Avant de devenir "avoir la gueule de bois", cette expression est née d'une anecdote bien réelle. Elle a été modifiée pour en dissimuler l'aspect un peu repoussant de l'histoire, sachant qu'elle s'était une fois de plus déroulée dans les bois.

Il s'agirait encore une fois d'une bande de nains des forêts, une autre génération que celle du chat-perché, qui, cette fois, souffraient de constipations chroniques à force de jouer malicieusement en état d'ébriété à boucher l'anus de leurs amis avec des pommes verreuses quand il dormaient.

Tout partit du fait qu'un attrapa un vers solitaire et ne voulait pas être le seul dont on se moquerait.  Un autre d'entre eux, plus prévenant, alla pour se guérir, acheter au village du coin un puissant laxatif mais, précipité par la douleur qui était monté en chemin dans ses intestins et le taux d'alcool élevé dans son sang, il se trompa. Il acheta une fois de plus un whisky d'extrême mauvaise qualité et très alcoolisé qu'il partagea avec les autres "mal embouchés".

On les retrouva pour la plupart sévèrement décédés au matin, la tête de chacun dans des tas de diahrées aux variétés de couleurs différentes selon les pommes qu'ils avaient "avalées".

De là son nées plusieurs expressions comme l'évidente "avoir la tête dans le cul", "en avoir vu de toutes les couleurs", la gentille"être tombé dans les pommes", ou encore "avoir la gueule dans le tas", puis "dans le bois", devenu "de bois". Tout cela pour atténuer qu'ils avaient la figure noyée dans leur propre tas d'excréments.

On mit toute la faute sur le dos de l'alcool, alors que, comme souvent, la faute n'en revient qu'aux nains alcooliques uniquement qui ont toujours des idées incongrues pour accompagner leurs délicieux breuvages.