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Chapitre 24

Je détestais toujours autant danser. Même avec Nahl. Lui étrangement, adorait ça. Le pire était qu'il était vraiment doué. Il se mouvait avec une grâce et une élégance que je n'aurais pas cru qu'il possède

- Sommes-nous supposés danser ensemble ? questionnai-je.

- Pas vraiment, admit-il. Mais tu es ma sœur. Notre situation ne correspond pas tellement à ce que les cours sont habituées à voir.

- J'ai cru remarquer au vu des regards hallucinés qu'ils arborent tous.

Il pouffa et je me sentis sourire. Il raffermit sa prise sur ma taille.

- N'est-ce pas toi qui m'as parlé d'unité ? Autant commencer avec éclat. Et puis, ajouta-t-il, c'est notre couronnement. J'avais envie de danser avec ma ravissante grande sœur. Je suis roi, personne ne peut m'en empêcher et personne n'a rien à dire.

Je secouai la tête, amusée malgré moi. Je ne parvenais pas à concilier les deux faces de Nahl. Le Chasseur et mon petit frère. J'allais devoir m'y habituer. J'étais la Reine Blanche, désormais. J'allais devoir travailler à ses côtés pour régner. Nous avions besoin l'un de l'autre. Même une fois que j'aurais récupéré toutes les connaissances du Roi Blanc, je ne pourrais pas m'en sortir sans Nahl.

- Il y a quelque chose dont il faut que nous parlions, lui dis-je.

- Qu'est-ce qu'il y a ?

- Naseok. Je sais que c'est un Unseelie mais...

- Où il ira sera son choix. Et je sais qu'il ira vers toi. Même si j'aimerais bien le garder pour moi.

Son regard fut si éloquent que je me fis une joie de lui marcher sur le pied. Il grimaça.

- Quoi ? C'est vrai. Il me plaît, d'accord ? Mais le fait est que votre relation est trop forte pour que je m'y immisce. Tu as besoin de son soutien et je sens qu'il a besoin du tien aussi. Il y a quelque chose chez lui qui... qui souffre.

Je hochai la tête. Ce n'était pas une surprise. Il faudrait de longs mois pour que Naseok parvienne à mettre derrière lui ce qui s'était passé sur le bateau. J'avais déjà du mal à oublier le peu que j'avais vu... Je n'osais imaginer ce que Naseok pouvait ressentir. Il avait été victime de la pire des choses que je pouvais imaginer. J'avais été torturée par le Roi Noir et, pourtant, je doutais que ça ait causé la moitié des dégâts que ce viol avait infligé à mon ami.

- Il s'est passé quelque chose, n'est-ce pas ? Durant votre voyage.

- Oui. Quelque chose de très grave. Il te le racontera s'il en ressent le désir ou le besoin mais sache qu'il est très fragile. Il me tuera s'il apprend que j'ai dit ça mais c'est vrai. Ce qu'il s'est passé l'a presque brisé. Alors, même s'il te plaît, laisse-le guérir d'abord.

- Je ne comptais pas lui sauter dessus, tu sais. Il a des centaines d'années et je suis un gamin à ses yeux. Je doute qu'il puisse s'intéresser à moi, de toute façon.

S'il savait ! Cependant, je doutais que Naseok fasse quoi que ce soit. Il allait falloir du temps pour guérir et panser ses plaies et je commençais à songer que notre courte durée de vie ne serait pas suffisante.

- J'ignore ce qu'il pense de toi, répondis-je simplement. Juste... Sois délicat avec lui. C'est devenu mon meilleur ami et il a bien assez souffert comme ça.

Il opina du chef et nous dansâmes quelques instants en silence.

- As-tu tué ceux qui lui ont fait du mal ?

Sa voix était devenue dure. La voix du Chasseur.

- Oui.

- Bien.

