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📚 Alementa I - Braise

crazy-write

Avancement de lecture : Terminé

Contenu mature : Sang / descriptions graphiques

Avec Spoilers : Sous la balise

Résumé : Lanaya ne passe pas la meilleure journée de sa vie. Entre une alerte intrusion à son école, son petit-ami qui saute d'un toit et sa mère qui décède, le karma n'est pas de son côté. Dans son malheur, elle hérite néanmoins des pouvoirs incendiaires de sa mère, l'Alementa du feu. Dans cette société parallèle où l'existence des Alementas est constamment menacée par les instances qui veulent les neutraliser, Lana devra se battre pour sa survie. Elle pourra heureusement compter sur ses dons, le soutien « d'amis » et son entraînement au combat digne des forces spéciales pour assouvir sa vengeance.

Présentation générale :

Des grands ados dotés de pouvoirs qui se battent pour une cause « juste ». Pas de doute, nous sommes en plein dans de l'urban-fantasy young adult. Fan du genre : ce roman plein d'actions, d'émotions violentes et de personnages forts vous ravira sûrement !

Annonçons tout de suite la couleur : je ne suis pas le public pour ce genre d'histoire. Je le précise parce que je ne voudrais pas que vous preniez ce que je vais dire pour argent comptant. Je ne fais pas une critique absolutiste, je donne mon avis (qui ne vaut certainement pas grand-chose en tant que non-amateur de YA). Je vais énumérer des choses qui ne m'ont pas accroché, cela ne veut pas dire qu'il faut les modifier pour me plaire !

La plume :

Je tiens à souligner que j'ai été sacrément admiratif du talent de l'autrice (que je sais jeune) pour manier les mots. L'œuvre est parsemée de jolies descriptions et de métaphores filées :

Des personnifications impactantes :

"Le silence reprend le pouvoir sans que personne ne s'en rende compte. Aucun son n'a le courage de tenter une révolution, aucune parole ne prend les armes et aucun mot ne fomente un coup d'état. Il trône en maître absolu."


Toute la première partie (jusqu'à la mort de la maman) est top : bien menée, une écriture nickel, un rythme correct et des émotions bien dosées. C'est peut-être en partie lié à l'effet « concours Wattpad » où les lecteurs passent surtout sur le début. En tout cas, ça montre le potentiel ! Parce que hélas, ça périclite après. La différence d'aboutissement entre chapitres retravaillés et premier jet est visible. Le côté positif, c'est qu'une bonne réécriture devrait permettre d'homogénéiser la qualité.

Si de nombreuses analogies fonctionnaient bien :

D'autres fois, l'effet capotait ou se perdait en longueurs :

Ou :

"Percevoir les énergies, c'est un peu comme sentir les odeurs d'un plat sans en connaître la composition. En plus abstrait bien sûr, mais l'idée est la même."

> C'est le principe d'une métaphore d'essayer de conceptualiser une idée. La 2ème phrase n'était donc pas forcément utile.


> On nous a juste dit qu'on pénétrait dans un bâtiment décrépit sans davantage de description et on part sur un lyrisme bucolique pour essayer de décrire l'ambiance. La phrase après « assomment » est peut-être un peu exagérée.

Ce que j'ai trouvé le plus dommageable, ce sont les lourdeurs :

> Sur tout ce paragraphe, on aurait pu ne garder que : « Je sors mes shaken et me prépare à lancer. Seulement, là, j'ai deux armes, deux cibles. Autrement dit, aucune possibilité d'erreur. »

Idem ici :

Je ne dis pas qu'il faut évider la narration de toute substance, toute digression... Le souci, c'est que, à l'échelle du roman, je voyais régulièrement des paragraphes où seulement 20% des phrases étaient « utiles ». Et ça, c'est la meilleure garantie pour qu'un lecteur finisse par lire en diagonale.

