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42 - Programme inversé

Chapitre 42 : Programme inversé

- Je n'en reviens pas que tu ai osé faire semblant de dormir ! s'offusqua Conrad, pour la dixième fois de la journée.

- Pour me défendre, j'étais sincèrement épuisée. Mais Félix m'a intrigué, alors oui, et je n'aurai aucun scrupule à le refaire.

Son partenaire lui jeta un regard torve, empli de toute sa méchanceté, c'est-à-dire que la jeune fille devait risquer tout au plus son goûter. Mais devant la vaine tentative, Céleste s'aperçut qu'il avait visiblement fait des efforts, auparavant, seules ses chaussettes la tracasseraient. Maintenant, la voilà prête à se battre pour que son goûter préparé avec amour par sa mère soit épargné de la terrible bataille qui faisait rage dans l'esprit du garçon. Des signes ne trompaient pas, ses mains immobiles alors qu'il avait un besoin obsessionnel de les occuper, son regard dans le vide et sa stature relâchée. L'avantage de suivre des cours de théâtre pour le patinage, initialement prévu pour les émotions, se résumait en quatre mots ; discerner les gestes parasites. Elle se prêtait volontiers au jeu pour débusquer l'attitude de son interlocuteur et se révélait être un atout essentiel aux questions déplacées de certains journalistes. Les adolescents se promenaient dans le bosquet en face de la patinoire, suite à un ordre de leur entraîneur. Cette balade leur permettrait, selon lui, d'ouvrir les portes de leur imagination à la nature, qui était plus inspirante que les pièces cloîtrées du complexe sportif. Pour le moment, la faune et la flore qu'elle observait la laissait dubitative, devaient-ils sérieusement réaliser tout un programme sur l'aisance des canards dans l'eau ? Par prévention, elle soumit l'idée à Conrad qui ne se retint pas de lui rire au nez.

La complicité s'était formée suite à des évènements traumatisants, mais elle en sortait plus forte et plus aguerrie dans sa vie future. Néanmoins, elle aurait bien mis de côté les tracas qui avaient encombré son esprit pour se fixer comme unique objectif de se faire un nom dans le patinage artistique senior. Malheureusement, la vie n'était pas à l'écoute des plaintes de chaque habitant et elle avait dû porter le fardeau d'être celle au centre de toutes les rumeurs. Une délicate attention qui la laissait toujours amère. Céleste s'obstinait à refouler les sentiments négatifs de cette période, derrière elle et avait les yeux rivés sur l'avenir. Ducastel lui avait tout pris, et elle refusait de subir le même épisode douloureux pour les prochaines années. Après sa condamnation, tout le club avait été en effervescence quelques jours, la publicité était plus que mauvaise pour le coup, et il était difficile de rattraper un tel acte. Personne ne l'imaginait capable de tels horreurs, et malgré sa réputation entachée, son nom était à nouveau sur toutes les lèvres. Il ne s'arrêtait jamais, c'était une machine qui explosait dès qu'on l'approchait d'un peu trop prêt. Il prenait un malin plaisir à ruiner la vie des autres, peut-être était-ce simplement par désir, mais la jeune fille était persuadée qu'il y avait une raison.

Un homme ne pouvait pas foncièrement être mauvais, enfin, elle l'espérait.

Elle chassa ses pensées de sa tête pour se concentrer sur le paysage qui s'offrait à elle devant ses yeux ébahis. L'adolescente doutait de la justesse de sa phrase, la nature ne lui offrait rien, elle se contentait d'apercevoir la beauté au travers des ouvrages érigés par l'homme. Inconsciemment, la marche de son partenaire de balade s'était ralentie, avant de s'arrêter net devant le coucher du soleil. Les rayons lumineux se reflétaient sur l'étang qui ne cessait de s'étendre au vu des trombes d'eau versées chaque automne, et les amis contemplèrent ce spectacle. Céleste n'avait jamais apprécié les randonnées lors de ses vacances, même dans son territoire natal, où les adultes s'arrêtaient dès qu'une fleur apparaissait dans leur champ de vision, mais la marche de ce soir-là était différente. Somptueuse, sublime, tant d'adjectifs pour décrire l'émotion ressentie lors de l'observation de ce bassin d'eau naturel qu'elle avait pourtant aperçue des centaines de fois.

