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Chapitre 3 - Les jours d'après...

*POV Aurélien*

Depuis ce jour-là, je prenais un "rendez-vous" par semaine sur ce site. Je choisissais toujours Guillaume. Il semblait heureux de savoir que je ne choisissais personne d'autre que lui.

La semaine se passait normalement : métro, boulot, dodo...et le weekend on se retrouvait à l'hôtel ou chez moi pour nos sessions haletantes. Ces dernières se firent de plus en plus hardcore et intenses (parce que je le lui demandais). On aurait dit que mes fantasmes devenaient de plus en plus compliqués à assouvir.

Quand il me stimulait, je voulais qu'il me frappe. Quand il me frappait, j'espérais qu'il me morde. Quand il me mordait...qu'il me fouette. Ainsi de suite.

« Tu aimes bien tester tes limites, à ce que je vois. » - m'avait-il déclaré, la 3ème nuit.

Je ne sais pas pourquoi...mais de temps en temps j'ai envie qu'il reste avec moi au lit. J'en ai marre de ne pas le voir à mes côtés quand je me réveille le matin et de sentir la froideur des draps de son côté. Je pense...que je veux plus qu'un coup d'un soir...

*4ème session*

Aurélien haletait fortement. Sa respiration saccadée accompagnait les battements démesurés de son cœur. Il se trouvait dans une position plus qu'inconfortable : il était sur le ventre, contre le matelas, ses poignets étaient attachés à ses chevilles, le forçant à se cambrer et à relever son postérieur. Et comme si ça ne suffisait pas, Guillaume lui avait retirer la possibilité de se plaindre en le bâillonnant avec une boule rouge et deux pinces en métal pinçaient ses tétons. Le ratio douleur-plaisir était plus équilibré sur la douleur.

« Qu'il y a-t-il, Aurélien ? C'est trop pour toi ? » - ricana-t-il avant de lui cravacher fortement son derrière – « Pourtant c'est toi qui voulais pousser cette session à son apogée, non ? »

C'était vrai. Aurélien lui avait demandé d'aller au max, pour cette 4ème session :

« Je veux que tu me donne le pire de ce que tu as. »

« Tu es sûr de ça ? »

« Non. Mais fais-le. »

« Une fois que j'aurais commencé, tu ne pourras pas me demander d'arrêter... »

« Fais-le. »

« ...bien. Le client est roi, après tout. »
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« MMMMMMMH ! » - cria Aurélien en recevant un énième coup de cravache sur le dos et sur son derrière.

« Cesse tes pleurnicheries ! Tu dois tenir maintenant ! » - ordonna Guillaume en le frappant encore une fois – « Ton corps...ton corps est recouvert de traits et de marques rouges. Toutes m'appartenant. Toutes. Mais c'est parce que tu me l'as demandé, n'est-ce pas ? Tu regrettes ? »

Aurélien ne répondait pas. Du moins, il ne lui fit pas de signes qui répondaient à sa question. Ses yeux étaient clos et sa respiration irrégulière. Comme s'il devenait asthmatique.

« Oh ! J't'ai posé une question ! » - il lui attrapa l'épaule et le retourna sur le dos – « Est-ce que tu re... » - il s'arrêta en pleine phrase. L'érection dure et, visiblement, douloureuse du plus jeune lui donna une réponse claire.

« Non. Tu ne le regrette pas. C'est exactement ce que tu veux. » - il rapprocha son visage du sien et lui chuchota à l'oreille – « Tu veux que je te touche...? » - demanda-t-il en effleurant son sexe avec son index.

Aurélien hocha la tête rapidement et désespérément.

« Oui ! Pitié ! Touche-moi ! Touche-moi ! » - voulait-il crier.

« Eh eh... Continue de rêver. » - sourit Guillaume en s'éloignant du plus jeune – « N'oublie pas que... » - il ouvrit sa mallette – « ...tu m'as autorisé à faire tout ce que je veux de toi. Alors je compte en profiter au maximum du visage que tu as en ce moment. Tu m'excite quand tu te montres complètement soumis et sans défense... » - il sortit de la mallette un sex-toy qui donna la chair de poule à Aurélien quand il le vit : un chapelet thaï.

« On va bien s'amuser... »

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Guillaume avait enfoncé les billes du sex-toy une par une dans son intimité. Chaque coup de pénétration fit gémir Aurélien, mais il avait du mal à dire s'il appréciait ou non. En tout cas, son érection était encore tendue et ne semblait pas se calmer.

Soudain, une fois la 5ème bille entrée, le plus jeune eu un réflexe : il jeta sa tête en arrière et sa jambe droite essaya de s'étirer mais les cordes l'en empêchèrent.

« Ah...j'ai touché ta prostate, on dirait... »

« Mmmmh...MMHHHHH ! » - des larmes commencèrent à s'échapper de ses yeux.

« Ne t'emballe pas. Il manque encore quelques-unes... » - dit-il avant d'enfoncer la sixième.

Aurélien était dans un entre deux. Le plaisir que cette humiliation lui procurait était indescriptible. Ses yeux roulaient, sa peau étaient en chair de poule, ses pensées en bordel et, malgré le bâillon, ses cris étouffés étaient forts et audibles. Il remercia mentalement le ciel d'être chez lui, et non pas dans une chambre d'hôtel comme les deux premières fois. C'était sûre qu'on l'aurait entendu et que les clients de la chambre voisine auraient porté plainte pour le tout ce boucan. Dans son immeuble, il n'avait pas de voisins à proximité, donc pas de risques d'entendre des battements à sa porte durant leur session malsaine.

