La main ou le récit transcendance
Olivia passa les portes de l'Hôtel de Justice en coup de vent et manqua de coincer sa cape dans les battants qui se refermaient derrière elle. Tous les regards se fixèrent sur elle lorsqu'elle lâcha un juron coloré qui détonnait avec son aspect net et respectable. Son supérieur, un homme sec comme un bout de bois doté d'une imposante moustache grise, lui adressa un sourire contrit et la jeune femme baissa piteusement les yeux. Elle s'adressa à son supérieur avec déférence :
– Vous m'avez fait appeler en urgence, commandant ?
– Positif, Drovazour. On a besoin de votre cerveau pour une enquête de la plus haute importance, suivez-moi.
– À vos ordres commandant Krizm !
L'enquêtrice suivit le chef de la police dans les couloirs labyrinthiques de l'Hôtel de Justice. Malgré les cinq années passées à travailler en ces lieux, elle n'en connaissait pas toutes les subtilités et il lui arrivait encore de se perdre. Krizm fit passer Olivia par une porte dissimulée derrière une bibliothèque et elle se retrouva dans une salle dont elle ignorait totalement l'existence.
La pièce était meublée comme tous les autres bureaux du bâtiment, de deux tables, quelques étagères croulant sous les dossiers et quatre chaises en bois. Sur l'un des sièges, face au tableau noir qui couvrait le mur opposé à la porte, se tenait un homme portant la cape blanche des Mages. Les broderies sur le col du vêtement indiquaient son lien avec un dragon. Le chef de la police dit :
– Glaneus, voici votre coéquipière, Olivia Drovazour. Olivia, vous travaillerez avec le Mage Chester Glaneus.
La jeune enquêtrice, qui s'était raidie à la mention du nom de famille du mage, laissa échapper un cri de surprise avant de s'écrier :
– Chestie ? Ça faisait tellement longtemps !
L'homme se tourna vers elle, un grand sourire sur le visage et s'exclama :
– Surprise ! Quand j'ai vu que tu allais travailler sur l'enquête, j'ai demandé à être ton binôme.
Le commandant Krizm toussota pour ramener l'attention des deux amis d'enfance sur l'affaire qui les avait réunis puis leur expliqua :
– Bien, je vois que vous avez une bonne dynamique, votre équipe sera efficace. Vous devrez enquêter sur une série de meurtres non résolus qui a lieu depuis deux ans. Onze autres équipes, toutes composées d'un mage et un enquêteur, sont sur l'affaire. Vous ne rencontrerez jamais les autres et ferez vos rapports uniquement à moi-même, dans cette pièce. J'exige un silence des plus absolus de votre part et je n'ai le droit de vous révéler les détails qu'une fois que vous aurez prêté un serment magique garantissant votre discrétion. Une fois engagés, vous ne pourrez plus revenir en arrière.
A ces lmots, Chester se permit depousser un léger rire moqueur. Cela lui valut un regard réprobateur de la part de son équipière et de son supérieur. Ce dernier lui demanda sèchement :
— Y a-t-il un problème Glaneus ?
— Non monsieur, je trouve juste cela amusant que je sois enchaîné à la magie alors que je la maitrise. Tout mage débutant pourrait se défaire de ce sort en sacrifiant l'invocateur qui l'auta scellé.
— C'est pour cela que ce sera votre maître qui scellera votre serment d'allégeance, affirma ce dernier d'un air supérieur.
— Bien, vous êtes moins stupide que vous en avez l'air, se moqua le mage.
— Taisez-vous si vous tenez à cette mission, Glaneus, tonna son supérieur.
— Oui monsieur, rétorqua polimment le jeune homme à cause de la pression que lui transmit son amie par un simple regard.
— Bien, vous irez voir maître Guispalard qui vous permettra de finaliser votre promesse. Puids vous irez directement enquêter. Je compte sur vous pour assurer la protection du royaume de Vendom.
— Ne vous inquiétez pas monsieur, nous ferons tout notre possible pour arrêter cette vagiue de meurtre. Tel est notre devoir en tant que représentants de la Justice, affirma pieusement Olivia.
