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Chapitre 19 🎭

Dès que j'apparais, Chaeyoung se lève d'une des chaises en plastique disposées dans le couloir de l'administration. Elle accourt, et je suis livide.

"Alors, qu'est-ce qu'il t'a dit ?"

"Les... les parents de Junghwan exigent que les miens remboursent le téléphone. Le proviseur va les appeler pour en parler lundi prochain."

"Le culot." soupire t-elle. "C'est tellement injuste."

Chaeyoung est au courant de tout. Je lui ai expliqué ce qui s'était passé, et elle s'est démenée pour m'accompagner chez le proviseur.

Elle remet ses lunettes en place.

"Mais Jungkook... tu t'es défendu, n'est-ce pas ? Tu as dit au proviseur que-"

"Non." je la coupe, en fuyant son regard.

Mes poings se serrent.

"Non, je n'ai rien dit."

L'idée m'a traversé l'esprit. En réalité, elle me traverse l'esprit tous les jours, comme un rêve impossible à atteindre. Même sur la pointe des pieds, il est toujours inaccessible. Lorsque j'étais devant le proviseur, rien n'est sorti. Je refoulais les mots comme les larmes, les laissant m'inonder de l'intérieur.

J'ai accepté le flux de l'injustice se déferler sur moi comme on accepte une piqûre désagréable.

"Jungkook, vous avez conscience que votre comportement n'était pas adapté à la situation, au moins ? Junghwan m'a rapporté que vous vous étiez soudain jetté sur lui et aviez écrasé son téléphone au sol. C'est inadmissible ! C'est un comportement que je n'accepte pas dans mon établissement. Et si vous avez des problèmes avec votre colère, vous n'avez qu'à faire du sport. Mais détruire les affaires personnelles de mes élèves, c'est très grave."

J'ai serré les pans de mon pantalon sous le bureau.

Je suis aussi votre élève, monsieur. Et on a détruit ma parole.

Je me suis vu répondre quelque chose d'encore plus atroce que ça, avec une docilité qui m'a percé le coeur :

"Oui, Monsieur..."

Juste ça.

Humiliant. Déshumanisant.

J'aurais voulu hurler, hurler comme je l'ai fait avec Taehyung du haut de cette montagne, lui montrer à lui et sa lumière que je vaux plus qu'il ne le croit. Que je ne suis pas seulement un gamin perdu, un adolescent pour qui on a rendu toutes les armes.

C'est faux.

Est-ce vraiment faux ?

"Jungkook... est-ce que tu veux que j'aille lui parler ? Que ce soit moi qui le dise, qui avoue tout ? S'il savait, ce serait sûrement Junghwan qui se ferait remonter les bretelles..."

Je secoue la tête, sentant l'adrénaline monter au cerveau à une vitesse impressionnante.

"Je suis désolé, Chaeyoung. Je n'en suis pas capable. Pas maintenant."

Elle baisse la tête, alors je murmure encore :

"Je suis désolé."

"Ne t'excuse pas pour ça. Jamais. Allons y, on va être en retard en cours."

J'acquiesce, et le coeur lourd, je la suis au travers des foules et des bâtiments. J'ignore la voix désagréable qui me chuchote des choses de plus en plus perturbantes. Elle me donne des idées, des envies, des désirs, un brin de lucidité dans le chaos de ma passivité.

Un jour, il va bien falloir que tu te bouges.

Pourquoi pas demain, et encore demain, et toujours demain ? Une éternité de demain en couverture à ma peur.

En attendant, nous ne sommes pas demain.

***

La séance de théâtre d'aujourd'hui m'a laissé un étrange goût amer dans la bouche. Et j'ai du mal à trouver ce qui est venu m'apporter cette saveur. Peut-être est-ce le regard de Mina sur ma personne, de plus en plus perçant. Taehyung nous mettait en place, nous donnait des conseils sur les déplacements et la mise en scène du premier acte. Et lorsque je récitais les paroles de Roméo, je sentais bien l'aversion au fond des prunelles de cette fille.

