~ Chapitre 18 ~
Me Duele Tu Ausencia ~~ David Zepeda.
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Martine souriait et finit de lui sécher les cheveux, et après elle s'attaqua donc à sa tâche, elle brossa soigneusement ses cheveux et les rattachaient en un joli chignon, puis la maquilla légèrement comme elle l'avait demandé.
— Avez-vous terminé ? Dit-elle impatiente.
— Attendez, une dernière couche, et voilà, s'exclama Martine en déposant le mascara sur la coiffeuse, j'ai terminé.
— Il était temps.
Aline soupira de soulagement avant de se retourner vers la glace, la patience n'était pas son fort malheureusement.
— Alors vous en dites quoi ?
— Euh...
— Cela veut-il dire que je mérite un gros merci ?
— Qu'avez-vous fait d'Aline ? Dit-elle stupéfaite du travail de sa sœur.
— Elle est là, vous êtes vraiment belle.
— Merci.
Elle avait du mal à se reconnaître, elle était vachement différente lorsqu'elle entretenait bien ses cheveux et son jolie visage, dommage qu'elle ne savait pas coiffer, mais elle aimait être naturel.
— Maintenant allez vous habillé.
— Oui, bien sûr.
Elle se leva de la banquette et alla dans le dressing, Aline enfila la longue robe que lui avait conseillé Martine et Esteban... De couleur bleue ciel, elle était décolletée et mettait en valeur sa silhouette, elle mit des hauts talons noir, et lorsqu'elle sortit du dressing elle ne trouva pas sa sœur, Aline se regarda une dernière fois dans le miroir après avoir mit des boucles d'oreilles, assortis d'un collier et d'un bracelet en forme de chaîne. Satisfaite du résultat, elle respira un grand coup avant de s'emparer de sa pochette noir en cuir et sortit de sa chambre.
— Waw, s'exclama Martine en sortant aussi de la sienne, vous êtes terriblement ravissante.
— Merci, rit-elle doucement, je vous fais le même compliment.
Martine avait opté pour une robe courte rose saumon avec une décolletée plongeant en V et des hauts talons noir accompagné d'une pochette rose saumon, Contrairement à Aline, elle avait mit des boucles d'oreilles et un collier.
— On doit y aller maintenant, mère devrait déjà être en train de s'impatienter.
— Allons-y, dit Aline.
Comme l'avait prédit Martine, ils étaient déjà dans le salon à les attendre.
— J'ai pensé que vous vous êtes perdu en chemin, dit Jocelyne sans pour autant cacher son impatience.
— Ne faites pas attention à elle, chuchota leur père, vous êtes magnifique.
— Merci père, disent-elles à l'unisson.
Sur le chemin personne n'avait osé parler, ne pouvant plus supporter trop longtemps ce silence pesant, Martine avait tenté de le rompre avec des blagues, sans pour autant parvenir à le faire, à mainte reprise elle essayait et abandonna jusqu'à ce que la voiture s'arrêtait, signe qu'ils étaient enfin arrivés.
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