— Je compte sur vous Dravazour. Même si votre coéquipier est performant, je vous ocnseillerais de ne pas le lâcher d'un pouce, recommanda le chef de la Justice.
— Ne vous inquiétez pas monsieur, j'ai l'habitude.
— Bien, vous pouvez disposer.
Une fois que les deux complices eurent reçu leurs instructions, ils allèrent voir ledit mage. Ce dernier les bénit et les mit en garde contre cette secte qui semblait autant assassiner humains que mages. Les deux jeunes gens ne prirent pas vraiment garde à ce que disait le vieillard. Une fois qu'ils étaient assermentés, ils eurent accès aux dossiers qui renfermait les actes infâmes de la secte de la Main Où le Récit Transcende. Ce qu'ils virent leur retournèrent leur estomac. Rien ne les avait préparé à voir autant d'horreurs. Les cadavres qu"avaient laissé derrière eux les membres de cette secte ne ressemblaient plus à des corps humains. La plupart des cadavres étaient éventrés, démembrés, évicérés ou mutilés. Ces actes de violence semblaient avoir été gfait avec précision. Ce qui fit soupirer Olivia. Son acolyte ne semblait pas aussi choqué qu'elle, ce qui l'étonnait. Le Chester qu'elle avait connu aurait été révulsé devant un tel spectacle. Alors que celui qui se tenait devant lui ne cillait pas d'un pouce. Elle fit donc part de son étonnement :
— Chestie, est-ce que ça ne te fait rien ?
— Si...bien sûr que si. Hélas, j'ai commencé à avoir l'hanbitudre de ce genre de chose, soupira-t-il.
— Comment ça ?
— Olivia, les magres noirs sont bien plus violents et angereux que les cirminle shumains. En général, ils ne laissent aucun survivant derrière eux. Alors ce genre de choses, aussi horribles soient-elles, je commence à en avoir l'habitude, affirma-t-il d'un air résigné.
— Oh....j'en suis désolée...., dit-elle d'un ton compatissant.
— Ne t'en fais pas, ce n'est pas de ta faute Oli, lui sourit-il.
Il disait vrai. Pourtant, elle se sentait coupable de ne pas avoir pu être là pour son meilleur ami. Enfin, ce n'était pas le moment de s'apesantir sur de tellers choses. Ils se mirent alors à étudier méticuleusement chaque scène de crimle. Ils se saisirent de toutes les preuves dont ils disposaient, mais leur affaire stagnait. Peu importe els affaires qu'ils mettaient en œuvre, ils n'arrivaient pas à coicner les ordures qui commettaient de tels crimes. Au bout de quelques semaines, après s'être confrontés à une multitude d'impasses, les deux agents de Justice furent prévenus d'un assassinat bien particulier. On avait abattu un dragon.
Source de protection des mages blancs, les dragons n'étaient pas des créatures simples à abattre. Néanmoins, elles n'étaient pas immortelles. Ce qui donnait plusieurs indices à ces deux enquêteirs. Il s'agissait bel et bien d'une affaire de magie. Et si un dragon avait été achevé, il devait sûrement s'agirt d'un froupe de plusieurs mages noirs. Cela fit frissonner d'effroi les deux amis. Le smages noirts pouvaient être les forces les plus puissantes qui existaient dans Vendom. Cela était encore plus vrai lorsqu'ils étaient en mesure de se débarasser d'un dragon.
Sans lui, le mage qui avait été privé de son protecteur perdrait tout son potentiel mafgique. Soit le mage lié au dragon rouge périrait soit il sombrerait lentement vers la folie. Rien de bon en perspective. Evidemment, Chester tenta de sauver son pair, Edwilg, mais il retrouva son corps dépossédé de vie. C'était sûrement la première fois que le mage ressentiat de la haine envers une personne. Il détestait le monstre qui avait fait subir ça à son homologue. En son for intérieur, il se promit de venger. Malheureusement, il n'avait pas prévu que cela empirerait. Plus le temps passait, plus les morts s'empilaient. Et les dragons ainsi que les mages tombaient comme des mocuhes.