Mais non, il y a bien quelque chose d'autre qui m'a frustré. Peut-être est-ce ma capacité soudaine à parler... plus fort. Ce n'est pas tant de l'assurance, pas encore, mais c'est simplement technique, comme si les cris à la ville avaient débloqué quelque chose d'indicible en moi. Nous avons joué avec le texte à la main, n'ayant pas encore eu le temps de l'apprendre.

Aussi, peut-être que cette frustration s'est créée par le manque d'interaction avec Taehyung. Lui qui d'habitude vient vers moi sans cesse, s'invite sans que je ne le lui autorise. Aujourd'hui, il a simplement fait son cours de théâtre, professionel, le nez plongé dans son boulot. Il était fascinant ainsi.

Mais il ne m'a pas regardé une seule fois. Ou alors ses yeux me traversaient de manière indifférente. Je ne sais pas pourquoi ça me frustre. La préparation de la pièce lui prend beaucoup de temps, et de concentration, c'est normal. Parfois, il a même l'air d'en faire... trop.

Du début jusqu'à la fin de la séance, il nous corrigeait pour tout mettre en place parfaitement. Il notait sans cesse des idées dans son carnet. Tout à coup, il pouvait lever la main, suspendre notre élan. Nous nous arrêtions, il écrivait quelque chose dans son carnet, puis il baissait la main et nous continuions.

Nous avons supervisé seulement les toutes premières scènes. Lorsque Taehyung devait jouer Julian, il le faisait tout en observant notre jeu.

J'avais du mal à me concentrer, puisque parfois, j'observais son visage, ses cheveux, et ses mains, et je dérivais.

Tu es fascinant.

Comme un film qu'on rembobine à l'infini, sa voix, cette phrase tournait en boucle.

Assis à mon bureau, j'essaie encore de décortiquer. De trouver dans son ton, sa tessiture, ou sa façon de prononcer ces mots un indice. Je cherche, je me demande ce qu'il peut trouver de fascinant chez moi. Je me perds dans un rêve où je suis important, où je suis quelqu'un, un humain qui n'est pas sous silence, qui a un avis, une opinion et une personnalité palpable. C'est ça, quelqu'un de fascinant.

Mais moi...

Moi.

Je n'ai rien à faire. Finalement, ma chambre est peut-être aussi vide que le reste de cette maison. Il commence à être tard, et Yoongi n'est pas connecté. Il l'est de moins en moins en ce moment, et je ne comprends pas d'où me vient ce sentiment... d'inquiétude ? Auparavant, je n'ai jamais rien ressenti de tel envers lui. On se contente de jouer, un point c'est tout. Et ça me va très bien.

Par ennuie, je pose mon regard sur ce livre. Cette pièce que Taehyung m'a fait acheté il y a ce qui me semble maintenant une éternité. Je n'ai jamais trouvé le courage de la lire. Lire n'est vraiment pas une activité que j'apprécie, mais je n'ai rien d'autre pour m'occuper.

Je passe ma main sur la couverture, puis sur le titre en traçant les lettres du bout des doigts, absent.

Les Étoiles, Simon Falguières.

Je repense un instant au poème de Taehyung, celui qui m'avait tant retourné. Toi, maudite étoile.

Je décide de m'affaler sur mon lit, avant d'ouvrir le livre, avec nonchalance. Je ne m'attends à rien.

Alors je commence à survoler les mots, à les intégrer sans trop d'intérêt.

Mais dès la première page, je me fige.

"Ici commence l'histoire du poète qu'un jour a perdu ses mots."

Je me redresse, place un coussin contre le dos du mur, et m'y adosse doucement en lisant, soudain plus attentionné. Je ne m'attendais pas à... à ça. Ce n'est pas du tout comme les pièces de théâtre que j'ai pu lire auparavant. C'est plus facile à comprendre, premièrement, parce que c'est contemporain, mais aussi... ça me touche d'avantage.

Je fais défiler les pages, et je suis bientôt aspiré par l'histoire. Et j'ai la désagréable impression que Taehyung a su viser juste. Comment pouvait-il le savoir ?

