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QUARANTE-SEPT

QUARANTE-SEPT

« Gamine, s'il te plaît, pose le couteau. »

Kimi Raikkonen suppliait sa nièce et filleule alors qu'elle tenait un très grand couteau à la main, debout dans sa cuisine.

« Mais je coupe le gâteau comme oncle Sebby m'a dit de le faire ! » Larissa Kimi Cohen libéra un gémissement alors qu'elle recevait un regard réprimandant de l'homme finlandais, alors qu'elle libérait un soupir de défaite avant de lui remettre le couteau.

« Oui, eh bien, c'était avant que tu nous la joues Scream avec ! » se défendit Sebastian Vettel avec ses mains levées dans les airs en défense, car elle avait été trop excitée en coupant le gâteau, en le poignardant comme si elle était une meurtrière.

« Tu as de sérieux problèmes. » Fernando Alonso gloussa de sa nièce, la voyant lui jeter un regard noir de trahison et de colère.

« Et toi aussi. » Larissa fusillait l'homme espagnol, le voyant rouler des yeux, restant complétement indifférent.

« Pourquoi ai-je des problèmes ? » Fernando sourit en voyant l'expression sur son visage qui lui rappelait tellement son père et défunt meilleur ami.

« Tu es toujours énervé que mon frère t'ait battu pour le championnat, c'est ton problème. » Larissa tira la langue à son oncle Nando, même si elle pouvait entendre quelque chose qui confirma majoritairement ses paroles.

Le rire hurlant de Lewis Hamilton parvint depuis l'autre pièce.

« J'ai remporté deux titres de champion. » Fernando éclata de rire, sachant que sa nièce ne faisait que l'embêter.

« Et ? Lewis a remporté quatre titres et en remportera un cinquième. Tu n'es pas spécial. » Larissa riait moqueusement, courant pour se mettre à l'abri de son parrain alors que l'Espagnol se précipitait vers elle avec un grand sourire cousu sur son visage.

Kimi tira sa nièce contre sa poitrine avant de la pousser devant lui, la sacrifiant essentiellement à celle d'Alonso, lui ayant donné un faux sentiment de sécurité.

« Je réprimande mon parrain ! » cria fortement Larissa, sachant que les autres personnes présentes dans la maison pourraient facilement l'entendre. « J'ai été trahie. »

Fernando joignit ses mains autour de la taille de la fille Cohen pour la chatouiller, sachant qu'elle était incroyablement chatouilleuse et qu'elle l'était depuis qu'elle était un jeune bébé, mais aussi qu'elle retirerait immédiatement ses paroles provocatrices.

Sebastian secoua la tête d'un côté à l'autre alors qu'il se moquait d'eux deux, bien qu'au son d'une autre voix familière derrière lui, il savait qu'il devrait intervenir pour sauver la fille Cohen d'une mort certaine ou faire face à la colère du garçon derrière lui.

« Mausi, qu'est-ce que tu as dit pour l'énerver ? »

Mick Schumacher sourit vivement en entrant dans la cuisine de la maison de sa sœur à São Paulo, car elle avait décidé de retourner dans la maison parce que son grand-père avait été arrêté et emprisonné, même si elle ne reviendrait que s'ils l'accompagnaient.

« La vérité ! »

Larissa rigola joyeusement, essayant de se frayer un chemin pour se libérer des bras du petit Espagnol, tandis qu'elle était attrapée et éloignée du conducteur McLaren, juste avant d'être poussée vers le corps qui était celui de Schumacher.

Fernando fit semblant de se jeter sur la fille Cohen qu'il aimait de tout son cœur, mais constata qu'un grand Allemand qui conduisait pour Ferrari lui bloquait le chemin.

« Lis me tuerait si je n'intervenais pas. » rit Sebastian, bloquant l'Espagnol chaque fois qu'il essayait de l'esquiver.

« Tu as juste peut qu'elle dise à Hanna de rompre avec toi. » Kimi sourit à son coéquipier, étant resté en dehors de leur drame pour prendre un verre de tequila, lui faisant un clin d'œil car il savait qu'il avait raison.