Il y avait aussi pas mal de passages lourds, car ils adoptaient une construction similaire : idée, développement, conclusion, contre-conclusion :

Globalement, j'ai surtout eu ce sentiment de narration qui se perd ou qui rame dans les phases d'explications ou d'exposition de l'univers, mais je reviendrai sur ce point dans la partie « univers ».

Dernier petit détail : en tics d'écriture, j'ai vu « lever les yeux (au ciel) », « dans les méandres de... ». Il y avait aussi « une inspiration, une expiration » qui fonctionnait comme un mantra pour Lana (donc ok pour la répétition), par contre attention à ne pas le glisser dans le point de vue d'autres personnages.


La petite vanne qui fait mouche... ou pas

On en arrive au point clivant de cette critique où vous allez tous me taper dessus : je n'ai pas du tout aimé le style 😔 (pardon Zoé).

Il y avait le registre soutenu comme on peut le voir dans le prologue ou dans certains moments de « sérieux », ça, j'ai bien apprécié, pas de souci. Par contre, dès que le registre familier reprenait le dessus, avec des commentaires très personnels des personnages-narrateurs, c'était trop lourd pour moi.

Il y avait un recours permanent aux blagues :

"— Je voulais juste tester ses réflexes, pas la peine d'en faire toute une histoire, sourit-il en coin.
— C'est ça... Et la marmotte, elle met le chocolat dans le papier d'alu ? ironise Lyanna."


à une narration orale, légère, voire nonchalante :

Recours qui s'explique ! On peut voir cette déconnexion émotionnelle comme une manière de surmonter le drame. Le récit joue sur un décalage entre les évènements dramatiques auxquels Lana est confrontée et la petite touche d'humour toutes les trois phrases. Lana l'explique ainsi :

Donc, je suis d'accord que c'est tout à fait personnel quand je dis que ce procédé n'a pas fonctionné sur moi. Ce décalage me sortait plus souvent de ma lecture, surtout quand des images surprenantes côtoyaient des passages émotionnels forts :

"Son horreur est telle que j'ai l'impression de recevoir un camion en pleine face."


Ou quand les registres soutenus et familiers s'imbriquaient :

C'est néanmoins la façon dont les blagues étaient souvent appuyées et insistantes au-delà du nécessaire qui les rendaient moins « efficaces » (encore une fois, c'est subjectif, je sais).

J'avais ainsi l'impression que le récit avait du mal à fixer sa voix entre les différents tons de la narration.


📢 Début des spoilers 📢

Les personnages

S'il y a une chose qui saute à la figure dans Alementa, c'est l'intensité des personnages ! Ils ont tous de sacrés caractères, bien marqués et souvent renforcés par le ton dont j'ai parlé ci-dessus.

Mon souci, c'est qu'ils se ressemblaient beaucoup trop tous les trois ! Lana, Cameron et Aimazilia m'ont paru fonctionner de la même manière : ils ont toujours ce détachement sarcastique dans leurs interactions, ils veulent se donner un air impitoyable, ils sont tous les trois excellents en combat rapproché, et surtout, ils veulent se venger.

J'ai trouvé dommage que Dante disparaisse aussi vite du récit (tu étais mon personnage préféré !!! ToT), car il me semblait un peu plus posé et nuancé que les trois turbo-agités. Lyanna aussi aurait pu apporter un peu de douceur à ce cocktail explosif, hélas, elle est effacée et absente des évènements.

Même les personnages secondaires usent d'une repartie similaire aux trois héros en répliquant avec le même sarcasme (c'est bon, Luiz, on a compris que t'avais pas aimé ça xD). Ça m'a un peu posé problème quand il s'agissait d'un adulte sur le point d'être tué. J'aurais aimé voir des réactions plus variées !

