🔥Jalousie🔥
Il secoua la tête pour chasser cette pensée de sa tête. Il la connaissait bien maintenant et il voyait dans ses yeux sa sincérité. Malgré tout, la voix de Lisandra résonnait dans sa tête comme un écho. Il ne voulait pas rester avec ce doute immense. Il se leva avec une idée bien en tête et rejoignit Itsangy près de la fontaine.
— Avec un tout petit peu d'entrainement tu réussiras à contrôler l'eau Itsangy mais il te manque un élément pour être une complète élementaliste. Viens je vais t'apprendre à contrôler la terre.
Il l'entraîna par le bras à une bonne distance de la fontaine, vers la forêt. Il voulait lui apprendre ce dernier élément pour vérifier si les dires de Lisandra étaient fondés ou non. Il voulait s'assurer qu'elle ne change pas de comportement après avoir acquis ce dernier élément. Itsangy, quant à elle était ravie d'apprendre à contrôler le seul élément qui lui résistait. Onix lui expliqua calmement comment faire corps avec la terre. Contrairement à tous les autres éléments, la terre était le seul élément à devoir être systématiquement touché pour être contrôlé. Mari et femme s'agenouillèrent au sol et Onix lui inculqua cette pratique. Itsangy mis beaucoup plus de temps que l'eau pour parvenir à faire quelques petites démonstrations de contrôle. C'est épuisée mais ravie qu'elle regagna le château avec Onix. Celui-ci analysait chacun de ses gestes pour en tirer ses propres conclusions. Allait-elle l'ignorer de nouveau maintenant qu'elle était en capacité de gérer les quatre éléments ?
Une fois au château, elle fila à la douche tandis qu'Onix se rendait à la cuisine. Une agréable odeur se dégagea d'une marmite sur le feu. Il souleva délicatement le couvercle et vit que sa cuisinière avait préparé un poulet à l'arachide. Il huma intensément l'odeur agréable et son ventre gargouilla d'impatience. Il entendit des pas se rapprocher et il referma précipitamment la marmite, comme un enfant pris la main dans le sac. La cuisinière pénétra dans la cuisine et Onix sourit. Il ne savait pas pourquoi il avait réagi comme ça alors que c'était son château. Il regarda l'heure sur le mur de la cuisine : 19h06.
Il finit lui aussi par aller prendre sa douche et se rhabilla juste de son jean pour aller manger. Itsangy était en train de servir sa petite sœur. Onix s'assit à table quand Jade pénétra à son tour à la cuisine. Il eut un moment de flottement. Même sans lire dans les pensées, Onix sentait sa femme à deux doigts de frapper sa cadette. Jade reluqua le torse nu d'Onix avec extase.
— Essuie la bave de ta bouche, c'est MON mari, lâcha Itsangy en bousculant Jade pour déposer le plat de Mélissa sur la table.
Jade avait encore en tête la claque magistrale qu'elle avait reçue l'autre jour d'Itsangy et elle ne répliqua même pas. Elle ouvrit le frigo, en retira deux yaourts et quitta la pièce. Onix souriait. Ce petit moment de jalousie possessive voulait bien dire, qu'elle tenait à lui.
— Qu'est ce qui te faire rire toi ? bougonna-t-elle en retournant vers la cuisinière pour se servir son plat à présent.
— Toi, ma petite jalouse, à moi.
Elle se renfrogna et se servit son assiette. Onix en fit de même et se prépara une assiette avant d'aller rejoindre les deux sœurs à table. Itsangy n'avait plus ouvert la bouche, toujours énervée par la vision de sa sœur. Mélissa quant à elle était un vrai moulin à paroles. Elle se mit à parler des transformations de loups et des métamorphes durant tout le repas. À la fin de celui-ci, Itsangy monta toujours sans un mot avec Mélissa à la salle de bain pour un brossage de dent, avant de la border pour la nuit. Elle resta une bonne demi-heure avec sa petite sœur avant de redescendre au rez-de-chaussée. Onix était lui aussi aller dans son lit et regardait une émission d'aventure sur la télévision de la chambre. Il fut surpris de voir Itsangy entrer et se diriger sous les draps toujours silencieuse. Elle se tourna dos à Onix en rajustant son oreiller. Onix sourit, se colla contre elle et passa un bras sur son ventre.
— Ne soit pas fâchée, mon amour, lui murmura-t-il.
— Les tee-shirts n'ont pas été inventés pour les prunes ! Essaie au moins de t'habiller quand l'autre imbécile est dans les parages !
Onix sourit et déposa un baiser dans le cou d'Itsangy.
— Humm, jalousie quand tu nous tiens ! lâcha-t-il en la faisant basculer vers lui pour la fixer dans les yeux. C'est toi que j'aime, Itsangy arrête d'en douter.
Il déposa un baiser sur ses lèvres et se recula légèrement.
— Tu reviens dormir avec moi ? Est-ce que ça signifie que tu me pardonnes enfin ? demanda Onix, l'espoir plein la voix.
— Ça veut juste dire que je veux dormir avec mon mari, c'est tout !
Il l'embrassa de nouveau mais plus passionnément. Il était tellement fou d'elle. Ses seuls baisers suffirent à procurer à Onix une érection en un temps record. Il déposa ses lèvres dans son cou sensuellement avant de dégrafer son chemisier. Elle le laissa faire et il descendit lentement sur sa poitrine avant d'emprisonner son téton entre ses dents. Itsangy se courba légèrement sous le désir pour rapprocher encore plus sa poitrine du visage d'Onix. Il remonta sa jupe jusqu'à sa taille, fit glisser en tremblotant sa culotte au sol et il descendit par la suite ses lèvres sur le sexe de sa belle. En quelques coups de langues les iris d'Itsangy basculèrent au doré tout comme son tatouage. Elle soupira et le fit reculer en lui tirant les cheveux. Onix la fixait avec un regard animal et elle l'attira à elle. Elle glissa ses doigts sous le caleçon d'Onix avant de lui rendre l'appareil et se mit à faire des vas et vient avec sa bouche sur le sexe de son mari. En à peine 2 minutes il était déjà au bord de la jouissance, tant il l'avait désirée ces derniers jours. Il tenta de se retenir mais Itsangy maniait son sexe avec tellement de dextérité qu'il jouit dans sa bouche trois minutes plus tard. Elle essuya sa bouche d'un revers de mains le sourire aux lèvres.
— J'ai cru faire une fellation à un puceau avec ton éjaculation précoce.
Onix éclata de rire.
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