La pièce raconte l'histoire d'Ezra. Sa mère décède un beau jour et créer un trou dans la mécanique de sa famille. Mais le plus intéressant, c'est qu'Ezra perd les mots. Lors de la cérémonie d'adieu, il doit prendre la parole mais tout à coup, il n'y a plus que du silence. Les mots s'évaporent et le blocage commence. Au fil des actes et des scènes, il fuit la réalité pour s'enfermer dans son propre bruit à lui, au lieu d'accepter celui qui l'entoure. Il vit avec lui même, mais repousse les autres comme de vieilles chaussettes. Et dans son mutisme, il rêve. Il s'égare dans un voyage poétique et imaginaire qui ne s'ancrera jamais dans la réalité.

Le temps avance, fidèle à lui même, alors que dans le silence du personnage, il semble s'être mis sur pause. C'est sa perte de parole qui lui prive d'une grande partie de sa vie, qui la lui mange.

Une grande écriture dans laquelle je navigue, sans pouvoir lire, sans comprendre, mais que je regarde et que j'écoute dans le silence.

Il y a certaines phrases comme celles ci qui me marquent, qui s'impriment sur ma rétine et ne veulent pas la quitter. Des mots, des bouts de réplique qui me transpercent le coeur.

J'ai l'impression que je peux lire entre les lignes. Comprendre mieux que personne. Ça résonne en moi d'une manière indescriptible, comme une petite aiguille qui titillerait pile là où il faut.

Là où ça fait mal, un peu.

La fin arrive à grande vitesse, la pièce n'est pas très longue. Les minutes s'enchaînent sur le cadran de mon réveil, le monde dort, et moi, je ressens l'impact d'une écriture sur mon corps. Ça frappe fort.

Ezra dit : "Je serais devenu un homme sans mots comme les autres de cette maison."

Le suis-je devenu ? J'ai peu de souvenirs d'un moi qui s'exprime, d'un moi bruyant. La seule différence entre Ezra et moi, c'est que je n'ai pas eu d'élément déclencheur, j'ai été élevé comme ça. Du plus vieux que je me souvienne, à sept ans, dans ma famille, on ne se voyait que pour manger et alors le vide nous recouvrait de sa cloche comme on couvre le plat d'un grand buffet. Ce que contient ce buffet s'apprête à se faire dévorer, piegé dans son propre piège.

Je crois qu'en m'imposant ce livre, Taehyung m'a offert des mots que je n'aurais jamais été capable de formuler. Une explication, un murmure... Tu n'es pas seul. C'est rare d'en rencontrer, mais il y a certaines personnes qui sont comme toi. Elles se murent dans le silence et fuient la réalité jusqu'à s'en faire mal. Jusqu'à se sentir mourir parce que c'est toujours plus agréable que de faire face au chaos. Effacer son soi, se forcer à ne pas avoir de personnalité pour qu'il y ait moins à juger. Être plat, pour ne pas faire de vagues.

Le voyage poétique d'Ezra s'achève. Plus il se mure dans son silence, et plus ses pensées, ses rêves, deviennent chaotiques, dangereux. Il se détruit de l'intérieur sans même s'en rendre compte. Et lorsqu'il revient à la réalité, il est presque trop tard... parce que les autres ont évolué sans lui.

La pièce se termine sur ses mots. On lui demande qu'y a t-il lorsque tout s'arrête ?

Il répond qu'il y a tout, avant de faire une longue énumération de ce que contient ce tout, de ce qui fait une vie. Et ça se termine sur la mention des étoiles.

"Et les étoiles bien sûr et leurs peines. Et leurs peines et leurs joies."

Je suis retourné. Mais pas que. Je suis exposé. Exposé aux yeux de Taehyung. Je suis certain qu'il savait. Il savait comme les mots se répercuteraient en moi, il savait comme ça me percerait à jour. Ça me perturbe fortement.

Et sans prévénir, un flot ingérable me renverse.