Il retomba dans le silence alors que la chanson se poursuivait. S'il y avait une chose qu'il fallait donner aux Faes, c'était leur talent pour la musique. Leurs chants et leurs mélopées étaient incroyables. C'était quelque chose que je n'avais jamais eu dans le Grand Royaume. La musique étant une source de pouvoir pour les Faes, Quinten Madsen avait interdit jusqu'au moindre sifflement. Ce qui avait rendu les bals étranges et embarrassants. Je me souvenais parfaitement du seul auquel j'avais assisté.

Penser à Ryker n'était pas une bonne idée. Je savais qu'il était quelque part dans la foule et j'avais envie de le narguer. De lui montrer que j'étais reine et qu'il n'était rien. Il avait perdu son trône alors que j'en avais gagné un bien plus puissant que le sien. Lui rappeler que je ne l'aiderais pas à le récupérer aussi.

- Ton prince humain semble faire route vers nous, murmura Nahl. Sûrement pour danser avec toi. Dois-je te céder à lui ?

- Non. Il ne veut pas danser. Il veut que je revienne sur ma décision.

- Quelle décision ?

- Celle de rompre notre marché et de le renvoyer chez lui sans armée. Je n'ai plus besoin de ce qu'il était supposé m'offrir. Et sa vue me fait horreur. Aussi, dès demain, je le renverrai chez lui avec les pirates.

- Et la guerre avec les humains ?

Je le laissai m'entraîner plus loin sur la piste pour éviter Ryker.

- J'avais pensé que nous pourrions élever des murs autour de la Faerie pour nous isoler le temps qu'elle se remette du temps passé dans la Cage de Fer.

- Ce n'est pas une mauvaise idée. Nous sommes en position de faiblesse. Le territoire est affaibli, le peuple est encore sous le contrecoup de la sortie de la Cage et nous ne sommes pas prêts du tout à être roi et reine. Mieux vaut que nous nous concentrions sur la Faerie plutôt que sur des humains.

- J'espérais que tu accepterais. Je ne me voyais vraiment pas devenir reine et devoir faire la guerre en plus de devoir m'occuper du peuple. Allons-y doucement mais sûrement.

- Ensemble, ajouta-t-il avec un sourire.

- Ensemble, confirmai-je. Rien que ça, ça va être complexe. Mais si on s'unit sous une même bannière, nous ne serons que plus fort pour en finir avec la guerre. Si elle n'est pas déjà terminée d'ici à ce que nous ayons complètement pris les rênes de notre territoire.

Nahl se mit à rire.

- Vu les désastres qu'ils viennent de choisir comme roi et reine, ça va mettre des centaines d'années ! Tu te rends compte que tu verras ton humain vieillir et mourir mais que tu auras toujours cette allure à ses funérailles ?

Je demeurai silencieuse. Je n'avais pas songé que prendre le trône Seelie me donnerait l'immortalité Fae comme si j'avais été une Sang-Pur. L'idée de toujours avoir l'air d'avoir vingt-et-un ans lorsque Ryker serait enterré me perturbait. Ce n'était pas une image que j'aurais pu imaginer possible. Moi ? Vivre éternellement ? Je n'avais pas tellement envie de voir ce que ça allait donner.

Heureusement, si je voulais en finir, il me suffisait d'avoir des jumeaux pour qu'ils prennent la relève. Alors, Nahl et moi pourrions mourir.

- J'irai cracher sur sa tombe, répondis-je simplement.

- Tu trouveras mieux que lui. Tu es la nouvelle Reine Blanche. Tu vaux mieux qu'un humain.

- Je suppose. Un jour, peut-être. Pour l'instant, il y a plus important à gérer.

- Tu es trop sérieuse, tu le sais ?

Sans me laisser le temps de répondre, il me fit tourbillonner au son de la musique qui avait pris un rythme plus rapide. Je ne cherchai pas à résister et appréciai simplement ce moment avec mon frère. C'était la première fois que nous étions ensemble, libérés de tout poids sur les épaules. Autant apprécier les célébrations avant que nos responsabilités ne réapparaissent.

