Chapitre 2...
Un soir je rentrait chez moi et comme à chaque fois c'est temps si je commençais à pleurer dans ma chambre. Mais ce soir était différent, ma mère avait cognée doucement à la porte, une lettre à la main, j'avais répondu les yeux rouge après avoir tant pleurer. Ma mère intelligente m'avait laissé tranquille pour lire la lettre qui était pour moi. Elle n'avais dit qu'une chose avant de sortir: « C'est de Loïk, je t'aime ma fille. » et elle était parti. J'étais super contente, mon meilleur ami allait arrêter de m'ignorer, il voulait se faire pardonner. J'avais donc ouvert la lettre fébrile sans savoir que ce qui se trouvait dedans allait me détruire jusqu'aux plus profond de moi.
Bonjour Léa,
Tu dois être super contente pensant à ce qui pourrait ce trouvera si cette lettre, un pardon, le retour d'un ami, mais désolé tu te trompe, rien de tout ça se trouvera dans cette lettre.
J'aurais aimé te le dire en face, mais ça aurait été trop dur pour toi et pour moi. En plus, quand tu lira je serais déjà dans mon auto en direction de Toulouse. Je sais que tu va me manquer, mais en même temps ce sera une sorte de libération pour toi et moi. Essaye de m'oublier, je sais que c'est dur de te demander ça mais promet moi d'essayer. Par contre n'essaye pas de me rejoindre s'il te plais, ça va juste empirer le sentiment d'abandon que tu ressentira. Je ne te répondrai pas, même si tu m'appelle, même si tu me spam de texto, même tu me retrouve et tu sonne comme une malade chez moi. Je ne te répondrai pas...
Dans cette lettre je vais te dire ce que je ressens, ne te sens pas mal ou désolé, tu ne savais pas. Je vais te dire ce que je veux, ce que j'aurais voulu et ce que tu ne savais pas. Tu vas en apprendre plus sur moi que pendant c'est 14 année, c'est drôle non. Tu va te rendre compte en lisant cette lettre que je t'ai un peu trahi, que je t'ai menti et que je t'en ai cacher des choses. Par contre rappelle toi d'une chose, je t'ai toujours aimé.
Donc commençons par le commencement, un lundi comme tout les autres, un 22 novembre, je jouais dans la cours comme toujours quand je t'ai vu, désolé de te le dire, mais tu faisais pitier, toute seule dans un coin à lire des mangas. Je m'étais approché de toi pour te parler. Je me rappelerai pour toujours de cette discussion:
- Bonjour c'est quoi ton nom? Avais-je demander en me mettant à ta hauteur.
- Léa et toi. M'avais-tu dis en me regardant.
C'est ton regard qui m'avais charmé, celui-ci mettait ta personnalité totalement nu, les reflets orangés mettaient en valeur le brun noisette de tes yeux. Tu les a toujours détester, j'espère que ça changera un jour.
- Moi c'est Loïk. Avais-je dis en souriant.
- ...
Je sais pas à quoi tu pensais à se moment mais tu étais magnifique, ton regard vague et en même temps si perçant, une bouche serré en une expression de longue réflection, tes cheveux noirs tombant en cascade sur tes épaules, tes sourcils si bien dessiner était froncé en une expression d'incompréhension.
- Tu es nouvelle? Avais-je demandé.
- Oui. Tu avais dis en recommencent à me fixer.
- Tu n'a pas l'air d'avoir d'amis. Avais-je dis.
J'avais et j'ai encore une honnêteté sans faille, je te disait tout ce que je pensais, mais cela m'empêche pas de t'avoir cacher plusieurs choses.
- Non! Tu avais dis en me regardant.
Tu avais à ce moment un regard fâcher et blesser, je me suis tout de suite senti con de t'avoir dit ça.
- Ben alors on peu être ami! Avais-je dis tout content.
- Ok. Tu avais dis en me souriant les yeux brillants.
Et c'est comme ça que notre histoire a commencé.
Tu sais, j'en ai marre de cacher mes sentiments. Mais bon, tu n'a pas besoin de le savoir, ça va juste te faire sentir encore plus coupable. Je t'en ai cacher des choses, par exemple, j'adore la pluie et je te trouve bizarre de ne pas aimer ça. Des fois j'aurais aimé être seul, que tu me laisse tranquille, que tu dégage, mais je ne te le disais pas.
Tu étais un peu comme une drogue, j'étais addict à toi. Tu occupais toutes mes pensées, tous mes mouvements et mes pensées sont guidés par toi, je ne pensais même plus à moi. Tu sais la drogue on veut arrêter, mais on y arrive pas.
Tu n'a pas que des défauts, au contraire tu débordes de qualité, mais je ne te les dirais pas sinon cette lettre durera trop longtemps. Tu vois dans cette lettre je vais te dire tes défauts pour que tu puisse ne pas refaire ces erreurs plusieurs fois.
Je sais qu'en ce moment tu pense que je suis qu'un égoïste et c'est vrai d'une façons. Je ne pouvait plus te supporter, supporter les mensonges que je m'obligeais à dire. Je ne pouvait plus juste m'occuper de toi, comme si tu étais un chien. J'avais besoins de liberté...
J'aurais mieux fait de ne pas venir te voir au début, cela aurait été plus facile pour nous deux.
Je vais bien sûr regretter ce que j'ai fais, mais ce n'est pas ça la vie; regretter pour ensuite être libérée. Tu vois les scientifiques n'ont jamais trouver de définition pour la mort et la vie, moi si. La vie est une chance et une épreuve et la mort elle est une sorte de délivrance et conséquence. Il y a des défauts et des qualités à la vie comme à la mort.
Je sais pas ce que tu fais en se moment, si tu pleure, si tu me haï, si tu veux juste me rejoindre ou si tu t'en fou. Pour toi j'espère que ça ne te fait ni chaud ni froid, mais c'est sûrement pas ça que tu ressens.
Depuis le début de cette lettre je ne veux pas te blesser, si malheureusement tu te sent trahis oublie moi. Oui, oublie moi.
Tu sais il y a une semaine je t'ai dit que j'aimais quelqu'un et tu t'es sûrement senti trahis car je ne te l'avais pas dit, c'est normal. Je ne te l'ai pas dit car je ne pouvais pas, je ne peux pas te le dire en face, donc cette lettre va te servir de vérité. La personne que j'ai toujours aimé, pendant toute ma vie c'est...
Toi...
Je suis désolé Léa.
De Loïk, je t'aime...
J'aurais du faire comme tu me l'a demandé, t'oublier. Malheureusement je n'y suis pas arrivé et je n'y arriverai jamais.
Il y a une seule question à laquelle je n'ai jamais pu répondre: Pourquoi, pourquoi ne pas me l'avoir dit, pourquoi ne pas m'avoir dit que tu m'aimais dès le début.
Pourquoi!
Après avoir lu la lettre je m'était écroulée en sanglots. Je n'entendais pas ma mère m'appeler, je n'entendais rien sauf mon cœur qui battait en chamade. Je ne sentais pas la douleur que j'aurais du ressentir quand mes genoux c'étaient fracassés contre le plancher en bois de ma chambre, ni la chaleur de mes larmes qui coulaient sur mes joues. Je ne ressentais qu'une seule chose. Je sentais mon cœur exploser dans ma poitrine et des pointes coupantes s'éparpiller comme des fragments de verres dans tout mon corps.
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