Enfin, c'est très personnel, mais j'ai beaucoup de mal avec les faux bad-boys. C'est-à-dire, les personnages qui se donnent un style « chaotic evil », mais qui, au fond d'eux, sont voués à un objectif « lawful good » (vous voyez Wednesday dans la nouvelle série Netflix ?). Du coup, bon, bah, le caractère de Cameron... On a compris qu'il était agaçant au bout d'un moment. C'était un peu trop mis à avant ou surjoué à mon goût.

Bref, je trouvais que ça manquait de nuance et de diversité dans les comportements des personnages. Mais cela s'installe surtout après la fin de la première partie et la disparition de Dante. Lana, par exemple, ne me semblait pas aussi extrême au début, mais à partir du moment où Cameron la contamine...


Un côté too much

Le fait d'osciller constamment entre le drame et la nonchalance est un pari risqué. Cela a en tout cas grandement mis à mal ma suspension d'incrédulité : difficile de trouver une scène de torture réaliste quand la personne torturée fait de l'humour à propos de sa main coupée, ou quand une lycéenne qui se répugnait à commettre un meurtre, une heure plus tôt, y va franco de chez franco dans le carnage.

L'histoire n'est pas adepte de nuance. Quand il se passe quelque chose, il faut que ça se passe à fond.

◾ Dès le chapitre 1.2, après une simple alerte intrusion, sans qu'aucune menace ne soit attestée, Lana déballe son répertoire de poésie et constate la panique autour d'elle :

◾ Quand les personnages décrètent un entraînement, ils sortent les armes réelles et se blessent sans pitié.

◾ Quand un personnage doit faire son deuil : un cimetière magique apparaît et le personnage récite du Victor Hugo.

◾ Quand Lana décide de jouer les pickpockets à une fête foraine, sa victime ne va pas juste la faire culpabiliser, elle va bien insister à fond pour aider Lana, histoire de la faire encore plus culpabiliser.

◾ Les méchants n'embauchent pas juste des sbires en les convainquant avec de l'argent, non, ils dénervent leur ressenti à la douleur (pourtant, c'est utile la douleur ! Ne faites pas ça chez vous, les enfants). Les sbires en question restent malgré tout tellement fidèles à leur employeur qu'ils se résolvent à mourir sans le moindre souci.

Je sais pas, j'aurais bien aimé voir, un moment, des « méchants » paniquer devant des adolescents (oui, je sais ils sont censés être adultes, mais on oublie vite que c'est le cas à cause de leur comportement) qui dézinguent à tour de bras.

Lana conspue sans cesse la vilénie du FSG ou du Conseil (les deux instances « mauvaises » de l'histoire), au final : leur groupe sème bien plus de cadavres dans leur sillage.

Il y a un moment de l'histoire où Lana se pose des questions quant à leurs actes qui pourraient causer des victimes civiles. Ah ! Enfin ! Hélas, cette remise en question s'évanouit dès le chapitre d'après alors qu'elle utilise sans vergogne un cadavre frais en guise d'appât.

> J'aime le fait que Lana s'indigne contre la maltraitance envers un mort quand elle a aidé à en découper un en petits morceaux la veille.

À force de trop d'intensité, j'avais mal à trouver les évènements crédibles.


L'intrigue

Niveau action : on est servi ! Niveau émotion : ça déborde ! (On y sera plus ou moins sensible si on arrive à faire abstraction de ce décalage dont j'ai parlé plus haut).

L'intrigue est riche et dense dans un début in media res qui fonctionne très bien. Bizarrement, cela devient plus décousu après le chapitre 10. Ça donne l'impression que tu avais une bonne idée de départ, mais tu ne savais pas comment imbriquer la suite.

Bien sûr, il finit par arriver ce qu'il doit arriver, mais on en passe par des phases manquant d'efficacité.

◾ Par deux fois, les personnages exposent des plans longs et alambiqués pour des projets avortés ou qui se dérouleront d'une tout autre manière. Je veux bien qu'on ait quelques fausses pistes, mais je doute qu'il soit pertinent de leur donner autant de place.

