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NEUF

NEUF

« LIS ! »

Zahra cria d'horreur à pleins poumons lorsque la voiture de sa meilleure amie se précipita dans un mur à 290 km/h avant de s'arrêter très brusquement à la seconde où elle entra en collision avec le mur.

La voiture était pratiquement détruite et Zahra était horrifiée, sachant que sa meilleure amie était dans cette épave de ce qui était autrefois une voiture.

Pour la troisième fois depuis qu'elles étaient devenues amies, Zahra se mit à courir, en talons, vers le site de l'accident. Zahra Bailey n'en avait rien à foutre si elle courait sur la piste, Larissa était sa meilleure amie, sa bouée de sauvetage.

La plupart des pilotes avaient terminé et ne furent informés de l'accident que maintenant, ce qui pour certains était absolument terrifiant à entendre.

Leur nièce avait eu un accident.

Leur sœur avait eu un accident.

« Zahra ! Accroche-toi ! » cria Sebastian Vettel, après avoir fait le tour de la piste pour essayer de trouver l'accident, voyant la meilleure amie de sa nièce courir désespérément sur la piste. Zahra fit exactement cela, s'accrochant au halo de sa voiture alors qu'il commençait à la conduire jusqu'à sa meilleure amie.

Les deux arrivèrent à l'accident, suivis de près par Lewis et Kimi, et l'oncle de Larissa ne put s'empêcher de voir des flashbacks de l'accident de son meilleur ami onze ans auparavant, c'était presque trop similaire.

« LIS ! » cria Zahra de nouveau, désespérément, à sa meilleure amie, voyant que plusieurs pilotes qu'elle avait croisés tout au long de la course s'étaient arrêtés et avaient abandonné leur course et leurs positions pour essayer de l'aider.

« Larissa ! » Carlos Sainz Jr essaya frénétiquement de l'atteindre, tout était de sa faute. Il l'avait tuée. « Larissa ! S'il te plait ! Tu m'entends ?! »

Sa voiture avait une fuite de carburant et ce n'était qu'une question de temps avant qu'elle ne s'enflamme, tout comme celle de son père.

Les commissaires avaient des extincteurs à portée de main, avec les sirènes d'une ambulance arrivant sur les lieux. Ils avaient mis en place une barrière pour que plus personnes ne puisse accéder à l'accident, au cas où la voiture exploserait.

Larissa était inconsciente, et depuis que sa voiture avait heurté la barrière sur le côté, la voiture s'était partiellement cassée en deux, la moitié arrière compactée jusqu'à environ la moitié de la taille qu'elle aurait dû avoir, tandis que l'avant avait presque complètement disparu, la seule partie qui n'avait pas été touchée, était le halo. Son casque était fortement enfoncé sur le côté et à l'arrière indiquant qu'elle pourrait peut-être avoir une grave blessure à la tête.

Charles, Pierre, Fernando et Esteban étaient les pilotes à s'être arrêtés dès qu'ils virent son accident de voiture, et pendant que Carlos était fans tous ses états en essayant de la faire sortir parce qu'il s'en voulait, ils essayaient de s'assurer que la voiture ne s'enflammerait pas en même temps que d'essayer de trouver un moyen de le faire sortir sans causer d'autres blessures.

Tout ce qu'ils pouvaient faire était d'essayer de la faire sortir du petit espace fourni par le halo et d'espérer simplement qu'ils ne lui causeraient pas de dommages supplémentaires en le faisant. Zahra, Kimi, Sebastian et Lewis étaient retenus, tous les quatre avaient des larmes de peur coulant sur leurs joues.

Kimi s'en fichait même s'il était arrivé troisième, il s'en fichait même s'il avait un podium. Tout ce qui lui importait à ce moment-là, c'était le bien-être de sa nièce qui était complètement immobile, même lorsque le pilote Monégasque réussit à grimper sur le toit de la voiture accidentée pour prendre son pouls.

Elle était vivante.

Les secouristes et les commissaires aidèrent à la sortir du véhicule accidenté, posant la jeune fille inconsciente sur une civière alors qu'ils la transportaient vers l'ambulance, suivie de près par les neuf personnes qui s'étaient précipitées pour l'aider.

« Elle est entre de bonnes mains. » assura un ambulancier au groupe de personnes, dont certaines semblaient trembler de peur.

La main de Larissa bougea subtilement vers l'une des neuf personnes alors qu'elle commençait à reprendre conscience, un de ses doigts serrant faiblement le petit doigt de quelqu'un avant qu'elle ne puisse saisir le pouce d'une personne debout à côté de la première personne qu'elle avait attrapée.

Les ambulanciers permirent à ces deux personnes de l'accompagner à l'hôpital, tandis que les autres se dirigeaient vers leurs voitures pour la suivre, abandonnant les interviews et la cérémonie pour s'assurer que leur aie, leur famille allait bien.