Le printemps faisait son grand retour, et les bourgeons se formaient progressivement sur les branches des arbres parfois centenaires. Céleste imagina sa vie dans ce monde pathétique, si elle devait un jour atteindre l'âge fatidique des cent ans. Son cerveau lui épargna cette douleur, lui-même ne parvenait pas à mettre de visions sur l'étrange phénomène. Seulement seize ans que cette terre l'accueillait, et elle avait pourtant l'impression d'en avoir fait le tour. Avec en prime, des moments désagréables qui ne dépeuplaient pas ses cauchemars les plus effrayants. Ses pensées dérivaient toujours, comme attirées par le flux incessant que son esprit lui ordonnait. Le bosquet était la prunelle des yeux de la ville, et des jardiniers spécialisés dans la préservation de tout un écosystème avaient été recrutés, le maire en avait fait la promesse majeure lors de sa campagne électorale. L'herbe était sauvage, haute et lui chatouillait ses jambes qui demeuraient nues, mais la sensation de sentir les brindilles dans ses mains étaient un bonheur intense. Le silence s'était installé entre-eux, mais ce n'était pas gênant, bien au contraire, il était nécessaire. Les bancs étaient ornés des dessins des élèves, qui se réitéraient à chaque moment opportun de l'année ; les saisons, Noël et Pâques, parfois le premier avril aussi.

Céleste tourna la tête vers Conrad, qui gardait la sienne fermement droite, dirigée là où le soleil l'aimantait. Elle interrompit ce calme olympien d'un bref toussotement de la gorge, ce qui fit râler le garçon, qui soupira lourdement. Exagération prononcée, son domaine de prédilection. Ses yeux restèrent profondément ancrés dans la nature, mais son esprit accepta la discussion qu'elle tentait d'entamer.

- As-tu une idée pour le programme ?

- Tu viens de m'interrompre pour me poser cette question ?

Elle releva sa voix agacée, mais continua tout de même. Personne ne la faisait taire, et surtout pas Conrad Schmitt.

- J'en ai une, mais je préférerai la conserver pour l'an prochain.

- Et pourquoi donc ?

- Je voudrai qu'on la présente aux Jeux Olympiques, expliqua-t-elle simplement.

Il fit une exception dans sa connexion avec la nature pour la dévisager prestement et lui accorder un regard pétillant. Sa curiosité l'écoutait, et il la suivait toujours. C'était l'un de ses traits de personnalité qui l'étonnait le plus, lui qui se montrait sûr de lui et de ses choix, laissait parfois quelqu'un le diriger. La patineuse la considérait comme une personne à part entière, Conrad était prêt à beaucoup de concession pour rassasier cet esprit de nature curieux. Sur ce point, ils étaient identiques.

- Nous ne sommes pas sûrs d'y participer, nuança-t-il.

- On le patinera sur une piste olympique, affirma Céleste, plus fermement.

Elle doutait d'elle-même, mais pas de ses capacités. Ils avaient fait des tels progrès en l'espace d'un an que personne ne s'inquiétait pour eux, l'avenir était prometteur et les fans les imaginaient couverts d'un costume en or, à l'image de leur carrière. La jeune fille ne s'avançait pas à ce stade, mais convenait d'un détail ; la marge de progression était leur avantage. Certains couples s'épuisaient d'une saison à l'autre, réutilisant des chorégraphies entières de pas parfois, mais eux avaient cette chance de se réinventer à chaque nouveau programme.

- Les Jeux Olympiques sont mon rêve, comme toi. Je veux m'y illustrer, mais je veux aussi que nous ne nous contentions pas uniquement des formalités. Au diable tous les couples qui m'épuisent, que penses-tu de déconstruire les mœurs apprises ?

Il l'observa une première fois, puis baissa les yeux sur l'herbe haute. Il recommença une deuxième fois, s'assurant probablement qu'il n'était pas dans un rêve et que celle qui s'adressait à lui était bien Céleste Haase, et enfin une dernière fois mais la raison lui échappait. Il inspira longuement et décida finalement d'écouter ce qu'elle avait à dire pour exprimer son projet qui semblait lui tenir à coeur.

