Dans la forêt
Elle est là, si belle, si frêle. J'ai tellement envie d'elle. Ça en devient presque incontrôlable. Elle tenait sa robe relevée, me laissant une pleine vue sur ses belles et fines jambes. Sa taille était marquée par son haut et son décolleté rond me laissait entrevoir la naissance de sa poitrine.
J'avais tellement envie d'attraper ses seins, ses hanches, l'embrasser à pleine bouche, tout.
Elle va me tuer, je dois me contrôler.
Sa bouche, pulpeuse et bien rouge, rouge sang, me sourit.
- Regarde ce saule pleureur, Natsu, il a l'air si vieux...
Elle tourna autour de lui en faisant attention à ne pas tomber dans l'eau.
Elle brillait littéralement.
- Il fait tellement bon ! leva-t-elle son visage vers le ciel, m'offrant une vue incroyable sur sa nuque.
Petite sotte insouciante.
Nos regards se captèrent. J'entendais son petit cœur battre un peu plus vite. Si elle continuait à m'émoustiller ainsi, j'allais lui prendre sa vertu.
- Natsu... souffla-t-elle en faisant un pas vers moi. Tu ne trouves pas qu'il... Qu'il fait un peu chaud ?
Elle semblait tellement, mais tellement innocente... Ses deux noisettes étaient grands ouverts, ancrés dans mes yeux.
- Lucy... grognai-je, dévoilant mes canines.
Mes doigts ont bougé tout seul. Ma chemise s'est ouverte.
Je vis son regard descendre le long de mon torse.
Non, il fallait que je résiste. Elle gémit légèrement.
Je me mis dos à elle.
Je la sentis soupirer puis s'agenouiller. Intrigué, je l'observais d'un œil. Elle prenait de l'eau avec ses mains pour boire. L'eau coula le long de sa bouche, descendant dans son gracieux cou et s'échouant entre ses seins volumineux.
Je n'en peux plus.
D'un bond, je la collais à l'arbre. Elle cria de surprise.
- Natsu !
- Je n'en peux plus !
Je pris ses lèvres en otage. Cette femme me rend fou depuis le premier regard.
Elle gémit. Mes lèvres glissèrent sur sa mâchoire. Mes mains agrippaient ses hanches. Elle était complètement bloquée et à ma merci.
- Ah... soupira-t-elle d'aise.
Réconforté par ses gémissements, mes mains ont glissé vers ses seins. Ils étaient tellement compressés, les pauvres. Je me devais les libérer.
J'empoignai donc son décolleté et déchirai sa robe d'un mouvement. Elle cria de surprise, à nouveau.
Enfin. Enfin j'avais ses seins dans mes mains. Ils pesaient lourds, ils étaient bien ronds, bien tendus.
Elle était toute rouge, elle était gênée, elle ne bougeait plus.
- C'est trop tard pour regretter ma belle, me moquai-je en la portant pour la lever plus haut, la maintenant entre mon corps et l'arbre, son opulente poitrine face à son visage.
- Natsu... S'il te plaît... Je...
Je grognai et pris son sein droit en bouche pour la faire taire. Elle gémit. Je maltraitais tellement son téton, le mordant par moment, que ses jambes tremblaient. Ma main droite sur son sein gauche s'agitait, la pinçait. Je n'étais pas prêt à laisser cette poitrine tranquille. Elle me faisait de l'œil depuis tellement de temps. Cette pucelle avait vraiment une poitrine magnifique, un corps sublime. Et elle m'appartenait pour l'éternité.
Curieux, j'ai glissé la main qui la soutenait par les fesses sous sa petite culotte. Ma jolie blonde était toute mouillée, toute prête à m'accueillir. C'était le moment, toutes mes réticences partaient. Elle était vierge, mais elle ne pouvait pas le rester à vie. J'avais envie d'elle, elle avait envie de moi.
J'arrachais sa culotte et je changeais de sein et donc de main. Ma main droite se posa sur son sexe.
- Natsu ! s'offusqua-t-elle, essayant de se dégager.
