🔥Câlin🔥
— Amos ? lâcha Onix en soulevant un sourcil.
— Vous êtes vif d'esprit mon garçon. En effet, cet imbécile de sorcier n'a jamais su qu'il portait en lui le métissage sorcier et élementaliste. La mère d'Amos était une élementaliste et son père un sorcier. C'était un secret pour eux deux afin qu'elle ne soit pas banni du clan. Personne n'en a jamais rien su. Mais il ne suffit pas d'avoir du sang d'élementaliste dans les veines pour contrôler les éléments, il faut réussir à faire corps avec ce pouvoir. Je vous demanderai à tous les deux, de garder l'identité et les gènes de Lilianna pour vous. Elle a encore des choses à apprendre avant de dévoiler son identité et de prendre la tête du clan des nécromanciens.
Onix et Medhi hochèrent la tête toujours sous le coup de la surprise. Lilianna sourit devant les têtes choquées des deux hommes.
— Vous ne vous attendiez pas à ce que ma mère soit la reine de la mort, hein ? se moqua Lilianna.
Onix sourit en secouant la tête. En effet, il était loin de se douter de cette nouvelle. Lisandra se leva, et Onix compris que c'était là, la fin de la visite. Medhi et Onix se levèrent d'un même mouvement comme connectés. Lisandra posa sa main sur l'épaule d'Onix.
— Jacob et quelques-uns de mes morts de compagnie viendront renforcer votre garde royale dans l'attente de votre recrutement.
Onix écarquilla les yeux.
— Euh... je...ce n'est pas nécessaire, bégaya Onix.
Il n'imaginait pas des morts sans yeux dans son château. Lilianna et Lisandra explosèrent de rire devant le malaise d'Onix.
— Je plaisante mon garçon ! Cependant il faut vraiment que vous combattez votre aversion pour la mort. Mes morts de compagnies sont adorables. Venez me voir plus souvent et vous verrez que la mort ne représente que la dernière étape de la vie, une continuité en quelques sortes.
Onix déglutit, il n'était pas prêt de venir souvent la voir. Malgré sa compassion et ses paroles rassurantes, cette Lisandra le faisait flipper, surtout depuis qu'il avait pu la voir à l'action et tuer comme des mouches beaucoup de monde sans le moindre effort. Les deux hommes prirent congé et Jacob se tenait devant le portail. Inconsciemment, Onix se colla à Medhi, c'était plus fort que lui, une vraie phobie des morts de compagnie. Medhi gloussa et poussa le visse plus loin.
— Jacob, votre Majesté aimerait beaucoup un câlin.
Onix recula et Jacob sourit. Il avait encore enlevé ses globes oculaires et se précipita dans les bras d'Onix qui se figea à deux doigts de s'évanouir. Jacob l'enserra dans ses bras et étrangement il sentait bon. Onix s'attendait à sentir l'odeur putride de la mort mais non. Jacob le relâcha et Onix vomit à ses pieds. Des rires provinrent de la porte d'entrée et Onix s'aperçut que sa crise de tétanie n'était pas passée inaperçue. Lilianna encadrait la porte.
— Frangin, rentre à la maison, tu vois bien que tu terrifies ton roi, lâcha Lilianna en souriant.
Jacob se précipita vers elle et déposa un baiser sur son front avant d'entrer dans la maison. Onix ne put s'empêcher de vomir à nouveau bruyamment.
— Tu n'es qu'une petite chose sensible Onix. Promis la prochaine fois que je viens au château j'emmène Jacob avec moi, lâcha-t-elle avant de retourner à l'intérieur et de refermer la porte.
Onix se tourna vers Medhi. Ce dernier était courbé en deux par l'hilarité. Il s'approcha de lui et l'agrippa par le cou en le faisant basculer au sol. Il était à califourchon sur lui et avait armé son poing pour le frapper quand un râle se fit entendre faisant glacer le sang d'Onix de nouveau.
— Majesté, j'aime beaucoup cette vision, de toi sur moi mais on devrait peut être rentrer ? Dieu seul sait ce que Lisandra a encore pu créer pour veillez sur sa cour.
Onix se releva sans demander son reste et fila à la voiture.
Une fois dans la voiture Onix reprit la parole.