« Et...la 10ème et dernière. Voilà. » - le jouet étaient entièrement dans son rectum. Juste le petit embout en ressortait pour le retirer.

« T'as réussi à tenir jusqu'ici sans jouir. J'avoue que je suis surpris...agréablement surpris. » - il saisi sa cravache à nouveau – « Voyons combien de temps encore tu arrives à tenir... »

Aurélien ferma ses yeux pour se préparer à l'impact de la cravache mais rien ne le heurta. Il sursauta en sentant le cuir de l'objet glisser délicatement sur sa jambe, vers son bassin, son ventre, son torse...son cou...sa joue...

« Regarde-moi, Aurélien. » - lui ordonna-t-il en lui tapotant doucement sa joue.

Le visage d'Aurélien lui fit sentir tellement d'émotions différentes : pitié, satisfaction, excitation, envie... Ses larmes décoraient ses joues d'une façon presque poétique, sa salive avait coulé de son menton et mouillé son oreiller. Ses cheveux humides à cause de la sueur étaient éparpillés, en bataille sur le matelas et quelques mèches collèrent à son front. Guillaume remarqua sa petite mèche blanche rebelle qui se perdait dans cette jungle brune.

« Oh, Aurélien... » - il passa une main dans ses cheveux – « Tu es vraiment adorable... » - il passa son pouce sur sa joue pour dégager ces traits humides – « Tu me donnes envie de tout te faire...tu es si obscène et sexy...pourtant tu as cette part de sensibilité qui donne envie de te dominer de la pire façon possible... Si tu savais comment j'ai envie de toi en ce moment précis... »

Sa prise sur ses cheveux se serra, laissant échapper un petit sanglot étouffé de la bouche du soumis.

« Tu souhaites toujours que je te fouette ? » - demanda-t-il avant de lui claquer le fessier – « Que je te morde ? » - il lui planta ses dents dans sa nuque - « Alors ? Petite salope... T'aime ça, hein ? »

Aurélien était aux anges. Il ne pensait pas que c'était possible d'atteindre autant de plaisir en une nuit. Mais, malgré toute cette satisfaction, quelque chose manquait... Il tenta de le faire comprendre, tant bien que mal, de le lui faire comprendre en marmonnant derrière son bâillon.

« Quoi ? Qu'est-ce qui a ? Tu as autre chose à me demander ? » - il lui détacha des sangles derrière sa tête, le laissant reprendre la parole – « Vas-y, je t'écoute. »

Aurélien toussa plusieurs fois avant de bredouiller – « Gui...Guillaume... »

« Oui ? Prends tout ton temps... Ça ne me dérange pas de te voir comme ça... Je pourrais m'habituer à cette vue... »

« Je...je veux...que...AH ! » - gémi-t-il en sentant la main du dominant frôler son derrière et son doigt attraper l'embout du chapelet – « Non ! Guillaume ! Arrête ! »

« J'adore t'entendre supplier... T'as une voix tellement érotique... » - il tira sur l'embout laissant sortir une bille.

« Arrête ! Arrête, pitié ! Je vais... ! Je vais... ! »

« Oh que non... Tu ne vas pas jouir tout de suite. Tu ne te rappelle pas de ce qu'on a toujours convenu ? Tu es prohibé de jouir avant moi. Et laisse-moi te dire que j'ai encore beaucoup de marge avant de finir... »

Sur ses mots, Guillaume défi sa braguette, exposant son sexe tendu comme un mât et comment à se caresser sans quitter des yeux son adorable petit partenaire.

« Alors vas-y, Aurélien. Dis-moi comment tu comptes me satisfaire. Tu veux me sucer ? Ou tu veux que je me touche en te regardant tout simplement ? Tu veux que je finisse dans ta bouche ? Sur ton visage ? Ton torse ? »

« Je...je veux... »

« Oui ? »

« Je...te veux...toi. »

Guillaume arrêta brusquement de le toucher. Avait-il bien entendu ?

« Tu me veux...moi ? »

« Oui...*inspiration*...je veux que tu me baise. Pas avec tes jouets. Pas avec tes doigts ou ta langue. Je veux... ta queue. »

Guillaume resta interdit pendant quelques secondes avant de lui répondre d'un ton calme : « Aurélien. Tu sais très bien que je ne pénètre jamais mes contacts. C'est la seule chose à laquelle je me soumets. »

« S'il te plait...j'ai besoin de toi...en moi. J'ai besoin que tu me prennes entièrement. Que tu me ravage. Depuis notre première session, c'est tout ce que j'ai réellement souhaité. »

Le plus vieux soupira, toujours sans le quitter des yeux – « Donne-moi une bonne raison pour accepter ta demande. »

« ...tu as accepté toutes mes demandes jusqu'à maintenant. Pourquoi refuser celle-ci ? »

Guillaume se tut. Il avait beau être en position soumise, il avait encore le culot de lui répondre ainsi.

« Et puis... » - il continua – « Tu ne veux pas faire une exception pour ton contact préféré... ? »

Guillaume grogna avant de se lever du lit.

« Tu es incroyable, Aurélien. » - il prit sa mallette et chercha quelque chose. Un préservatif – « On dirait bien que je ne peux rien te refuser... »

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