Elle était plus rouge que jamais. J'étais bien plus fort qu'elle. Ce n'était plus le moment de résister.
J'entrai directement deux doigts en elle. Elle s'arrêta de se débattre. Elle ne bougeait plus. Une odeur de sang emplit mes narines. J'y étais allé trop fort.
- Natsu... gémit-elle.
Elle n'était pas ma première, même si j'aurais voulu.
- Ça va passer, la descendis-je doucement pour la laisser poser ses pieds sur le sol.
Elle haletait, ses yeux brillaient. L'odeur du sang me faisait tourner la tête. Mes pulsions prenaient complètement le dessus.
Mes lèvres se posèrent brutalement sur les siennes. Bon sang que je l'aimais. Aucune femme ne m'avait autant fait tourner la tête !
- Lucy... grognai-je.
Ses yeux. Elle aussi en avait envie.
Je descendis mon pantalon en l'embrassant. Je pris violemment ses mains, les serrant tellement fort que je savais qu'elle garderait des marques. D'un coup de rein, je suis entré en elle pour la toute première fois. Enfin. Elle était chaude, serrée, moite. Parfaite.
- Natsu, répéta-t-elle en boucle en agrippant mes épaules, incapable de se soustraire à notre plaisir.
- Tu es si bonne, Lucy, embrassai-je sa mâchoire.
Sa tête partit vers l'arrière, elle gémissait de plus en plus fort. Je la pilonnais violemment contre l'arbre, je pouvais voir ses seins voler sous mon nez. Mes mains quittèrent ses fesses, je ne la tenais qu'avec mon bassin, elle n'arrivait même plus à serrer ses jambes autour de moi tellement elle tremblait. Mes mains prirent chacune un sein. Je les maltraitai, je les tordais sans arrêter mes coups de bassins, j'allaient de plus en plus forts, de plus en plus loin. J'allais jusqu'au bout.
Elle prenait trop de plaisir, elle n'allait pas tenir.
Je me retirai d'un coup, elle allait tomber mais je l'ai rattrapé à temps. D'un mouvement, je l'ai retourné, collant sa poitrine au tronc. Mon pénis est retourné dans son antre bien chaude et moite, un vrai paradis. Mon paradis. Je l'ai collé encore plus au tronc. Ma main sur son épaule, l'empêchant d'aller trop haut à chacun de mes mouvements, la bloquant complètement.
Notre ébat était tellement sauvage, passionné. Je ne me suis jamais senti aussi vivant. Ses cris étaient comme un chant à mes oreilles, et la façon dont elle prononçait mon nom... Si je ne me retenais pas, j'aurais déjà joui dix fois dans son petit vagin tout serré.
La tension montait. Malgré l'inconfort qu'elle avait, frotté entièrement contre l'arbre, je sentais qu'elle allait jouir. Ça ne me dérangeait pas. J'allais tellement la faire jouir que même l'eau froide du ruisseau ne la réveillerait pas, et ce n'était que le début. Le début de l'éternité pour elle. Le commencement de la vie pour moi.
Revigoré, je l'ai collé au maximum, je tenais ses jambes qui entouraient l'arbre, sa tête reposait sur mon épaule, me laissant suçoter sa gorge qui pulser de sang. Son sang. Il devait être délicieux. J'avais hâte d'y goûter. J'allais y goûter. Très vite.
Je me suis légèrement retiré d'elle pour la pénétrer encore plus violemment. Son cri résonna dans la forêt, faisant fuir les animaux des alentours. J'accélérai, son corps frottait encore plus contre l'arbre, elle n'était même plus capable de réfléchir, juste d'hurler mon prénom.
- Tu es à moi pour l'éternité, murmurai-je à son oreille.
- Oui, cria-t-elle.
- Répète-le, Lucy, lui mordis-je l'oreille.
- Je suis à toi pour l'éternité.
- Qui es-tu ?
- Lucy !
- Et à qui appartiens-tu ?
- NATSU ! A JAMAIS !