Je referme la pièce, la pose à côté de moi sur le matelas et m'allonge de tout mon long, la tête surélevée par l'oreiller. Je plante mes ongles dans mes mains pour me retenir mais le barrage cède. Il se fissure, doucement d'abord, puis explose. L'eau de l'autre côté se précipite pour tout ravager sur son passage.

Et alors j'éclate en sanglot.

Une émotion destructrice me transperce de toute part. Mon coeur me pique, et je sens l'eau dévaler mes joues, ma nuque, et tremper l'oreiller. J'ai soudain mal, et je me recroqueville sur moi même comme un animal en danger, un animal faible. Je n'arrive pas à m'arrêter. Non, je ne veux pas m'arrêter.

Pleurer est tellement agréable.

Mais ça fait mal, si mal.

Je reste ainsi de longues minutes, à étouffer mes pleurs, les laisser mouiller mes cheveux, mon matelas, mon haut de pyjama.

Sans réfléchir, je saisis mon téléphone sur la table de chevet. Je le dévérouille, puis le vérouille, puis le dévérouille à nouveau. J'ai les yeux embués, et je dois me mordre les lèvres pour ne pas faire de bruit. J'essaie de contrôler ma respiration, de serrer mon téléphone entre mes doigts pour ne pas me faire remarquer.

J'ai peur qu'on entende mes sanglots. Qu'on les décortique, qu'on les montre du doigt.

Je me mords l'intérieur de la joue alors que j'ouvre l'application Instagram. Il est une heure passée, qu'est-ce que je fais ? Aucun moyen qu'il soit éveillé à cette heure ci, et même s'il l'est, quel message lui envoyer ? Mais c'est plus fort que moi, une pointe me déchire le coeur et j'ai à la fois envie de hurler et de tout faire taire.

Un chaos infernal.

Le chaos d'un barrage qui cède.

Jjk_1 : Comment tu as su ?

Jjk_1 : Je déteste ça. La sensation d'être percé à jour. D'être quelque chose, de ne plus être invisible. Je hais Ezra. Il me rappelle trop moi.

Je laisse la conversation ouverte, le coeur en plomb, les membres engourdis par la fatigue. Les pleurs alourdissent mes paupières.

Je suis abasourdi quand quelques minutes plus tard, je contemple le petit vu en bas à droite. Mais il n'écrit pas. Il met un temps fou, alors je panique. J'essuie mes larmes d'un revers de la main, mais d'autres coulent encore. Je m'apprête à envoyer un message d'excuse, mais il se met à écrire.

Kim_Taehyung : Alors tu l'as lu ?

Je me positionne en boule et tire ma couverture pour recouvrir mon corps, comme pour me créer un cocon. Un endroit où je n'aurais pas peur. Je me sens mis à nu, exposé dans une vitrine. Et il y a les yeux de Taehyung partout. Il m'observe, il observe mes faiblesses et je me sens faiblir. Il contemple cet être qui crie désespérément à l'aide, quand bien même je déteste cette idée.

Non.

En fait,

Il observe Jeon Jungkook.

Le vrai, celui que j'ai fait prisonnier.

Jjk_1 : Oui...

Kim_Taehyung : Je pensais qu'il te plairait, je suis désolé si ce n'est pas le cas :/

Je renifle. Les larmes et la morve se mêlent, c'est déplorable. Mais rien n'arrête le flot qui se déverse en abondance.

Jjk_1 : Il me plaît. Beaucoup. Même peut-être trop.

Je tremble, j'ai froid, mais mes larmes deviennent plus douces.

Kim_Taehyung : Pourquoi ?

La réponse est une évidence soudain.

Jjk_1 : J'ai l'impression que c'est le genre d'oeuvre qui n'a d'impact que sur quelqu'un qui peut la comprendre.

Kim_Taehyung : Dans le milieu de l'art, c'est fréquent. Un coup de foudre artistique. C'est une oeuvre qui peut paraître banale aux yeux des autres mais qui pourtant nous, nous met un coup de couteau là où c'est sensible.

C'est... exactement ça.

Jjk_1 : Et toi, tu en as un, coup de foudre artistique ?

Il met un temps avant de répondre. Je vois l'écran flou, malgré la manche que je passe sans arrêt sous mes yeux.

