le fait de passer ici tous les jours, en étant plus ou moins dans un sale état, nous a permis de rencontrer des personnes incroyables. Parfois, il fallait cacher les bêtises à Lisandro, où les blessures. La boulangerie à notre droite, c'est Madame Pan, qui la tient. Elle est vieille, et un peu aveugle. Ce qui l'empêche de faire l'antinomie avec nous. Le magasin sur notre gauche, lui, c'est monsieur Yeager qui travaille ici. Il fabrique des vêtements. Il nous accueil souvent après les cours.

- Bonjour madame Pan ! Je crie dans l'allée montante au palais royale.

Elle me fait un signe de main.

- Pas besoin de crier Liv, elle n'est pas sourde...

Yoshiko est assez timide dans la foule. Avec mon caractère assez entreprenant, j'ai l'impulsion de la mettre mal à l'aise. Je m'approche de la boulangerie, pour lui acheter du pain de rose et de feu, les deux que je raffole le plus. Les gens me toisent d'un mauvais œil. Je suis assez connu ici. J'ai déjà mis la zizanie petite à cause des âneries de Noor ou actuellement à cause des princes. Depuis les gens me reconnaissent assez bien. Nous passons à côté d'un magasin qui nous a toujours fait peur, celui de la sorcellerie. On raconte que la dame qui tient ce magasin, à passer un pacte avec le diable, pour pouvoir ensorceler les gens à sa guise. Mais elle s'en est lassé, et à préférer vendre ses produits, pour prendre le plaisir de voir ses victimes souffrir. A chaque fois que je passe devant, j'en ai la chair de poule. Si un jour je devais rentrer dedans, c'est vraiment pour une bonne raison. Où tout simplement, si je suis au bout du rouleau.

Nous arrivons devant le terrain d'entrainement, situer derrière le palais. La classe entière est présente. Il manquait juste moi et Yoshiko qui avons peut-être quelques minutes de retard, à cause du pain que je mastique actuellement.

- En retard ? Lance la professeure. Et pourquoi donc ?

- Désolée, Liv à voulut acheter du pain madame, justifie Yoshiko en s'inclinant, cela ne se reproduira plus, je veillerai à ce que ça ne se reproduise plus.

Syan et son groupe nous scrute avec des rires moqueurs. Le prince se tient avec un coude sur son épée, m'envoyant un sourire joueur. J'aurais aimé lui dégoter un bon coup de pied dans cette arme, pour lui faire déguster l'herbe qu'il a déjà tenté de me faire manger. J'avale en même temps mon dernier bout de pain, quand je sens la main de Yoshiko s'appuyer sur le dos pour m'incliner à mon tour. J'étais absorbé par Syan, que j'en ai oublié la politesse.

- Pardon madame... je murmure en machant.

Elle me jauge d'un air sévère avant de finir avec une phrase :

- Au lieu de fixer le prince avec insistance, vous feriez mieux d'apprendre les bonnes manières, jeune fille.

Toutes les personnes se mettent à rire. Mes joues s'empourprent en entendant la vérité absurde. Je mets quelques secondes de plus avant de me relever, pour éviter d'attiser encore plus l'attention. Quand je me redresse, je me retrouve nez à nez avec Syan, accompagné de Elio et Ronnie, princesse des eaux.

- Alors on en pince pour moi ? Lance Syan en penchant sa tête vers moi.

- J'en pince surtout pour ma prochaine action qui consiste à te mettre à terre pendant l'entrainement, je réponds sèchement, le sourire aux lèvres.

- Dommage, tu n'y arriveras pas... Pourtant j'aurais aimé gouter la saveur de ces lèvres humaines...

Ils posent un doigt sur ma lèvre inférieur, mais je lui décroche une clé de bras, que j'ai appris à faire avec l'entrainement de Lisandro.

- Essaie pour voir, je grommèle en resserrant ma prise.

Mais ses pouvoirs rattrapent vite mon niveau. Des racines viennent s'enrouler autour de mes chevilles pour me plaquer à terre. Elio et Ronnie encourage Syan en sifflant.

- Tu ne me battras pas humaine. Tu es inférieur à moi.

Il me met en rogne. J'aurais aimé riposter, mais la professeure nous regarde au loin. Elle sait que Syan et son groupe ont tendance à dépasser les bornes. Mais elle ne fait jamais rien. Le fait qu'il soit prince, en plus de sang royal, lui permet de faire presque tout ce qu'il veut quand il veut. Ce bon à rien à autant de privilège qui le souhaite. Yoshiko s'approche de moi le visage apeuré.

- Liv ça va ? Me questionne-t-elle, en m'aidant à me relever.

Syan pointe son arme sur elle, pour lui dire de reculer.

- Oui Yo, je réponds calmement. Maintenant, arrête de pointer cette arme sur ma sœur.

- Ta sœur ? Argumente Ronnie. Vous n'êtes même pas de la même famille. Votre sang est différent ! Vous n'avez même pas de vraie famille ! On vous a repécher pour vous mettre ensemble. Ce n'est pas ta sœur.

Elle pose son bras autour du cou de Syan, pour venir caresser de sa main palmé ses cheveux blond doré.

- Pas besoin d'avoir le même sang pour considérer quelqu'un comme une sœur. Alors... Arrête, j'ordonne.

Je fixe Syan. Il me fixe avec ses yeux verts. Son petit rire en coin, il laisse tomber son arme. Si ça n'avait pas été un prince, je lui aurais dénicher mon meilleur coup de poing sur sa joue mate. Je dois juste contrôler mes émotions, pour ne pas laisser ma haine prendre le dessus.

Réfléchis avant d'agir... Avait avertie Lisandro pendant un entrainement auparavant... Si tu laisses tes émotions prendre le dessus, c'est peine perdu.

- Partons, dis Syan, on s'amusera plus sur le terrain en lui donnant une défaite exemplaire.

Je me retourne, pour examiner ma tenue. Je constate que ma belle combinaison est déjà tâchée avec la terre, dans le dos. Yoshiko me rejoint, en enlevant, à l'aide du mouchoir protégeant le repas, le plus de terre possible.

- Quand père va voir cela... Il va être furieux.

Je lui fais une grimace en guise de réponse.

- Ne t'inquiète pas, ils vont payer pour notre repas d'hier...

- Liv, arrête, me coupe-t-elle à moitié furieuse, ça va se retourner contre nous ! Pourquoi...

- Parce que je ne peux pas rester là à attendre qu'il nous marche dessus, je me justifie en marchant vers le terrain de terre, ils jouent alors je joue. Tu devrais jouer aussi.

Elle soupire. On est très différente sur ce point-là. L'avenir nous enverra vers des chemins à l'évidence, contraire. Mais en attendant je n'abandonnerai pas. J'embauche une épée en bois, posé contre un mur, pour me mettre en position de combat contre Elio, prince du feu, en face de moi. Je me relèverai autant de fois qu'il faut jusqu'à temps d'atteindre mon objectif. Cette volonté, personne ne peut me l'enlever, même pas un prince.

- A nous deux humaines, lance Elio en se jetant sur moi.

- Aller tous en enfer, je marmonne en me jetant sur lui à mon tour.

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