◾ Il y a deux scènes « d'entraînement » avec Cameron. Peut-être qu'elles auraient pu être fusionnées en une seule et apporter davantage d'intérêt et de signification.

◾ Certains évènements s'imbriquent bizarrement : les malaises de Lana correspondaient bien avec ce qui vivait Azi ou Dante en parallèle, donc on s'attend à une cohérence temporelle entre ce qu'il se passe d'un côté et de l'autre. Sauf chapitre 29 où un personnage semble être à deux endroits différents au même moment (du coup, j'imagine que, non, ça ne se passe pas au même moment, mais cela déroge alors à cette temporalité implicitement établie). D'ailleurs, parlant de ce chapitre, j'ai trouvé un peu artificiel, la manière de faire du suspens à propos du personnage mystère (typiquement : appeler dans ta tête « jeune homme » quelqu'un que tu connais, pour éviter de spoiler son nom, m'a semblé peu naturel).

◾ Le caractère facétieux de Cameron m'a semblé une justification un peu maigre pour transiter d'une scène à l'autre.

◾ La fin était chaotique et un peu précipitée (évènements qui s'enchaînent, difficultés à visualiser les scènes...)

Tempérons avec des points plus positifs :

J'ai trouvé très intéressant que les personnages suivis évoluent en électrons libres entre les différentes organisations qui essayent de réguler les Alementas. L'histoire essaye de ne pas être manichéenne, car chaque camp a ses motivations et ses raisons. Cette posture de non-alignement donne une grande latitude aux personnages, mais est aussi contraignante, car cela les oblige à se battre sur plusieurs fronts. Et c'est ainsi que l'histoire s'éparpille.

L'histoire comportait de nombreuses bonnes idées (la vérité sur la mort de la mère ou la découverte de la salle mystérieuse à la fin). Les références à la seconde mondiale étaient aussi très cools et apportaient du mystère, même si j'espère qu'il sera élucidé dans les tomes suivants...

C'est un peu mon ressenti doux-amer à la fin de ce tome 1 : plus de questions que de réponses.


L'univers

Je le redis : tout ce que j'ai dit plus haut est un feeling perso ou de l'ordre du pinaillage. Je pense que l'histoire peut très bien fonctionner pour qui aime les persos badass, l'humour, l'action et est sensible aux émotions suscitées.

Il y a néanmoins un point sur lequel il serait intéressant de se pencher lors d'une réécriture de cette histoire : le world building.

Il y a trois axes qui, à mon sens, n'étaient optimaux :

1 - Les bases. J'ai trouvé que ça manquait de solidité. Rien que dans le postulat de départ : il n'existe qu'un seul exemplaire d'un don qui se transmet à un héritier à la mort du détendeur. Pourquoi pas ? Mais ça pose plein de questions : que devient le pouvoir s'il n'y a aucun héritier, est-ce qu'il file vers un cousin très très éloigné ou est-ce qu'il disparaît dans la nature ? / est-ce que ce n'est pas un peu de la triche quand des pouvoirs se ressemblent fortement (typiquement la différence l'Alementa de l'illusion et l'Alementa du mirage) ? / mais surtout : comment peut-on se retrouver avec une telle concentration d'Alementas dans la seule région entre Reims et Paris ?

Les Alementas devraient être rares, car uniques, sauf que tout dans le récit donne l'impression que les Alementas sont partout (et je ne parle même pas de la quantité de « Doubles ») ! Tellement partout qu'ils sont une menace à éliminer par le Conseil, le FSG ou bien de la matière première à recruter pour la drôle de secte du papa d'Azi.

La seule solution que je vois pour pallier ce problème est de faire en sorte qu'un don ne soit pas unique. Au lieu de parler de L'Alementa DU feu, parler d'un Alementa de feu ? (Sinon, comment justifier un tel déploiement de moyens, notamment avec le FSG, s'il n'existe qu'une seule personne dans le monde capable de manipuler le feu ?)