« Ma Chérie, tu nous as tellement inquiétés. » dit Pierre Gasly, sa main fermement serrée dans la sienne. Il avait entendu à la radio que sa coéquipière avait eu un accident et il avait senti son cœur s'arrêter lorsqu'ils ne voulaient pas lui dire si elle était vivante ou non. Il était presque malade quand il s'était arrêté sur les lieux où Carlos paniquait, essayant désespérément de la faire sortir.

Le plus petit des sons quitta ses lèvres au son de sa voix, permettant à un petit soupir de soulagement de quitter les lèvres du Français. Un regard d'une émotion inconnue passa également dans ses yeux, dès qu'il sentit la plus petite des pressions de sa main tenant la sienne.

Il embrassa tendrement ses jointures, des larmes dans ses doux yeux verts qu'il essayait d'empêcher de laisser couler. Elle était devenue une personne si importante dans sa vie de tous les jours depuis qu'il l'avait rencontrée que maintenant, il ne pouvait pas imaginer sa vie sans elle.

« Nous pensions que nous t'avions perdu. » chuchota Charles Leclerc, serrant son autre main aussi fort que le Français assis à côté de lui. « Nous étions tous si inquiets pour toi. »

Alors qu'ils approchaient de l'hôpital, les deux hommes remarquèrent comment ses plaintes et ses gémissements de douleur s'étaient arrêtés, ses petites pressions sur leurs mains avaient cessé alors que l'état d'inconscience la reprenait, ne voulant pas la laisser partir.

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« Chuchuzinho, tu vas t'en sortir, ma belle petite fille, il est temps de se réveiller maintenant. C'est l'heure de se réveiller. »

Un bip fort et long résonnait dans ses oreilles, tandis que ses yeux commençaient à s'ouvrir, des larmes éparses s'échappant de ses yeux d'avoir été fermés pendant si longtemps.

« Nous avons un pouls ! »

« Elle est de retour ! »

Le plus petit des gémissements s'échappa de ses lèvres alors qu'elle était forcée de plisser les yeux à la lumière vive qui l'aveuglait.

« Zahra. » Sa voix sonnait granuleuse à ses oreilles, tandis que sa gorge lui faisait mal, comme si elle avait avalé du papier de verre. Le bruit de pas se fit entendre avant qu'une main ne soit retirée de la sienne et remplacée par une main qu'elle ne connaissait que trop bien.

« Hey, Lis. » dit Zahra, des larmes coulant sur ses joues, réalisant à quel point elle avait été proche de perdre sa meilleure amie. Son amie venait de sortir de chirurgie avant de faire un arrêt cardiaque, la terrifiant ainsi que toutes les autres personnes dans la pièce.

« Qu'est-ce qu'il s'est passé ? » Ses yeux commencèrent à faire la mise au point, voyant Zahra debout au-dessus d'elle, serrant fermement sa main comme si elle craignait la lâcher.

« Tu as eu un accident, gamine. Tu es à l'hôpital. » l'informa Kimi Raikkonen alors qu'il passait ses doigts dans ses cheveux pour la calmer.

« Lando, George et Alex sont en route, tout comme Mick. Schumi a pratiquement crié au téléphone, il était tellement inquiet pour toi. » dit Sebastian en l'embrassant sur le front, heureux d'avoir sa nièce en vie.

Fernando essuya les larmes qui coulaient de ses yeux en lui tapotant le bras. « Nous sommes si heureux de te retrouver, ma petite. Tu nous as vraiment inquiétés. »

Larissa grimaça en essayant de s'asseoir, et avec un peu d'aide d'un homme avec un accent français, put s'asseoir pour pouvoir faire face à sa famille et ses amis. Sa tête commença à palpiter mais c'était le résultat d'une blessure à la tête.

« Désolée. » s'excusa-t-elle, sachant à quel point ils avaient été inquiets, surtout en sachant qu'aujourd'hui c'était l'anniversaire de son père. « Je suis vraiment désolée. »

« Lar, ce n'est pas de ta faute, c'est bon. » assura Esteban, la laissant sangloter contre sa poitrine.

On lui avait dit qu'il y avait eu un accident plus loin sur la piste, peu de temps avant que sa voiture n'arrive sur les lieux de l'accident et après avoir reconnu son numéro permanent sur l'épave de sa voiture, 70, s'est immédiatement arrêté pour essayer d'aider son amie.

Il fut le premier à voir la pure panique sur le visage de Carlos Sainz Jr alors qu'il tentait de rejoindre son amie qui était piégée dans l'épave de la voiture, inconsciente.

Il n'avait jamais vu Carlos comme ça, il retirait tous les débris qu'il pouvait pour pouvoir l'atteindre, et ses yeux étaient rouges à cause de ce qu'il supposait être des larmes quittant les yeux de l'Espagnol.

Fernando était arrivé peu de temps après lui, suivi de Pierre et Charles. Il avait vu le regard d'horreur sur le visage du Monégasque, comme s'il avait des flashbacks de la perte de son parrain, Jules, dans un accident 3 ans auparavant.

