Chapitre 6
Je me casse ! Je reste pas avec cette tarrée ! Malgré que je sois en caleçon, je me précipite vers la porte mais j'entends le bruit de recharge d'un revolver et je m'arrête net. Sans me retourner.
-Tu vas aller dans ta chambre. Tu vas mettre un pantalon. Un t-shirt. Des chaussettes et tu vas revenir ici. Et nous allons faire un tour. Seuls, sans ton téléphone qui est pister.
Je reste tétanisé et je marche doucement vers ma chambre. Et quand j'y suis je ferme la porte à clé et me rhabille comme elle me l'a demander. Et je sors ensuite en voyant qu'elle fouille dans mon téléphone, alors qu'il y avait un code.
-Ça va je te dérange pas !
-Hum ? Trop long. Allons-y.
Elle jette mon téléphone sous le meuble télé et me montre la porte. Je suis obligé d'avancer. Mais elle n'a pas d'arme à sa main, mais elle a du la camoufler. Puisque nous sortons.
Je sors le premier et elle me suit. Elle me prends par la main et avance tranquillement en me traînant presque, avec un petit sourire. Elle doit bien avoir 15-16 ans la petite garce. Je vois « mes » voisins, nous regardez. Elle me regarde et dit en marchant.
-Je suis trop contente de passer l'après-midi avec toi, tonton ! On va enfin pouvoir aller au cinéma. Aller, dépêche toi ! Le film va bientôt commencer !
Elle le dit en me tirant plus fort et m'obligeant à accélérer. J'ai vu les voisins, esquisser d'un petit sourire en la croyant. Grr, petit garce, tu vas voir.
On est dans la rue, elle ne me lâche pas et m'emmène dans un coin. Loin de tous. Le changement a été radicale. J'étais entourer de personnes et d'un coup, plus personne. Elle me lâche et me pousse dans un cul de sac.
-Bon.
-Tu vas me dire ce que tu me veux ! Je sais même pas comment une petite garce comme toi, a pu me traîner jusqu'ici...
Je reçois un énorme coup dans mon estomac, ce qui me plie en deux.
-Répète un peu que je suis une garce. Si tu l'ose.
-....
-Bon. Maintenant tu te la ferme. Et tu vas m'écouter. Thomas.
-Non ! Toi tu va répondre à mes questions !
-Je vais y répondre alors ferme la.
-....Bah vas-y !
-J'ai besoin de ton statu. Celui de Thomas Miller. Toi, je m'en moque. Tu est le 1% et tu ne crains plus rien à mes côtés.
-Hein ? Je comprends rien...
-Ta pas besoin de comprendre. Écoute. Je vais te donner un moyen de me joindre, mais si tu ose le répéter a quelqu'un, y faire une illusion ou autres qui pourrait indiquer ou je suis. Je te tue. Que tu sois le 1% ou non.
-C'est quoi ça le « 1% » ?!
-Ta pas à le savoir.
Elle s'approche de moi et sort une sorte de tube noir. Elle me tire mes cheveux et plante le tube dans mon cou, elle me met sa main sur ma bouche pour étouffer mon crie de douleur et me lâche.
-Voila. Pour me joindre, tu n'auras qu'à dire appuyer sur la bosse que je t'ai faite sur ton cou et surtout tu chuchote. Ne fait pas le con. Je sais ou te trouver.
J'ai pas le temps d'en placer une, qu'elle part sans même me regarder.
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