De ce fait, Chester avait été placé sous protection rapprochée. Même s'il était répugné à cette idée, il n'avait pas le choix s'il voulait poursuivre cette enqu^pete. Tous ses pairs magiques étaient décédés. Pour une raison inconnue, il était le dernier vivant. Frathe, son dragon n'avait pas non plus péri. Cet enrgumène blanc était plus vieux que ceux qui avaient été décimés. Il avait déjà subi une chasse aux dragons lorsque les mages étaient considérés comme des pestiférés. C'était une époque qui était vielle de pluseurs siècles. Pourtant, Frathe n'avait pas oublié cette période et était en garde contre la moindre attaque qui pourrait l'assaillir. Lors de ladite chasse, ce n'était qu'un nourisson et il était le gardien d'un autre mage. C'était d'ailleurs lui qui l'avait protégé. Aujourd'hui, Frathe avait décidé de rendre la pareille à Chester.
C'était spurement grâce à la vigilence et à la sagesse de ce gardien que Chester Glaneus vivait encore. Ce dernier ne s'en préoccupait pas vraiment. Tout ce qui l'obnibulait était de venir à bout de ces énergumènes qui semaient la Mort presque par plaisir. Il ne semblait pas vraiment se faire du souci à propos de sa sécurité plus que précaire. Ce qui n'était pas du tout le vas f'Oliviaé. Cette dernière, au contraire, épuisait plus d'énergie à craindre pour la vie de son ami plutôt que de s'intéresser aux morts qui ont d"jà été perpétrées. Elle était cosnciente que comprendre ce qui avait motivé tous les précédents décès pourrait prédire celui de son ami, mais elle ne pouvait se concentrer à cent pour cent sur son travail alors que la vie de celui qu'elle aimait tant était en danger. C'était certainement pour cela qu'on déconseillait des proches de tra vziller ensemble. Néanmoins, cette affaire était exceptionnelle.
En effet, l'affaire était si importante qu'ils avaient engagé vingt-quatre personnes. A2ujourd'hui, il n'en restait que treize dont un liraculé. Certains hgumains qui faisaient encore partie de l'enquête avaient soupçonné Chester d'être une taupe, ce qui était normal aux yheux du mage. Il était le seul survivant parmi tous les mages embauchés. Il était logique que ceux qui avaient vu leurs collègues périr devant eux commencèrent à jacter. Néanmoins, leurs allégations étaizent fausses. Zr les deux trentenaires étaient déterminés à le prouver.
Pourtant, ils ne possédaient pas le début d'un indice. Ils avaient beau faire des recherches sur la secte de la Main Où le Récit Transcende, personne ne savait exactement ce qu'elle pratiquait comme rituels. Certains disaient qu'elle accomplissait des sacrifices au nom d'une déesse nommée Eris qui leur permettrait de décupler leurs pouvoirs. Cela impliquerait de tuer un certain nombre de personnes qui ont un lien avec l'occulte. Personne ne connaissait le nombre de victimes qui leur faudrait pour assouvir la rage de cette déesse de la Discorde. Tout ce qui était certain, c'était qu'elle était la caue de toutes ces ecistences achevées trop tôt. Personne ne savait comment l'arrêter. Cela faisait une dizaine de mois que les deux compères travaillaient avec acharnement sur cette affaire. Mais sans connaître la liste des membres de cette secte, ils n'avanceraient à rien. Ils avaient beau interrioger tous les mages noits qui avaient été recensés par l'Hôtel de la Jsutice, tous avaizent des alibis en béton armés. Tous suaf un. Et ce dernier était introuvable. Les deux jeunes gens étaient au bout du rouleau. Ils ne rêvaient que d'une chose : que ce cauchemar prenne fin.
Tout semblait perdu. Ils allaient abandonner. Après tout, ils ne voyaient pas vraiment ce qu'ils pouvaient faire d'autre. Du moins, cela fut le vas jusqu'au solstice de printemps. Alors que la nouvelle lune pointait le bout de son nez, Chester eut une vision. C'était un de ses pouvoirs. En tant que spécialiste de l'esprit, il avait l'habitude de ce genre de visions. Il pouvait autant voir le passé, le présent que le futur. Et cela n'était que l'un des nombreux pouvoirs que son maître mage lui avait permis de cultiver. Les pouvoirs les plus pratiques étant pour rlui la téléjinésie et le contrôle des éléments. Quoiqu'il en fut, cette vision était la clef qui lui permit d'assembler toutes les pièces de ce puzzle qui restait brouillé depuis si longtemps.