*******************

La première chose que je fis le lendemain en me levant – en début d'après-midi, comme la majeure partie de la Cour Blanche –, ce fut m'occuper de Ryker. Je ne supportais plus de le savoir dans les parages. Plus vite nous serions débarrassés de lui, plus vite Nahl et moi pourrions prendre les rênes.

Nous étions d'accord sur le fait de fermer la Faerie et de se concentrer sur elle seule. Bien sûr, il allait falloir faire passer la décision par nos deux conseils pour pouvoir la mettre en œuvre mais j'avais peu de doutes sur l'issue des discussions. N'importe qui ayant l'œil un tant soit peu ouvert verrait que c'était ce dont la Faerie avait besoin.

S'ils refusaient... Je ferais valoir le poids de ma nouvelle couronne et, avec un peu de chance, ça suffirait à renverser la vapeur.

Cependant, quoi qu'il arrive, Ryker devait partir. Il n'avait aucune raison de rester et de me torturer. Le voir ne faisait que me rappeler sa trahison et toutes celles dont elle était entourée. Son visage en était venu à représenter une vie de mensonges. Maintenant que j'étais là où j'étais née pour être, il était hors de question que je m'encombre de souvenirs douloureux. J'avais mieux à faire.

Je pris mon petit-déjeuner et m'habillai avec l'aide de deux Seelies dont les années commençaient à se voir sur leurs visages. J'avais eu du mal à leur extorquer leurs prénoms. Apparemment, quiconque ayant sa place sur le trône Seelie n'était pas censé appeler ses servants par leur prénom. Sauf que je n'étais pas le genre à appeler les gens « hé, toi, là-bas » lorsque j'avais besoin de leur aide.

Ma seconde bataille avait été remportée aussi et concernait ma tenue. Je n'avais pas envie de me conformer à ce que l'on attendait de moi. Je n'étais pas le genre à parader dans des robes énormes et encombrantes. D'accord, elles étaient magnifiques et devaient avoir été tissées dans les tissus les plus fins. Au demeurant, j'étais cent fois plus à l'aise dans des pantalons et des chemises que dans des monceaux de taffetas et de tulle.

Saleh et Solana avaient insisté que je devais me présenter comme une reine devant mon peuple et que j'avais des standards à tenir. J'avais objecté que je ne comptais pas être une potiche de salon mais que j'avais bien l'intention de me salir avec les autres. Elles avaient paru abasourdies – sûrement peu habituées à voir la royauté ne serait-ce qu'imaginer se salir – mais je n'avais pas flanché. Il était hors de question que je me retrouve engoncée dans un corset tous les jours.

Nous étions donc tombées sur un compromis. Je porterais des pantalons et des chemises mais ils devaient l'allure qui convenait à mon rang. Personne ne devait me confondre avec un membre de la cour ou un membre du service.

Lorsque je m'étais regardée dans le miroir, je n'avais pas été déçue ou ennuyée. Au contraire. Je n'aurais jamais cru que je pouvais ressembler à ça. Mes jambes étaient moulées dans des bottes en cuir tanné qui montaient jusqu'au-dessus de mes genoux. Le pantalon noir collait à ma peau, épousant chacun de mes mouvements. La chemise que mes femmes de chambre m'avaient forcée à enfiler était d'un vertriche, émeraude, qui faisait ressortir celui de mes yeux. Par-dessus, un pourpoint noir dont les lacets d'argent donnaient à toute la tenue une allure riche et royale.

Le point culminant – en dehors de la tiare délicate et discrète que j'étais obligée de porter – était la cape. Épaisse et douce, chaude à souhait, elle était du même argent que ma robe de couronnement. Le col de fourrure était agréable et donnait à la cape son allure royale. La teinte si particulière demeurait toutefois ce qui attirait plus le regard. Ma robe de couronnement ne serait pas oubliée et cette teinte d'argent allait devenir ma marque. Pas que ça me dérange.

