~ Chapitre 16 ~
Cuando me enamoro ~~ Enrique Iglesias. Feat. Juan Luis Guerra.
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— Allez Aline on désire voir la robe, n'est-ce pas Esteban ?
— Oui, bien sûr mademoiselle.
Elle souffla un coup avant de sortir, elle se figea lorsque les deux paires d'yeux la dévisageait sans rien dire.
— Elle ne me va pas, c'est ça ?
— Mais non, dit Martine, regarde toi.
Sa sœur la retourna vers un miroir qu'elle n'avait encore jamais remarqué jusqu'à maintenant.
— Tu vois, elle te va à ravir.
— Vous êtes sublime mademoiselle.
— Merci Esteban.
— Si vous m'aviez dit la même chose, j'aurais toujours envie d'essayer.
— Et on aurait passé des siècles ici.
— Aline voyez-vous maintenant qu'Esteban m'agace.
— Je suis loin de vouloir vous agacez mademoiselle Martine, se défendit-il.
— Mais vous m'avez agacer quand même.
— Je suis désolé mademoiselle.
— Bien, excuse accepter si seulement vous m'achetez une glace.
— Hein ? Dit Esteban, vous voyez mademoiselle Aline, mademoiselle me fait du chantage maintenant.
— Arrêtez je vous prie, riait Aline, ne me mêlez pas de vos affaires. Esteban.
— Oui mademoiselle.
— Une glace me ferait beaucoup plaisir aussi.
— Yes, s'exclama Martine en sautillant comme une petite fille.
Et quant à ce cher Esteban, il se résigna au chantage de ses mademoiselles, deux contre un, c'était perdu d'avance.
— Et vous Martine avez-vous déjà trouvés ce que vous comptez offrir ?
— Oui depuis que j'ai mis les pieds à l'intérieur du magasin.
— Puis vous...
— Allez il faut s'amuser aussi.
— Vous allez grandir quand ?
— Jamais, allez-vous changer et après on ira payé.
— D'accord.
Elle enleva la robe et remit ses vêtements, Martine et Esteban lui conseillait d'acheter la robe, ce qu'elle fit, et une fois tout payé ils rejoignirent la voiture et déposa les achats dans le coffre. Ils s'étaient arrêtés dans le parc, Esteban était allé leur acheter les glaces qu'elle avaient demandées et profitèrent de promener Sushi... Pour une fois ils rigolèrent un peu et apprenaient à connaître Esteban, qui, lui travaillait depuis longtemps pour leur famille, ce qui ne les étonnaient guère, car depuis petite elles connaissaient Esteban, et elles apprenaient qu'il avait une épouse et deux enfants, une petite fille et un petit garçon.
C'était paisible et agréable, Aline se perdit à l'admiration, les gens qui passaient, pressés de rentrer chez eux après une longue journée de travail, et certaines personnes étaient venus passer du bon temps en amoureux, et les enfants qui s'amusaient comme des fous... Ce beau tableau lui donnait toujours un joli sourire aux lèvres, elle se laissait toujours aller face à cela et se disait, peut-être elle aussi connaîtrait cet amour éternel qu'elle voyait autour d'elle.
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