Durant sa transe spirituelle, il vit une maison plongée dans le noir. Il respirait assez réapidement, mais ne faisait aucun bruit. Celui oar qui il pouvait tout voir semblait être un enfant au vu de sa petitesse. Ce qu'il vit fu horrible. Il vit un homme, grand, corpulent, aux yeux verts, à la chevelure et à la barbe sombren peut-être brune....Il avait une longue cicatrice qui battait le côté de la joue qui faisait face à l'enfant. Cet enfant semblait caché dans une armoire. S'il avait voulu survivre, il ne s'attendait sûrement pas à voir la fin tragique de ses deux parents. Dès que l'étranger planta sa dafue dans le cœur du père de famille, l'hôte du mage prit ses jambe sà son cpup et courrut comme si sa vie en dépendait, ce qui n'était pas si faux que ça. Il s'onstina à mener sa course effrennée pendant plusieurs minutes avant de s'arrpeter. Pile à ce moment-là, il se mit à hurler à plein poumons.
Tout changea. Du moins, il changea de point de vue. Il ne savait ce qu'il habitait. Il devait certaineemtn se trouver dans la peau d'un animal. Cela lui arriver souvent quand il faisait ce genre de voyage astral. Quoiqu'il en fut, il vit le même homme qui avait arraché les organes de se sprécédentes victimes pour en faire une espèce de corde. D'un ton vicieux, il avait appelé l'enfant qui courrait. Et quelques secondes plus tard, il fut témoin de la mort du petit enfant. Le pire, c'était que pour le fiare tenir sur son épaumle, il l'avait attaché avec sa fameuse laisse faire de boyaux.
Revenant à lui, il trembla, les larmes aux yeux à cause de ce qu'il avait vu. Son amie le secouait et l'appelait de manière presqu'hystérique :
— Chester ? Chester ? Est-ce que tu m'entends ???
— Oui Oli, ce n'est pas la peine de me seocuer si violamment, murmura-t-il.
— Que s'est-il passé ? demanda-t-elle confuse.
— Rien de grave....Une vision...Un de mes pouvoirs..., expliqua-t-il difficilement.
— Quoi ? Non, oublie, on s'en fiche ! Qu'est-ce que tu as vu ? s'exclama-t-elle.
— Le tueur, annonça-t-il de but en balnc.
— Quoi ??? s'étrangla-t-elle.
— J'ai vu notre coupable assassiner un couple puis un enfant et ligoter ledit enfant avec les boyaux d'un de ses parents, grogna le mage impatient.
— Est-ce que tu sais où ça s'est passé ? Demanda-t-elle sérieusmeent.
— Pas vraiment, mais si on y va, je saurais y aller. C'est instinctif et compliqué à expliquer. Mais je ne sais pas si ce smeurtres ont déjà eu lieu, avoua Chester.
— Dans ce cas, nous allons tenter notre chance et prier, affirma Olivia.
C'était ainsi que les duex jeunes enquêteurs se mirent à la poursuite de ce coupable fantôme. C'était la plus grosse preuve qu'ils n'avaient jamais eu cepuis le début xdxe cette foutue boucheire. S'il y avait un infime espoir de mettre la main sur le monstre qui avait fait cema il n'y avait pas d'hésitation à avoir. Ils s'élancèrent à travers les rues de Phu, Chester indiquant le chemin à sa coéquipière qui conduisait leur voiture de focntion. Au bout d'une heure de trajet, Chester ordonna à son acolyte de s'arrêter, ce qu'Olivia fit sans broncher. Tandis que le mage s'élança prestemment à l'extérieurn Olivia prit le temps de demander des renforts. S'ils croisaient le monstre qui était l'auteur de tous ces crimes, ils auraient besoin d'aide. Ils marchèrent ensuite pendant dix minutes avant de se cachert dans une ruelle sombre et mal éclairée. Ils attendirent que le coupable vint se livrer à eux. Il fallait qu'ils tomba dans leur piège. Même si cela pouvait être une fausse alerte. Pourtant, ils finirent par voir un home châtain approcher de leur cachette. C'était l'homme qu'il avait croié dans sa vision, Chester en était sûr. De plus, il vit la carcasse d'un enfant qui devait à peine avoir huit ans. Avant que le mage ne put réagir, Olivia sortit de leur cachette et hurla :
— Police, ne bougez plus, vous êtes en état d'arrestation.
