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Chapitre XIISeconde négociation


Anaïs

Je tente de réfléchir à une solution. Mais comment les convaincre... ? C'est impossible !!! Ils voudront venir, et ne me laisseront jamais partir sans raison valable !!!

Alors que je suis perdue dans mes pensées, Gilgamesh me rappelle en quelque sorte à l'ordre.

- Viens. On y va. , me dit-il, commençant à sortir.

J'écarquille des yeux, n'en revenant pas.

- PARDON ?!?!?! , m'écrie-je. Et tu m'expliques comment je vais les convaincre, si je n'ai pas de solution ou n'y ai pas réfléchi ?!

Il me donne un coup sur la tête, ce qui me fait lâcher un petit « Aïe ».

- Tu improvises. J'essayerai de t'aider aussi. De toute façon, on est tout les deux dans la même situation, donc il faut bien que je t'aide.

Je n'en reviens pas... Le Roi des Héros va m'aider ?! Depuis quand il est comme ça, lui ?! Bon, je suppose qu'il tient vraiment à participer à la Guerre, mais quand-même ! Et puis, si o n'y arrive pas, je n'ose même pas imaginer ce que je vais subir... J'avale avec difficulté ma salive, rien qu'en y pensant, puis respire et reprends mon calme.

- Très bien. Je te fais confiance, Roi des Rois. , dis-je, tentant de souffler pour rester zen.

Il sourit et nous descendons. Mes parents sont bien là. Ils nous regardent, comprenant très bien qu'on avait quelque chose d'important à leur dire ou bien à demander.

- Qui a-t-il ? , demande ma mère, le sourire aux lèvres.

Je prends une grande respiration et m'incline devant mes parents, à la surprise de tous.

- Je... S'il-vous-plaît ! Est-ce... Est-ce que je peux aller au Japon au côté de Gilgamesh ?

Mes parents me regardent, surpris et Gilgamesh sourit en coin, ne semblant pas s'y attendre, mais devant trouver la scène drôle.

- Pardon... ? , fait mon père, ne comprenant pas.

- Eh... Eh bien... Gilgamesh doit bientôt repartir. Seulement... Comme j'ai été sympa, que je l'ai laissée vivre à la maison, que je lui ai fais découvrir pleins de choses ici... Il... Il voudrait faire de même pour moi, vu qu'il sait que j'ai toujours rêvé d'aller au Japon...

Mes parents me regardent, étonnés. Gilgamesh me regarde aussi, mais reste silencieux, ne voulant pas ruiner tout ce que je fais.

- Anaïs. , fait ma mère, soupirant. Je te rappelle que tu as des cours. Tu ne peux pas partir comme ça.

Je réalise ce problème, et fais légèrement une tête d'enterrée, je pense, vu la tête de mes parents qui semblent s'en vouloir et Gilgamesh qui soupire silencieusement.

- Je suis désolée, Anaïs. , fait ma mère doucement.

- Et si c'est pour trois semaines ? , demande Gilgamesh.

On le regarde, étonnée. J'ai légèrement de l'espoir dans les paroles de Gilgamesh.

- Je m'occupe de la garder chez moi, je la nourris, je ferai en sorte de l'aider pour continuer à travailler, même de loin, je lui ferai découvrir le Japon, et quand elle rentrera, elle saura parler parfaitement Japonais, elle pourrait presque vivre là-bas. Ce serait une bonne chose pour ses études, non ?

On le regarde tous, toujours surpris. Si je m'attendais à ça... En fait, il avait réfléchi à ça depuis... super longtemps, hein ? D'un certain côté, je lui suis redevable, mais en même temps... J'aimerai bien lui faire comprendre qu'il m'a fais stresser... pour strictement rien.

Mes parents se regardent, et partent un peu plus loin pour parler. Je soupire, le stress remontant un peu.

- Dis... Depuis quand tu as réfléchi à tout ça ?

- Hum ? , me fait-il, étonné.

- Depuis combien de temps tu réfléchis à la manière dont tu vas convaincre mes parents.

Il met sa main sur son menton, réfléchissant. Il penche légèrement la tête sur le côté et sourit, amusé.

- Pas mal de temps. , avoue-t-il.

- Donc tu avais compris depuis longtemps que je n'étais pas au courant... ? I, demande-je, hors de moi.