Ou alors, je n'ai pas très bien compris, ce qui m'amène au point deux :

2 - La clarté. Ce serait vraiment LA chose à retravailler à tout prix : l'exposition. C'est une bonne chose que de se passer des pavés explicatifs, mais il faudrait éviter de tomber dans l'extrême inverse : des éléments de lore expliqués trop tard (les Arpezos, par exemple) / des informations exposées en désordre ou qui en viennent à se contredire.

Les phases d'explications m'ont globalement semblées laborieuses avec des dialogues où les personnages parasitaient l'exposition avec leurs interventions. Ils s'attardent sur du détail ou explicitent des trucs évidents, au lieu de consolider les bases. Certaines analogies fonctionnaient bien pour expliquer telle ou telle idée. Hélas, on faisait souvent du surplace.

Je prends pour exemple les chapitres 15 à 17 : 100% d'exposition. Je pense qu'il y aurait moyen d'élaguer, de condenser, de synthétiser... Bref de rendre cela plus efficace, car ton univers n'est, a priori, pas si compliqué !

3 - La rétrojustification. J'ai l'impression que tu t'es attachée à définir un univers avec de nombreuses règles, souvent strictes, sauf qu'à mesure que tu avançais dans l'histoire, tu réalisais que tu avais finalement besoin de t'affranchir d'une règle ou de la contourner. C'est là qu'apparaît la magie des exceptions ! (un peu comme la grammaire française :p)

Toutes ces exceptions rajoutent une couche de complexité à un univers dont le fonctionnement a déjà été difficile à appréhender pour moi. D'autres fois, on était à la limite de la contradiction :

Par exemple, un Alementa obtient son don à la mort du parent qui le possédait précédemment, SAUF SI les deux parents sont Alementas, dans ce cas, le don du premier parent décédé est mis en veille jusqu'au décès du second. Le don, il arrive à savoir qu'il reste un parent en vie ! Bon, remarque ce n'est pas impossible vu la pièce finale qui ressemblait à un genre de Fondamental ?

Par contre : est-ce que le père d'Azi est aussi un Alementa ? J'aurais cru que oui, mais avec cette règle, ce n'est pas possible. Et de toute façon, on a vu Lana expérimenter le pouvoir de son père avant que sa mère meure, donc je ne sais plus quoi penser !

Enfin, bref, beaucoup de justifications alambiquées. Je pense à un autre passage : quand Cameron a anticipé qu'il lui faudrait des bouts du cadavre d'une certaine personne pour passer une porte... Quel être humain normal va se dire : faisons un détour par la morgue pour aller découper une tête et une main au cas où ? (Cameron n'est pas n'importe quel être humain, je vous l'accorde.)

Je pense que l'histoire gagnerait à avoir un univers moins tortueux et surtout, plus limpide.

📢 Fin des spoilers ! 📢


Conclusion :

J'ai donné l'impression de dire plus de mal que de bien sur ce roman, mais, pas de panique : il y a un potentiel certain ! Dans l'écriture, déjà, on voit que l'autrice sait manier sa plume et que les petits équilibrages se feront certainement lors de la réécriture. Même si j'ai eu du mal à accrocher à l'humour, cela donne une personnalité indéniable au roman. Les personnages sont vivants et explosifs, quoiqu'un peu similaires entre eux.

Le seul « vrai point faible » que je lui trouve, c'est le world building qui mériterait plus solide et plus efficace.

À qui je conseille ce livre ?

À un public adolescent, sensible à un humour caustique et ironique, qui apprécie les personnages badass et décomplexés. Et qui n'ont pas peur du sang ! C'est quelque chose que j'ai oublié de mentionner, mais le livre comporte des passages très violents et graphiques. Ça m'a d'ailleurs un peu surpris, sachant qu'on est sur du YA.

En tout cas, les commentaires des autres lecteurs sont beaucoup plus élogieux que mon pavé, donc allez vous faire votre propre idée ;)   

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