— Tu rêves ma belle.
Avant qu'il ne put tenter quoique ce soit, le mage brun fut ligoté par des lianes puissantes. Il tenta de les couper, mais à chaque foisq u'il en brpulait une, deux autres réapparraissaient, telle l'hydre de Lerne. S'il n'avait pas bougé d'un poil, Chester protégeait toujours les arrières de son amie.
Après plusieurs minutes d'attente, les renforts vinrent secourir les deux fous qui s'étaient tout droits jetés dans la gueule du loup. Quand le forcené fut menotté avec des menottes qui désactivaient les pouvoirs, il jura que son arrestation ne servirait à rien. Personne ne voulut croire à ces paroles qui résonnaient dans cette nuir presque noire. Quand les deux enquêteurs retournèrent à l'Hôtel de Justice. Quand ils y arrivèrent, on les acclama, les félciita. Leur directeur leur remit carrément une médaille d'honneur pour avoir arrêté le plus dangereux criminel qui n'avait jamais sévi dans le royaume de Vandom. Félicités de toutes paets, les deux amis n'eurent pas le temps de se parler.
Le lendemain matin, Olivia et Chester se retrouvèrent une dernière fois. Aucun des deux ne pouvait amettre qu'ils ne se reverraient certainement pas avant une éternité. Sans dire le moindre mot, les duex jeunes gens s'offrirent une étreinte amicale. Pure, cette étreinte chaste leur permit d'exprimer tout ce qu'ils ne parcenaient pas à exprimer avec leurs voix. Chester offrit un simple et doux dernier sourire à la jeune blonde. Puis il ouvrit la porte principale de l'Hîtel de Justice suivie par son acolyte qui souhaitait le suivre jusqu'au dernier instant. Quelle ne fut pas leur surprise de croiser une femme qui sembalit comme désincarnée. Quand elle vit les enquêteurs, elle s'écria d'une voix forte :
— Vous croyez être des héros et avoir arrêté le coupable. Eh bien, vous êtes loin du compte. Vous n'avez fait qu'arrêter les agissements d'un des disciples d'Eris. Ils sont plus nombreux que ce que vous pouvez imaginer. Avec le tmeps, ils resuciteront Eris et redonneront la véritable grandeur dont sont censés faire preuve les amges. Ils n'auront plus beosin de ces fotesques animaux qui leur servent de réservoir. Ils puiseornt leur force d'uex-mêmes et ne posséderont aucune limite. Vous tenerez de nous arrêter, mais vos effoets sont vains. Nous avons déjà gagné. Quoique vous fassiez, vous ne deriez que retarder notre projet. Nous sommes la seule véritable voie que els mages doivent suivre. Nous sommes la puissance et renaîtront tel un phoenix. Si vous abattez l'un des nôtres, nous le remplaceront par un autre car nous ne sommes qu'un. Nous sommes une grande famille qui cherche à tretrouver sa splendeur. Nous sommes les ténèbres que tout le monde désire embrasser sans jamais se l'aovuer. Nous sommes la Liberté. Nous détenons la vérité. Enfin, nous sommes la Main Où le Récit Transcende !
Suite à cet éloquent monologie, elle se trancha la gorge d'un geste prévis et rapide. Effrayés, els deux amis se regardèrent aussi avec excitation. Ce seul regard leur permit de comprendre qu'ils nes eraient pas séparés de sitôt. Leur mission contre cette maudite secte ne faisait que commencer.
Texte de UneZebreIncognito et KennyLaFaucheuse ,
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