« Hanna m'aime plus que son propre fiancé. » rigola Larissa, tirant la langue au trio de ses oncles, alors qu'elle résidait dans les bras sûrs du jeune Schumacher.

« Ouais, je sais, c'est le problème ! Pourquoi penses-tu que je t'aide ? » rit légèrement, tout en utilisant ses bras pour plaquer Alonso au sol.

« Peut-être parce que tu essaies d'être gentil avant qu'elle te botte le cul dans une Mercedes l'année prochaine. » Mick remua les sourcils en direction de leur oncle Sebby avant de faire plusieurs pas en arrière, hors de la cuisine et emmenant la Brésilienne avec lui.

« Laisse-les discuter, sœurette. Les autres préparent le film et les snacks pour la soirée cinéma en famille. » Mick sourit gentiment à sa sœur, entrelaçant sa main avec la sienne.

Il savait que Larissa avait du mal à vivre dans la maison qui appartenait à son père décédé, car elle n'avait pas été aussi pleine de vie depuis très longtemps, mais il savait aussi qu'elle était déterminée à ramener certains des souvenirs heureux que la maison gardait de lorsqu'elle était enfant.

Il lui serra doucement la main alors qu'ils commençaient tous les deux à retourner vers le reste des personnes qui se trouvaient dans le salon de la maison, car il l'avait vue regarder avec tristesse les photos éparpillées dans la maison.

Il avait remarqué à quel point le brun de ses yeux devint vitreux alors qu'elle regardait une photo de son père et elle, avec les deux riant brillamment sur la photo, dans la maison et l'attira contre sa poitrine pour passer ses doigts dans ses cheveux, calmement.

Ils étaient tous les deux toujours heureux et souriants lorsqu'ils vivaient dans la maison, alors après avoir été si vide de cette luminosité pendant si longtemps et tant d'années, il savait qu'il lui faudrait du temps pour s'habituer à tant de vie dans et autour de la maison.

« Lar, ça va ? »

Esteban Ocon l'interrogeait doucement alors qu'il traversait le couloir de la maison de la Brésilienne, puisqu'il avait pu voir que l'Allemand s'était arrêté au milieu et avait deviné qu'il était avec sa meilleure amie.

« Ouais. » dit Larissa de manière peu convaincante en s'essuyant les yeux, les débarrassant de ses larmes, avant de relever la tête pour donner au Français un sourire que les deux hommes à côté d'elle savaient être faux et forcé.

« Daniel et Pierre se battent et Lewis montre à tout le monde les photos de toi bébé, ce qui est hilarant. Il a proposé d'envoyer toutes les photos à tout le monde. » Esteban sourit à la jeune fille, lui donnant la distraction dont il savait qu'elle avait désespérément besoin.

« LEWIS ! » cria Larissa en écarquillant les yeux de panique, sachant que son frère avait certaines des pires photos de bébé d'elle qui n'aient jamais existé. « JE VAIS TE TUER ! »

Lewis Hamilton déglutit de nervosité lorsqu'il remarqua la fille courir vers le salon, saisissant rapidement son téléphone de sa main avant d'enrouler ses bras autour de son cou dans une fausse tentative d'étranglement.

« Petite merde, laisse-moi t'aider ! » Nico Rosberg rit en rejoignant son amie pour agacer son ancien coéquipier.

Nico Rosberg était très heureux de compter Larissa Cohen parmi ses meilleurs amis.

C'était principalement dû au fait qu'elle préparait toujours quelque chose de chaotique quand il était avec elle, comme quand ils avaient couru tous les deux dans les rues de Berlin habillés comme des Minions.

Mais aussi parce qu'elle était capable de faire quelque chose que personne d'autre n'avait réussi à faire.

Le faire chanter émotionnellement lui et Lewis Hamilton pour qu'ils se parlent, au point où ils avaient en fait oublié leur rivalité, leur jalousie et leurs disputes.

Elle s'était effondrée en criant à quel point elle détestait ne pas pouvoir passer du temps avec eux deux ou parler de l'autre quand elle était avec l'un d'eux, jusqu'à ce qu'il se sente tellement coupable qu'il n'avait pas d'autre choix que de parler à Lewis.

Puis il avait remarqué son sourire narquois et savait qu'elle l'avait piégé.