- Lucy ! la mordis-je violemment, buvant son sang sans pouvoir m'arrêter de buter contre son utérus, la surprenant, l'effrayant, les yeux complètement écarquillés.
Elle hoqueta puis cria d'extase, je me suis vidé en elle, épuisé. Je retirai rapidement mes crocs puis me retirai pour la remettre droite. Mais je n'avais pas fini. Son sang coulait abondamment. Je me réinsérai en elle, recommençant avec un rythme plus doux tant que j'étais toujours en forme alors qu'elle était complètement pantelante. Oui, elle était un pantin. Ma blonde à moi, complètement soumise face à cette nouvelle émotion, ce nouveau plaisir inconnu et interdit. Plaisir qu'elle n'aurait qu'avec moi, pour toujours.
Ma langue lécha le sang qui avait coulé, puis sa morsure. Je la suçais, aucune goutte ne serait gâchée.
Soudain, je la sentis poser ma tête sur mon épaule, ses lèvres se posèrent dans mon cou. Elle me suça à son tour, me faisant un suçon, coinçant ma peau entre ses lèvres et entre ses dents. Par moment, elle gémissait ou criait, ne pouvant se retenir suite à des coups plus forts, la faisant gémir et me mordre. Ma virilité pleine était revenue. Je n'étais pas humain, j'étais bien plus endurant.
Son sang avait séché, elle ne saignait plus. J'ai repris ses seins en mains et j'ai forcé ses yeux à se plonger dans les miens.
- A qui appartiens-tu ? soufflais-je une nouvelle fois.
- A toi, Natsu, me répondit-elle.
- Tu aimes, Lucy ? Tu m'aimes ?
- Oui...
Ses joues étaient rouges, je savais que si je la posais, elle tomberait directement au sol. Tout en la pelotant, je l'ai embrassé, fourrant ma langue dans sa bouche. Elle était tellement surprise qu'elle eut un haut le cœur. Ma langue s'activa dans sa bouche, empêchant ses gémissements d'en sortir. Mes doigts pinçaient ses tétons déjà bien éprouvés et sensibles à l'extrême. Mon pénis entrait et sortait de plus en plus vite et de plus en plus fort de son vagin. Elle se tenait difficilement à moi, je sentais ses ongles s'enfoncer dans ma peau, m'obligeant à la pilonner encore plus, tapant violemment au fond mais aussi à serrer ses seins de mes mains. J'ai coupé le baiser d'un coup, autant elle que moi, n'avions plus de souffle. Un filet de bave tomba sur ses seins. Je l'ai léché en mordillant son téton droit. Ça arrivait, une deuxième fois. Je l'ai retenu d'une main sur l'épaule, l'autre relevant une de ses jambes pour que je puisse avoir un meilleur accès à son fabuleux sexe, en profitant pour bien placer son clitoris sur mon pubis et je l'ai empalé le plus fort que je pouvais, libérant toutes mes pulsions, toutes mes envies, tous mes sentiments. Elle ne criait plus, elle hurlait. J'ai repris sa bouche, espérant éviter qu'elle alerte quelqu'un pour que je puisse profiter d'elle. J'aimais tellement la voir si soumise.
Et enfin, la délivrance vint à moi. Je l'ai rempli, accélérant son orgasme à elle. Un orgasme foudroyant.
Je suis resté en elle le temps qu'on reprenne nos souffles. La maintenant contre l'arbre, lui évitant de s'écrouler. Puis, délicatement, je me suis retiré et je l'ai allongé dans l'herbe. Je pouvais voir notre jus couler de ses jambes, elles tremblaient, les yeux mi-clos, encore secoué par nos ébats passionnés.
- Je t'aime, lui murmurai-je en la caressant amoureusement, sans quitter ce corps des yeux.
- Moi aussi, répondit-elle en posant sa tête sur ma jambe, s'endormant.
Je souris. Depuis le temps que je me retenais, juste parce qu'elle était vierge. Mais c'était fini. Je l'aurais dès que je le voudrais.
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