Kim_Taehyung : Hm... peut-être. T'as pensé quoi des Étoiles dans son ensemble ? Moi j'ai beaucoup aimé le personnage de Sarah, la petite amie d'Ezra. Elle est patiente et forte. Elle a attendu qu'Ezra sorte du silence pendant des années, mais elle ne l'a jamais abandonné. C'est le genre de personne qui ne punit pas pour le silence de quelqu'un, qui l'accepte. Je l'ai adoré, mais j'ai toujours pensé qu'il y avait quelque chose de bizarre, elle passe son temps avec la famille d'Ezra, elle s'occupe beaucoup des autres mais jamais d'elle même...

J'avale difficilement ma salive, avec la sensation que mes pleurs obstruent ma gorge.

Son avis est intéressant, parce que c'est quelque chose que je n'avais pas remarqué. Un détail auquel je n'ai prêté aucune attention. Mais peut-être que ce que l'on interprète et préfère dans un livre reflète ce qui est important pour nous. C'est évident, Taehyung n'en a pas eu la même lecture. Toutes les lectures diffèrent. Il y a des choses qui nous touchent plus que d'autres.

Jjk_1 : Moi ce sont les notions abordées qui m'ont plu. L'omniprésence du silence, sans cesse, mais aussi... celle des étoiles. Comme son contraire.

Kim_Taehyung : Et tu penses que le silence et les étoiles ne peuvent pas cohabiter ?

Ma respiration erratique s'est calmée. Seules les larmes défilent encore.

Jjk_1 : Bien sûr que si... mais ça peut être explosif.

Il a vu, mais ne répond pas. J'attends, la conversation ouverte. En fait, je crois que je n'attends même pas qu'il parle, ni que je le fasse. Il se passe bien deux minutes pleines où je regarde l'écran de mon téléphone, où plus aucun message n'apparaît. Mais étrangement, j'ai l'impression qu'il est toujours sur la conversation, comme moi. Le silence s'invite même ici, mais il est rassurant. C'est le silence d'une présence tranquillisante.

Je le vois écrire à nouveau.

Kim_Taehyung : Tu es là samedi ? Tu sais, pour un deuxième cours particulier :)

Mon coeur se met à battre un peu plus vite. Je passe une main dessus, en fronçant les sourcils.

Jjk_1 : Oui. Mais pas chez moi.

Jjk_1 : S'il te plaît.

Je réalise que les larmes ont cessé.

Kim_Taehyung : Bon ok... Alors chez moi à 14h ça te va ? Je t'enverrai mon adresse.

Jjk_1 : Ça me va.

Encore quelques minutes s'écoulent. Mes yeux fatiguent, je baisse la luminosité de mon téléphone sans quitter la conversation. Mais cette fois ci, il ne revient pas.

Un message, un dernier, avant de m'effondrer. Ma crise de larme m'a rendu somnolent.

Jjk_1 : Pourquoi tu ne dormais pas ?

Quelques minutes encore. L'eau salée a séché sur mes joues et leur offre une texture bizarre, pâteuse.

Puis la réponse apparaît.

Kim_Taehyung : Je n'y arrivais pas.

Kim_Taehyung : Je regardais les étoiles.


**•̩̩͙✩•̩̩͙*˚ ˚*•̩̩͙✩•̩̩͙*˚*


Jungkook s'autorise enfin à pleurer.

Jk lis les étoiles et Taehyung les regarde, trop connectadaaa ces deux là

Désolé pour le temps entre les updates, en vacance je suis + occupée

Un petit moment Taekook calme :) Qu'est-ce que vous pensez de cette conversation nocturne ?

Jvous conseille vrm Les Étoiles, j'adore cette pièce et je suis contente de pouvoir la mentionner ici (au fait c'est légal mdr ? Oups jsp si j'ai le droit de retranscrire des citations mais oklm c'est juste sur wp donc ça va).

(Mille (ou plutôt trois mille) merci pour les 3k jfkshfjskbrjw ᥫ᭡ )

-Elise-

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