Je traversai la Cour Blanche et gagnai sa voisine où, d'ici le soir-même, les Unseelies allaient se retrancher pour fuir l'arrivée de l'automne. Je n'avais toujours pas totalement compris comment se passait la passation de règne mais je préférais ne pas m'en occuper pour l'instant. Mon objectif était de me débarrasser de Ryker Madsen et c'était exactement ce que j'allais faire. Je m'occuperais du reste après.

Pénétrer dans la Cour Noire ne fut pas aussi difficile que je ne l'aurais cru. Nahl était déjà réveillé, sûrement aussi sur les nerfs que moi. Il m'accueillit dans le salon avec un sourire et une tasse de thé.

- Que me vaut un tel honneur de si bon matin, frangine ?

- Je viens te débarrasser d'un indésirable pour que nous puissions commencer ce dont nous avons discuté.

- Tu ne perds pas de temps ! rit-il. Mais je comprends que tu veuilles qu'il parte au plus tôt. Je dois admettre que c'est difficile de le voir tourner dans les couloirs en sachant quelle raclure il est réellement...

Il se leva lentement, retenant la grimace de douleur que lui infligeaient ses blessures. Il s'était montré si composé que j'en avais presque oublié qu'il n'était pas encore guéri entièrement. Je marchai à son rythme, discutant avec lui sans lui demander s'il avait besoin d'aide, sans lui proposer mon bras. S'il y avait une chose que j'avais comprise, c'était qu'il pouvait se montrer très fier. Surtout lorsqu'il était en position de faiblesse.

Ryker n'était pas encore levé lorsque nous pénétrâmes dans les quartiers qu'il partageait avec les Démons et les pirates. Les deux clans étaient intéressés par ce qui allait se passer, je pouvais le voir sur leurs visages et dans leurs échanges de regards.

J'ouvris la porte à la volée. Ryker sursauta et tomba presque de son lit. Il me jeta un regard encore endormi mais sur ses gardes.

- Qu'est-ce qui se passe ? me demanda-t-il.

- Prends tes affaires et casse-toi. Je te donne une demi-heure. Si tu n'es pas parti d'ici là... Tu ne veux pas savoir ce qui va t'arriver.

Je tournai les talons, prête à partir.

- Sixtine ! cria-t-il.

Aussitôt, Nahl réagit en lui assenant une grande gifle.

- C'est la Reine Blanche, chien ! Tu l'appelleras Majesté et tu lui parleras avec le respect requis par son rang ou je t'arrache la langue !

Ryker se massa la joue et je ne pus retenir un sourire moqueur en le regardant se relever en titubant.

- Majesté, grinça Ryker, luttant contre sa fierté. Puis-je avoir une audience concernant ce départ précipité ?

Je reconnus ses tournures de phrases. C'étaient celles qu'il utilisait pour la politique. Cette voix de velours... Je l'avais trop entendue pour ne pas savoir la reconnaître.

- Non. Une demi-heure.

Je quittai la chambre et fis face aux pirates.

- Pensez-vous pouvoir le reconduire jusqu'à la frontière ?

- Bien sûr, ma reine, répondit le capitaine. Nous serons ravis de débarrasser la Faerie d'un être de son espèce.

- Merci beaucoup, capitaine.

Les pirates s'inclinèrent et partirent dans leurs chambres respectives pour préparer leurs affaires. Ils devaient avoir plus que hâte de retourner en mer.

- Qu'allez-vous faire de nous ? questionna l'un des Démons.

- Et de moi, ajouta Gallagher.

- Tu peux rester si tu le souhaites, dis-je à mon ancien ami. C'est toi qui vois.

Il hocha la tête et repartit dans sa chambre sans rien ajouter de plus. Il avait changé depuis que j'avais quitté Pit's End deux ans plus tôt.