Lewis Hamilton rit bruyamment, utilisant ses mains pour serrer la taille de la fille Cohen, étant capable de la soulever du sol et de la retourner par-dessus son épaule là où elle était alors allongée sur son canapé pendant qu'il la chatouillait.

Nico les observa attentivement tous les deux, avant de hausser les épaules nonchalamment et de commencer à aider son ancien coéquipier à chatouiller et à agacer sa meilleure amie.

Larissa haleta alors que l'air était expulsé de ses poumons, jusqu'à ce qu'elle hurle alors que chacun de ses amis se joignait à lui pour la chatouiller, et ils rirent ensemble tout du long.

« Oh maintenant, c'est du harcèlement ! »

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« Hey. »

Larissa leva lentement la tête du dossier du canapé lorsqu'elle entendit un doux murmure, ses yeux s'ouvrant lentement pour voir le garçon brun qu'elle avait appris à aimer, lui sourire.

« Tu vas t'abîmer le cou si tu dors comme ça. »

Charles Leclerc murmurait à la fille Cohen, puisque tout le monde dans la pièce s'était endormi sauf lui.

« Je vais bien. » Larissa tourna la tête pour lui faire face, voyant la lumière de la télévision frapper les points saillants de son visage, faisant briller sa peau dans l'obscurité.

« Mais ce n'est pas confortable. » Charles poussa un léger soupir en remarquant qu'elle le regardait, alors que la lumière de la télévision frappait le brun de ses iris, les rendant presque dorés.

« Eh bien, Lewis et Mick m'écrasent donc je ne peux pas faire grand-chose avec ça. » Larissa rigola aussi doucement qu'elle le pouvait, essayant de ne pas réveiller Mick, qui posait sa tête sur ses genoux, et Lewis qui s'était recroquevillé à ses côtés.

Charles hocha lentement la tête de haut en bas, rapprochant légèrement son corps d'elle, avant de lever une de ses mains pour tapoter son épaule.

« Utilise-moi comme oreiller. » proposa Leclerc, son cœur commençant lentement à s'accélérer à mesure qu'il passait du temps à lui parler.

« Mais alors tu ne peux pas bouger. » Larissa fronça les sourcils, voyant le garçon hausser les épaules comme s'il s'en fichait.

« Je pense que je peux réussir à ne pas bouger si ça signifie que tu es à l'aise. » Charles rit doucement, sentant la Brésilienne serrer doucement sa main avec la sienne.

« Tu es sûr ? »

Charles déglutit, hochant la tête de haut en bas à plusieurs reprises, souriant intérieurement alors qu'il la sentait poser sa tête sur son épaule, se tortillant légèrement pour se mettre à l'aise.

Ses lèvres douces se pressèrent doucement contre sa tempe, entendant un petit soupir de contentement sortir de ses lèvres avant qu'elle ne penche la tête pour le regarder.

Le Monégasque déglutit en sentant les lèvres de la fille se presser contre sa mâchoire, le faisant baisser la tête pour la rencontrer au milieu.

Leurs lèvres se rencontrèrent doucement, comme s'ils attendaient que l'autre s'éloigne, mais après avoir remarqué qu'aucun d'eux ne l'avait fait, ils sourirent tous les deux dans un doux et léger baiser.

Ils se déplaçaient lentement l'un contre l'autre, voulant savourer chaque instant où ils étaient modelés ensemble, sentant des papillons entrer en éruption comme un volcan dans leur estomac.

Les deux se retirèrent après un moment, car ils manquaient d'oxygène, pour se regarder dans les yeux, leurs iris scintillant l'un vers l'autre.

Les mots semblaient s'attarder sur le bout de la langue du pilote monégasque de Formule 1 qui la regardait, sachant qu'il ne voulait rien d'autre que lui dire ce qu'il ressentait et lui dire ces quatre mots.

Mais juste au moment où il était sur le point de lui dire et de laisser libres les mots qui étaient restés si longtemps sur sa langue, il fut capable d'entendre le plus doux des ronflements.

Larissa Cohen s'était endormie.

Et Charles Leclerc avait raté l'occasion de lui dire qu'il l'aimait.   

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