Il n'avait jamais su combien de personnes se souciaient réellement de Larissa depuis qu'elle avait rejoint la Formule 1, mais en voyant le comportement frénétique de nombreux pilotes parce que c'était elle, lui réchauffait le cœur.

Il savait qu'elle se sentait seule avec son père mort, son oncle Michael alité et incapable de parler et une mère qui n'était jamais là, et ça lui réchauffait le cœur de savoir qu'elle allait être entre de bonnes mains maintenant qu'elle avait tant de gens prenant soin d'elle dans sa vie.

Elle avait Zahra, la fille qui courait tête baissée vers un accident et qui ne se souciait pas des voitures passant à 300 km/h près d'elle juste pour qu'elle puisse rejoindre sa meilleure amie.

Elle avait Sebastian, qui avait risqué sa vie une fois auparavant, pour sa nièce, qui combattrait quiconque la blesserait. Qui la protégerait du mal parce qu'il l'aimait tellement.

Elle avait Fernando, qui allait à autant de courses qu'il le pouvait pour qu'il puisse voir le sourire éclatant qu'il avait à peine vue depuis qu'elle avait perdu son père. Quand sa mère n'assistait jamais à ses courses, elle l'appelait pour y assister, et il prenait le temps d'y assister, car il l'aimait tellement.

Elle avait Kimi, qui, bien qu'il ait toujours été appelé 'the Iceman', puisqu'il ne montrait jamais aucune émotion, avait toujours un tel amour pour elle, un doux sourire et un regard affectueux qu'il ne réservait qu'à elle. Il se battrait pour éloigner tous les garçons loin d'elle s'ils montraient de l'intérêt, car en tant que son parrain, il s'était juré d'être celui qui veillerait à ce que la bonne personne sorte avec elle, puisqu'il l'avait promis à son père. Elle avait aussi son nom comme deuxième prénom, ce qui l'avait fait encore plus aimer l'enfant.

Elle avait Lewis, qui la voyait et la traitait comme si elle était sa petite sœur agaçante, celle pour qui il irait au bout du monde. S'il le fallait, il abandonnerait sa place en Formule 1 pour elle parce qu'il l'aimait tellement.

Elle avait Esteban, qui était son meilleur ami avant de gravir les échelons et de perdre contact avec elle. Il avait l'habitude de la taquiner, principalement parce qu'elle avait l'habitude de mélanger leurs langues. Elle commençait une phrase en portugais, et mélangeait un peu d'allemand, d'espagnol, de finnois, voire de français en cours de route, et parfois elle disait les mauvais mots dans le mauvais ordre, ce qui le faisait généralement la taquiner, mais il l'aimait tellement.

Elle avait Pierre, qui tenait telle à elle en si peu de temps. Il n'aurait pas pu rêver d'une meilleure coéquipière, elle l'avait fait rire, l'avait fait pleurer de rire, au point qu'il pouvait à peine respirer. S'il avait une mauvaise course ou une mauvaise journée, elle lui remontait le moral et le réconfortait avec un marathon de films et des plats à emporter. S'il voulait du réconfort, elle le serrait dans ses bras jusqu'à ce qu'il soit heureux.

Mais maintenant, elle avait aussi Charles, Carlos, Mick, Lando, George, Alex, Gina, Kevin, Nico, Checo, Daniel et bien d'autres qui prenaient soin d'elle. Esteban ne pouvait qu'espérer qu'avec tout le monde autour d'elle, sa meilleure amie ne se sentirait plus jamais seule.

« Est-ce que Carlos va bien ? Est-ce qu'il- » paniqua Larissa, avant que Seb n'ouvre la porte de sa chambre d'hôpital, permettant à un homme bronzé et aux cheveux noirs de se glisser à l'intérieur.

« Tu vas bien ! » Carlos sourit en remarquant qu'elle était vivante et consciente.

« Je suis vraiment désolée de t'avoir percuté, tu vas bien ? » Larissa prit la main de l'homme, et il serra doucement la sienne dès qu'elle l'accepta.

« Je vais bien. J'étais terrifié pour toi. » avoua Carlos avec un sourire triste. « J'aurais gagné des points si ce n'était pas pour toi. »

« Maintenant nous savons tous les deux que ce n'est clairement pas vrai. » Ils se sourirent tous les deux, des reflets de compétition dans les yeux. « Personne ne bat un Cohen. »

« Sauf les murs. » toussa Zahra.

« Z, qu'est-ce que j'ai dit sur le fait de ne pas te dédier ma première victoire ? » Larissa taquina sa meilleure amie qui secoua frénétiquement la tête.

« Non, non, non, merci de me la dédier ! Je suis désolée ! » supplia Zahra alors que sa famille était heureuse de retrouver leur petite fille.

Personne n'avait même remarqué que Carlos et Larissa se tenaient toujours la main.

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