Chapitre 1
Les vaches broutèrent calmement dans le pré, tandis que j'étais assis sur ma chaise à bascule en bois. Oui je sais, ça fait vieux mais je n'ai que 28 ans. Et franchement, être fermier n'est pas si mal que ça. Je suis la, au calme avec mes vaches qui mangent. Sans soucis, loin de la pollution, loin des problèmes, loin de la ville.
J'ai du me lever, alors qu'il était 19H passer et que le vent s'est lever et que mes vaches ont commencées à s'agiter, pour je ne sais quel raison. Je suis rentré dans le pré, mes pieds s'enfonçaient dans la vase à cause de la pluie qui a rejoins le vent. Mes vaches ne sont pas en danger mais je me demande tout de même ce qui les ont autant dérangés.
J'y vais et plus j'avance moins je suis sûr de moi, bizarrement. Le vent commence à s'intensifier et la pluie commence à m'aveugler et je dois vite rentrer mes vaches. Je recouvre ma tête de ma capuche et commence à les rassembler vers l'étable. Quand elles sont toute rentrées je retourne en vitesse chez moi. J'ouvre la porte et entre en me défaisant de mes vêtements mouillés. De toute manière je suis seul chez moi...Alors~ Je peux tranquillement retirer tout mes vêtements mouillés et aller me changer sans pudeur. Et c'est ce que je fais. Je retire mon blouson, mes chaussures, mes chaussettes, mon t-shirt, mon pantalon et enfin mon caleçon.
Je m'étire et m'avance dans ma maison. C'est pas un palace mais pour une seul personne c'est pas si mal. Je n'ai ni de copine, ni d'enfants, je suis tranquille ! Je commence à entamer les marches qui mènent à l'étage quand j'entends une assiette se briser dans la cuisine. Sans y réfléchir j'y cours et je vois deux personnes avec de grands blouson couleur kaki. Oh merde...
Ils sont de dos alors j'ai le temps de partir en courant en haut mais alors que j'allais me met a courir et bien je...tombe comme une énorme merde ! Le bruit de corps nu qui claque sur le carrelage froid, résonne dans toute la maison et bien sûr les deux personnes qui se sont introduits chez moi me regarde.
Moi qui est sur le sol.
Allongé.
Nu.
Frigorifié.
Je suis extrêmement gêné et me relève maladroitement en essayant de me cacher le plus possible.
Je me précipite vers l'étage et m'enferme dans ma chambre avant de mettre des vêtements et de chercher ou peut bien être mon portable.
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