- Disons que j'avais réfléchi à ça, dans le pire des cas. Heureusement que j'ai pensé à le faire, on dirait.

Je gonfle mes joues et m'apprête à lui répondre, mais mes parents arrivent.

- Bien. , fait mon père. Nous y avons réfléchi, et...

Un silence s'installe, me faisant stresser encore un peu plus.

- Gilgamesh. Tu as intérêt à réellement prendre soin de notre fille. En cas de problème, je te fais passer tout de suite au tribunal. , lâche-t-il, le regardant droit dans les yeux.

Je regarde mon père, n'en revenant pas. Il... Il accepte... ? Aussi facilement... ?

- Ne vous inquiétez pas. , fait-il doucement, voulant sans doute faire celui qui apprend le français. Il n'y aura rien du tout. Je la protégerai au péril de ma vie. , fait-il, s'inclinant doucement.

Mes parents le regardent, surpris, puis éclatent de rire.

- On te doit bien ça. Après tout... tu as rendu notre fille heureuse, et je suis sûre que plusieurs choses se sont réglés grâce à toi. , sourit ma mère.

Je rougis et on rigole tous ensemble, parlant un peu.

Une fois la discussion terminée, on remonte tous les deux dans la chambre, moi rassurée.

- Ouiiiiiii !!! , m'écrie-je, une fois la porte fermée. Je vais pouvoir aller au Japon !!!!!

- Et faire la Guerre Sainte. , rajoute Gilgamesh, me regardant droit dans les yeux.

Je rigole jaune et soupire.

- Oui, la Guerre Sainte...

J'ai envie de lui poser pleins de questions, mais... mieux vaut attendre un peu, encore.

- Il faut qu'on s'occuper des billets. , me fait-il.

- L'argent... , pense-je, me rendant compte qu'il va falloir que je paye.

- Tu as de la chance, je suis de bonne humeur, et surtout, on n'a pas le choix. Je vais payer pour deux tickets. Je n'ai pas envie qu'il y ai des problèmes. , fait-il doucement.

Seulement, mes parents appellent tout le monde pour manger.

- Bon, bah, on verra ça après. , constate-je, un peu dépité.

On a mangé, et on est partie vite se coucher. Bah, pour mon cas, en tout cas. J'étais tellement crevée avec tout ce que je venais d'apprendre !!!

Je me suis levée avec difficulté le lendemain. J'ai fais ma toilette, avec Gil, comme à mon habitude. Comme on est vendredi, je décide d'aller chercher le pain avec un Gilgamesh plus que non motivé pour tenter de me racheter du fait que mes parents aient accepté l'un de mes caprices.

Comme d'habitude, tout le monde regarde Gilgamesh, ce qui me fout un peu en rogne. Si seulement elles connaissaient, ses femmes, la vrai personnalité de Gilgamesh...

Alors qu'on commence à rentrer après avoir acheté le pain, j'ai comme un... mauvais pressentiment ? Gilgamesh voit que je n'ai pas l'air de me sentir pas super en forme.

- Hum ? Qu'est-ce que tu as, bâtarde ? , me demande-t-il, perplexe.

En temps normal, je l'aurai incendié. Mais là, rien ne me vient. J'avais peur. Peur de quelque chose.

- Bâtarde ?

Je m'arrête, mettant ma main sur ma poitrine. Mais quel est ce sentiment... ?

- Oh, Anaïs, je te parle ! , me rappelle Gilgamesh, commençant sérieusement à s'inquiéter.

Mes parents !

Je me mets d'un seul coup à courir pour rentrer chez moi. On était pas très loin, mais je sentais qu'il y avait quelque chose... Gilgamesh semble comprendre et me tente de me rattraper. Il m'appelle et se met à me courir après pour peut-être m'arrêter.

J'ouvre la porte de la buanderie mais n'enlève même pas mes chaussures. Je rentre dans la maison mais m'arrête, choquée.

Gilgamesh arrive juste derrière moi.

- A... Anaïs ! Attends ! Si ça se trouve... !!!

Il se tait et regarde dans la même direction que moi, choqué et lâche un « Tss ! ». Pas un « Tss ! » qui s'en fout, mais plutôt qui s'en veut de ne pas être arrivé plus tôt.

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