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~ Chapitre 1 ~


Te Fuiste ~~ Enrique Iglesias.

*****

Son cœur était en miette, elle devait vivre avec le fait que l'homme qu'elle aimait tant ne ressentait rien pour elle... Mais de là à ce que sa mère voulait lui dictée sa vie, Aline ne pouvait pas supporter ça, jusqu'ici elle avait céder à toute ses caprices mais c'était hors de question qu'elle épousait un homme dont, elle ignorait l'existence et qu'en plus de ça... Sa blessure lui faisait encore mal. Elle avait souvent entendu dire, que le temps guérissait les blessures, elle espérait donc que cela fonctionnait pour elle aussi, car elle ne pouvait plus supporter cette blessure qui la rongeait à chaque instant... À chaque minute de sa vie.

Finalement, elle aurait dû garder pour elle ses sentiments et sauver leur amitié, elle avait fait le mauvais choix en lui dévoilant tout... Mais hélas c'était bien trop tard pour revenir en arrière. Aline soupira de dépit, elle s'enveloppait dans une couverture avant d'aller sur le balcon, l'air frais lui procura un bien fou, elle n'avait pas dormi de la nuit, de peur de voir encore son visage et celle de sa fiancée, elle se demandait si un jour tout finira par s'arranger ? Mais Aline savait que son ami ne pouvait pas tomber amoureux d'elle, et que sa mère ne pouvait pas oublier l'idée de la mariée à un inconnu.

Le soleil commençait à se lever, Aline sourit en contemplant ce beau tableau, comme elle aimait tant regarder la nature, c'était leur moment favoris à tout les deux de se perdit à leur contemplation, elle n'oublierait jamais ses moments passés avec lui...

— Aline, entendit-elle, tu es réveillé ?

Elle soupira avant de partir ouvrir à sa sœur et sourit en voyant Sushi, qui lui, tournait autour d'elle et se mit sur le dos en réclamant sa petite caresse.

— Ça va ? Lui demanda sa sœur.

— Qu'est-ce que tu veux que je te réponde ? Dit-elle en caressant Sushi.

— Je veux que tu me dises la vérité.

— Hmm, soupira-t-elle en se levant.

Elle partit s'asseoir sur le bord du lit près de sa sœur, avant de lui avouer :

— Je ne sais pas si un jour je vais aller mieux, à vrai dire je n'y crois pas une seule seconde.

— Tu... Tu penses encore... À lui ? Demanda Martine précautionneusement.

— Oui en particulier, mais je pense à tellement de choses ces temps-ci.

— Comme à ce que tu as découvert.

— Oui, et ça me soule parfois.

— Je comprends, tu n'as rien trouvé sur lui ?

— Non, pas grand chose en tout cas.

— On trouvera quelque chose je te le promets, dit Martine en déposant une main sur la tienne en signe de réconfort.

— Tu crois que je devrais poursuivre ma recherche ? Tu sais, si maman ne nous en a pas parlé c'est pour une raison, et surtout la façon dont elle parlait de lui dans son carnet ne m'as pas donné envie non plus.

— Je sais et je te comprends, mais tu dois connaître aussi la vérité. Il n'y a pas que la version de maman qui compte.

— Je ne connais pas sa version à vrai dire, pas dans les moindres détails.

— Maman ne t'en dira jamais ce qui c'est réellement passé.

— Je sais mais et si... De toute façon je suis habituée à être rejeté, non ?

— Ne dis pas n'importe quoi Ali, fit Martine en la prenant dans ses bras.

C'était pourtant simple, elle n'était pas né pour être aimé, d'abord sa mère qui ne l'avais jamais montré aucune once d'affection, ni d'attention, et lui qui n'avait pas voulu entendre parler d'elle, et pour finir, l'homme qu'elle aimait... Aline se leva de son lit et se rendit dans la salle de bain quant à Martine, elle sortit suivit de son chien.

                               ***

Aline laisse-moi te parler je t'en prie.

Je t'ai dit plusieurs fois que je ne voulais rien savoir. Laisse-moi tranquille.

Je suis désolée de ne pas t'en avoir parlé avant.

C'est bien trop tard pour ça, tu ne crois pas ?

Depuis la fameuse réunion familiale qui avait eu lieu, plus rien n'allait comme avant, Bernard en voulait toujours à Jocelyne d'avoir pris cette décision d'épouser Aline... Et Aline en voulait à Martine de ne lui avoir rien dit, elle avait compris qu'elle savait quelque chose à propos de ça, et maintenant que Martine voulait s'expliquer, Aline voulait rien entendre.

Je comprends que tu sois en colère, j'aurais réagis de la sorte, mais au moins écoute moi.

— Je ne me ferais pas répéter deux fois, va t'en.

Elle n'entendit plus rien, croyant que sa sœur avait fini par laisser tomber, elle se recoucha.

— C'est pour cette raison que je voulais que tu dises à Manuel que tu l'aimes, avoua Martine après un moment de silence.

Aline soupira avant de quitter son lit et d'aller ouvrir la porte à sa sœur.

— Quel rapport ? Qu'est-ce que Manuel fait dans tout ça ?

Aline observa un instant sa sœur et lisait le regret ainsi que le chagrin sur son visage, et tout de suite sa colère envers elle disparut. Elle se décala pour laisser entrer Martine avant de refermer la porte.

— J'avais surpris mère au téléphone il y a quelques semaines, commença Martine après que sa sœur fut installé près d'elle sur le lit, j'avais donc compris qu'il s'agissait d'un mariage arrangé.

— Donc au lieu de m'en parler librement, tu as préféré m'encourager dans mon délire de tout dire à Manuel.

— Je pensais que ça allait marcher... Que si tu dévoilais tes sentiments à Manuel, peut-être que mère aurait changé d'avis en vous voyant amoureux... L'un de... L'autre.

Sauf que ça n'a fait qu'empirer les choses. L'idée de me marier à un inconnu est toujours dans la tête de maman ça ne changera jamais.

— C'est du passé maintenant, dit Martine l'air pensive.

— Du passé ? Je crois que tu as perdu la boule.

— Si la mariée venait à disparaître, tu crois qu'il y aura toujours un mariage ?

— De quoi tu parles ? Je ne suis pas disparu.

— Oui je sais... Et si...

— Et si quoi Martine ? À quoi tu penses ?

— Et si on s'enfuyait ?

— Quoi ? Mais tu es folle, comment veux-tu enfuir, hein dis moi ? Tu crois que maman est idiote ou quoi ? Elle m'as interdit l'accès de sortir de la maison et d'autant plus, ni Esteban et ni les autres ne me laisseront franchir la porte. Donc ton idée est complètement débile et risquer.

— Elle est risquée c'est sûr, mais pas débile, réfléchie bien Aline.

— Réfléchir à quoi, tu peux me dire ? Soit j'accepte de me marier ou soit je ne fais plus partie de cette famille, on dirait que tu ne comprends rien à ça.

— Maman n'en serait pas capable...

— Au contraire, coupa-t-elle, maman serait capable de n'importe quoi. Et non je ne compte pas m'enfuir.

— Alors bonne chance pour ta nouvelle vie en tant qu'une épouse malheureuse. Après ne vient pas te plaindre auprès de moi.

                                ***

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