je m'appelle rose, j'ai 16ans. j'ai les cheveux long roux qui tire plutôt vers le rouge. c'est de là que vient mon prénom. j'ai un oeil bleu et un oeil vert. je suis assez petite. 1 m56 pour être exacte. bon d'accord je suis très petite mais très débrouillarde aussi.

Ma mère nous élèvent seul, moi et ma soeur Adaline dans appartement de la banlieue parisienne. Après la disparition de mon père, le salaire de ma mère ne suffisait à payer les factures. Nous avons donc été forcé de déménagé dans un plus petit appartement moin couteux . Comparé à notre ancien appartement celui ci se rapproche plus de la boîte à chaussure que du palace mais à vrai dire je n'ais pas à me plaindre : j'ai encore ma chambre à moi toute seule. Parfois je me demande que serai ma vie si rien n'avait changé, si papa n'était pas ...

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Bip!Bip !Bip! L'horrible bruit de mon réveil me tire d'un sommeil profond.
Je baille tout en étaignant mon réveil. Il indique samedi 18 Mars: 10h30. Mince! J'ai encore oublié d'éteindre l'alarme de mon réveil. Une immonde odeur de brûlé remonte jusqu'à mes narines. Beurk ! Puis c'est au tour du cri strident du détecteur de fumée. Je me lève précipitamment, manquant de tomber en glissant sur la couverture et cours jusqu'à la cuisine. Quand j'entre, une épaisse fumée noirâtre emplie la pièce.Je remarque immédiatement l'arme du crime : ma mère tient entre ses mains une poêle dont le contenu reste encore inconnu. Je m'empresse d'aller éteindre le détecteur de fumée et d'ouvrir la fenêtre. Ma mère dépose la poêle sur la table en toussant puis se laisse tomber sur une chaise.

Ma mère : j'ai fait des crêpes

Elle sourit tristement

Ma mère : mais je crois que je les aient laissées curent trop longtemps

Je saisit la poêle poser sur la table , ouvre la poubelle et verse les reste de crêpes brûlés. Soudain on sonna à la porte

Ma mère : j'y vais

Je m'approche du lavabo et jette la poêle dedans avant d'ouvrir le robinet. C'est alors que j'entends la voix énervé de ma mère en pleine conversation.

Ma mère : non! Laissez nous. Ça m'ait égale . Sortez de chez moi !

Une femme : prenez ça, si vous changez d'avis. Dites lui de passer à ma boutique.

Un bruit de porte qui s'ouvre.

Ma mère en colère : sortez de chez moi !

Des bruits de pas puis un violent claquement de porte.
Ma mère réapparait au milieu de la cuisine

Moi : ça va ?

Ma mère : oui, je crois que je vais retourner m'allonger un peu.

Moi : d'accord, c'était qui ?

Ma mère : encore un de ses vendeur d'assurance trop insistant .

Je fronce les sourcils

Moi : tu es sûr ?

Ma mère : oui regarde !

Elle me montre un petit carton.

Ma mère : il m'a laissé un de ses petit carton de visite.

Elle sourit puis s'approche de la poubelle s'empresse de le déchirer et de le jetter.

Ma mère : une bonne chose de faite

Je sourit

Moi : aller , va te reposer.

★★★★★★★★

J'était allongé sur le rebord du canapé, télécommande à la main, les yeux rivés sur la rediffusion des anges quand le téléphone sonna. Prise par surprise par la sonnerie, je sursaute et tombe du canapé. Aie!!!Je me relève et saisit le téléphone.

Moi : allô ?

Anaïs : ça va ?

Moi : oui et toi ?

Anaïs : ouais

Moi : ça va je te dérange pas

Un silence s'installe.

Anaïs : mais c'est moi qui t'appelle

Je rigole

💕💕💕💕💕💕💕

Anais est ma meilleure amie depuis ... Euh... Depuis toujours enfaite. Elle habite quelque rue plus loin . Elle a un petit accent marseillais qui fait craquer tout le monde. Elle a toujours été là pour moi même dans les moments et les choix difficiles et surtout j'adore faire les boutique avec elle. on s'amuse toujours plus à chaque fois.

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Anaïs : tu fais quoi aujourd'hui ?

Moi : attend je regarde dans mon agenda. Alors, samedi 18 Mars ... Euh rien je crois

Anaïs : on va au centre commercial ?

Moi : je serai devant chez toi d'ici 30 min

Anaïs : à tout de suite

Je saute du canapé et je file à la salle de bain. Je me douche en vitesse et enfile les premiers vêtements qui tombe sous la main : un bob rouge, une tee shirt blanc et un jean blanc puis je file retrouver Anaïs.

★★★★★★★

Quand j'arrive en bas de chez anais, elle est déjà en là à m'attendre. Elle a été plus rapide que moi pour une fois.

Anaïs : on y va à pied

Je fait la moue

Anaïs : allez grosse vache, c'est à 5 min d'ici . Courage , il fait beau en plus.

✨✨✨✨✨✨✨

C'est vrai que le chemin m'as paru moin long que d'habitude. Peut être parce que d'habitude quand on le fait les températures tourne autour de - 2 degrés.

Arrivé au centre commercial, nous nous dirigeons directement dans nos boutique préférée. J'essaye deux ou trois robes mais elle reste hors de mes finances quant à Anaïs elle craque sur une jupe crayon et un petit pull.
Après avoir fait la queue et payer, nous nous dirigeons vers la sortie.

Moi : avant de partir on peut aller dans la boutique diamand broken.

Anaïs : oui,vient c'est par là.

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Lorsque j'entre dans la boutique je remarque immédiatement une petite pochette, je m'approche pour mieux la voire : elle est ornée de petite fleur rouge et rose.
Je la prend dans mes mains. Je fais glisser mes doigts le long de la fermeture éclaire et l'ouvre.
Elle dégage un parfum de jean neuf, odeur que j'adore car elle me rappelle mon enfance . Je la redépose, sachant pertinemment qu'elle est hors de prix. Je songe quelque secondes à la volé mais serai mal.Je commence à me dirige vers un autre portique quand sur un coup de tête je me redirige vers l'endroit où se trouve la pochette, l'enfourne dans sous mon tee shirt et me dirige vers la sortie.

Anaïs : rose tu vas ou attends moi !

Elle court à petit pas pour me rejoindre. Je suis presque sortie quand la voix de l'agent de sécurité ce fait entendre :

L'agent de sécurité : eh ! Vous arrêtez vous !

Je me fige. Je suis fichu.
Il s'approche.
Je sort la pochette de sous mon tee shirt. Il me l'arrache des mains.

L'agent de sécurité : suivez moi !

Une voix : laissez la . Mettez ça à mon compte.

💎 Fin chapitre 1 💎

Qui est ce mystérieux bienfaiteur?