— Tu es viré ! Comment as-tu pu me faire ça ? Ce truc mort ma serré dans ses bras cadavériques !
Medhi souriait.
— Mais je vous aurais protégé mon roi. J'adore vous voir en mode flippette.
Onix lui donna un coup sur le bras et Medhi gloussa de plus belle en démarrant le véhicule. Le trajet jusqu'au château fut silencieux. Il n'y avait plus aucun corps dans le jardin et Onix fila à la douche. Il laissa l'eau couler sur son corps et du sang séché s'écoula dans le bac à douche. Une fois celle-ci terminé et ses quelques plaies soignés il s'allongea sur le lit, bras sous la nuque. Il repensa à Itsangy, il avait envie d'elle à ses côtés. Il se releva, s'habilla d'un jean noir et d'un tee-shirt assortit et quitta le château jusqu'à son véhicule. Il roula jusqu'au repaire des sorciers, donna un coup de poing dans la barrière d'air de protection des sorciers. Contourna la maison centrale des sorciers et gagna le jardin. Il trébucha à deux reprises et arriva enfin devant l'escalier menant au logement d'Itsangy. Il frappa sans discontinuer jusqu'à ce que celle-ci ouvre juste vêtu d'une culotte en dentelle. Onix la poussa à l'intérieur, la bloqua contre le mur brutalement et l'embrassa à pleine bouche sous la surprise d'Itsangy. Il la souleva dans ses bras et elle passa ses cuisses autour de la taille de son homme. Il descendit ses lèvres sur son cou en la titillant avec le bout de sa langue. La respiration d'Itsangy s'était accélérée et ses tétons pointaient vers Onix comme une supplication de s'occuper d'eux. Onix malaxait avec fermeté le fessier de sa femme avant de l'emmener jusqu'à la chambre. Il l'allongea sur le lit, lui enleva sa culotte tout en parsemant son corps de baiser. Ses doigts titillèrent doucement son clitoris avant d'être rejoints par ses lèvres. Itsangy ne put retenir ses gémissements et s'agrippa aux draps en les entortillant violemment dans ses poings pour s'empêcher de hurler de plaisir. Onix se dévêtit rapidement et sans même lui parler s'inséra en elle avec un puissant coup de rein. Cette fois-ci elle ne put retenir son cri et hurla de plaisir mais Onix ne ralentit pas pour autant la cadence et la pilonna jusqu'à ce que l'orgasme emporte sa belle une première fois. Les jambes d'Itsangy s'étaient mises à trembler sous la puissance de son orgasme. Elle tenta de les refermer, n'en pouvant plus, mais Onix la retint un sourire salace aux lèvres.
— Tu as voulu me tuer... eh bien je vais te faire voir à coté de quoi tu serais passé, ma chère épouse !
Il s'enfonça profondément en elle sans aucune retenue et effectua des va et viens pendant de longues minutes. Il ralentit le rythme en appuyant légèrement son gland contre l'anus de sa femme. Il fixa Itsangy dans les yeux comme pour lui laisser le choix de refuser mais elle ne pipa mot et il s'enfonça doucement dans son orifice, la sodomisant en douceur. Ce n'est que quand Itsangy atteignit son troisième orgasme qu'il convulsa en elle, le souffle court.
Il se laissa retomber sur le lit sans un mot et Itsangy tentait tant bien que mal de reprendre son souffle. Elle vint se lover dans les bras de son mari.
— Onix je suis tellement désolé, s'excusa Itsangy.
— As-tu toujours envie de me tuer ? demanda-t-il un petit sourire au coin des lèvres.
Elle pouffa.
— Oui, pour m'avoir baisé aussi sauvagement !
Il pouffa à son tour.
— Je tiens trop à toi pour me priver de ta personne, Onix.
— Tu m'as menti sur quoi d'autres ? demanda-t-il.
— Tu sais quasiment tout maintenant. À l'exception d'une chose !
Il se redressa pour la fixer.
— Depuis la mort de mon père, j'ai arrêté la pilule.
Onix se laissa retomber en riant.
— Je m'attendais à un truc tellement grave. Tu m'as habitué à bien pire.
Elle sourit et il l'attira contre son torse en déposant un baiser sur ses cheveux.
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