- Pour l'instant, vous allez rester ici, répondit Nahl à ma place aux Démons. Dès que la question qui vous concerne sera résolue, nous mettrons tout en œuvre pour la résoudre et vous ramener chez vous. Pour l'instant, il vous faudra être patients.

- Bien entendu. Mais ne tentez pas de vous jouer de nous, Majestés. Une dette envers l'Ancienne demeure quelque chose de prévalent sur vos trônes.

- Je n'ai aucune intention de renier cette dette, dis-je. Je l'honorerai dès que j'en aurais la possibilité. Ce qui n'est pas le cas présentement.

Ils m'observèrent longuement mais finirent par hocher la tête sans rien ajouter de plus. Moi qui pensais ne me charger que de Ryker, je me retrouvais avec deux problèmes en moins et un en suspens. J'avais vraiment besoin de faire le point.

Nahl et moi partîmes vers son salon pour discuter en attendant que la demi-heure passe. Je savais que j'aurais dû lui poser des questions sur le changement de règne mais je n'en avais pas la force. Je n'avais que le départ de Ryker à l'esprit et me concentrer sur autre chose était compliqué. Impossible, à vrai dire.

- Tu fais bien de le bannir de la Faerie, m'assura Nahl. Tu trouveras bien mieux. Surtout que, pour la plupart, les Faes sont bien plus beaux à regarder que les humains.

- Parce que tu comptes éplucher la liste des possibilités avec moi ?

- Évidemment ! J'ai sûrement passé bien plus de temps que toi à regarder les beautés mâles qui pullulent dans les Cours. Tu vas avoir besoin de ma contribution !

- Je croyais que tu avais déjà les yeux rivés sur un certain spécimen que j'ai ramené dans mes bagages.

- Je ne regarderais pas pour moi mais pour toi, frangine. Et contrairement à toi, j'ai bon goût en matière de mecs.

Je roulai des yeux en riant malgré moi. Le pire était qu'il avait raison. Après tout, Ryker avait beau avoir un certain charme, il ne pouvait en rien se comparer à la beauté létale de Naseok.

- Il est l'heure d'aller le voir partir, finit-il par dire.

Je pris le bras qu'il m'offrait, sachant qu'il me le proposait plus pour que je l'aide à marcher et à maintenir le décorum plutôt que par galanterie. Ryker était traîné par deux pirates dans les couloirs, son sac raclant le sol.

- Ordre de la Reine Blanche, l'humain, siffla l'un des pirates. Tu viens avec nous !

- Je suis l'héritier du trône du Grand Royaume ! Vous ne pouvez pas me traiter comme ça ! beugla Ryker.

- Ici, ta prétention au trône n'a aucune valeur, dis-je, incapable de cacher le plaisir que je ressentais à le voir dans une telle disgrâce. Tu n'es qu'un humain dont j'ai ordonné le départ.

Il parvint à se dégager de la prise des pirates pour venir me faire face. Je ne l'avais jamais vu dans une telle rage. Son visage était déformé par une grimace bestiale.

- Tu me le paieras, Sixtine Aderleen. Je jure sur tout ce qu'il me reste que tu me le paieras.

- Une chance qu'il ne te reste pas grand-chose, dans ce cas.

Il me suffit d'un regard vers les pirates pour qu'ils l'embarquent avec eux sur un cheval. Je regardai le convoi s'éloigner vers le port le plus proche. Je relâchai un souffle que je ne me souvenais pas d'avoir retenu. Nahl me frotta le bras avec un sourire rassurant.

Derrière nous, quelqu'un se mit à applaudir.

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NdlA : Coucou, les gens ! J'espère que vous avez passé de bonnes fêtes de Noël !

Et non ! Les choses ne vont pas mieux entre Sixtine et Ryker ! Vous m'en voulez beaucoup ? Sinon, vous en pensez quoi, de ce chapitre ?

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