La Chaventure
La vie est merveilleuse dans mon histoire, je suis le roi d'un grand Royaume avec deux grands serviteurs et trois petits bons à rien que je dois garder à mon service pour ne pas les séparer de leur famille. Le château est protégé par des murs qui me laissent quelques fissures de mur invisible pour voir à l'extérieur. Je déteste voir les esclaves poursuivre les ladys en leur faisant des actions sans aucun scrupule, leur enlevant quelques secondes de liberté dans leurs bras de torture, sans pouvoir rien faire. Les bons à rien sont seulement bons à torturer les riches et puissants leur maitre qui doivent avoir leurs doigts sales dans la fourrure et qui ne peuvent pas grogner en tant que roi. Je n'ai point envie de sortir, le monde extérieur et effrayant et il y aurait une mutinerie en mon absence, mais je voudrais protéger les gentes demoiselles des autres bons à rien. Ils attendent juste ça, les esclaves, que je sorte pour prendre le contrôle, je les observe pendant qu'il dort, ils ne le savent pas, mais c'est moi qui ai le contrôle.
En tant que souverain du monde entier, j'ai un horaire strict à respecter, sieste le matin, nourriture, rire des esclaves, détruire les choses précieuses des esclaves et ensuite sieste. La vie est belle et elle ne changera jamais, les esclaves vont rester mes esclaves pour la vie. Un jour, pendant qu'un des bons à rien me faisait mon massage habituel, la femme grande esclave me prit de force et m'envoya dans une petite prison dans une grande voiture. Je ne pouvais pas sortir, je pouvais me plaindre, mais cette sauvage ne voulait rien entendre. Je me suis retrouvé dans une pièce blanche avec une lumière. On va me faire des expériences sur mon corps pour pouvoir me contrôler ou vendre mes organes. Quand la première dame est arrivée je l'ai mordu ses mains blanches et caouchouter. Ils ont fini par me donner des trucs de force et m'observer de tous les côtés. Ils m'ont endormie de forces et, quand je me suis réveillé, je sentais un vide en moi. Je voyais la sauvage parler avec un homme à la blouse blanche, moi, j'étais dans une cage au fond d'une pièce rempli d'autres nobles, et des paysans baveux aussi. Je ne sais pas ce que je faisais là, je veux sortir d'ici, je veux retourner dans mon château, mais j'ai vu cette femme partir sans se soucier de moi. Est-ce qu'ils ont décidé de se révolter contre moi ? Impossible, je suis trop important pour eux.
Une journée entière à voir les autres partir et venir de ce cachot, la vie de noble est triste avec les rébellions constantes de plusieurs, quand mon esclave est venu me libérer, j'étais en colère et je restais cacher sous les meubles pour que personne ne me voie. J'avais honte d'avoir été battu de la sorte. Les bons à rien voulaient m'attirer avec mes jeux instructifs comme un laser ou une balle à grelot, mais rien ne me ferait montrer ma honte. Ce soir-là j'ai entendu les deux esclaves parler de la révolte sans savoir que j'étais là :
– Il n'a pas encore sorti de sa cachette, tu crois que c'était une bonne idée de le stériliser. a dit la femme
– Il urinait partout et ça allait nous coûter cher alors oui. répondit l'homme
– Je crois qu'il va s'en remettre, c'est mieux ça que le tuer.
– C'est vrai que les enfants n'auraient pas supporté.
Je sentais que mes esclaves m'aimaient. Plus tard j'ai repris mes habitudes, je me sentais toujours le maitre. Je me sentais étrange au début, comme si je n'avais plus la même prestance, mais là je vais même des fois voir le monde extérieur par moi-même, je suis le maitre de tout. Je ne comprendrais jamais leur révolution, mais c'est toujours eux à mon service et ils le resteront toujours, même si les bons à rien sont revenus avec un paysan baveux hier.
Texte de fairyvb (fairyvb )
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