- La dynamique est toujours la même, redondante. Le couple est heureux dès le début, et d'un coup, pouf, la femme meurt subitement. Je voudrai interpréter tout le contraire. L'histoire démarrerait sur un couple malheureux qui cherche à se retrouver, puis une vague d'espoir renaît et finalement la fin est identique au début.

- A l'image de notre saison ?

Céleste détourna son regard de son partenaire pour observer les mouvements fluides de l'eau, et s'intéressa aux nénuphars jonchés sur l'étang. L'interprétation ne devait pas être biaisée, c'était uniquement la sienne. La création d'un programme était une étape particulière, le chorégraphe proposait un thème global et y ajoutait des figures et des séquences de pas, mais dans son esprit qui fourmillait, elle le raccrochait à un élément de sa vie. Elle haussa les épaules et balança sa tête en arrière. Normalement, la musique était choisie avant l'histoire, et c'était ensuite elle qui les inspirait pour en créer tout un programme, mais devant la beauté de la nature, l'histoire s'était imposée d'elle-même. Elle retraçait effectivement leur courte carrière ensemble, la première et la dernière compétition ont été un désastre sans nom, selon eux, et sûrement pas à la hauteur de leurs espérances, mais le milieu a été ponctué d'une certaine joie.

- Une idée de musique ?

Elle secoua négativement la tête. Il n'avait pas évoqué son avis personnel, mais s'il la questionnait à propos de la musique, c'était que l'idée lui plaisait.

- On leur proposera déjà l'idée et on verra après. Pour le moment, on se concentre sur l'année prochaine.

Les deux adolescents y consacrèrent encore une demi-heure, avant de se diriger vers la patinoire, pour être raccompagné par Félix, qui les attendait sur le parking. A force d'errer sans but précis dans le bosquet, ils avaient fini par se trouver dans un endroit inconnu pour les partenaires qui examinaient les alentours pour deviner leur position. La végétation ne les aidait pas, les feuilles des arbres étaient identiques sur plusieurs mètres et l'étang s'étendait sur une longue distance. Ce dernier s'effaçait à mesure de leur avancée, ce qui signifiait qu'ils devaient d'abord s'en approcher avant de tenter une sortie définitive de la petite forêt urbaine. Bien que concentrer à sortir de là, les deux amis échangèrent à propos de leurs idées et en rejetèrent la majorité, même si certaines d'entre elles firent leur chemin jusqu'à leur cerveau pour se nicher dedans. Puis la conversation dériva sur des sujets plus personnels, et le garçon piqua un fard à plusieurs reprise, elle n'avait pas de filtre quand sa curiosité s'exprimait.

- Tu sors avec quelqu'un actuellement ?

- Je te demande pardon ?

- T'as une copine ?

Conrad se frappa le front avec la paume de sa main et fixa un point au loin.

- J'avais compris la première fois. Comment veux-tu que je trouve le temps d'être avec quelqu'un en ce moment ? lui demanda-t-il, comme une évidence.

- Je tenais exactement le même discours, et j'ai trouvé. Va parler à Jacques, il donne de bons conseils.

- Mais je vais pas aller demander à un grand-père, balbutia son ami, qui perdait ses mots avec le choc.

Il avait tort, Jacques était certes un papy gâteau, mais elle en était sûre, c'était le plus gentil qu'il soit. Son côté décalé face à la modernité l'amusait et ses conseils étaient ceux d'un grand professionnel, malgré l'absence de femme dans sa vie. Jacques lui rappelait souvent les disputes anodines et les bagarres qu'elle avait pu engendrer avec Conrad dans son enfance, mais elle les balayait d'un signe de la main. C'était ancien. Il l'aiguillait dans sa relation avec Eden qui peinait à avancer ces derniers temps, et l'heure du goûter était désormais sacrée. Parfois, sa mère oubliait et lui en préparait tout de même un, mais en règle générale, elle se retenait de justesse. Veiller à ce que ses enfants soient en bonne santé était sa devise principale.

- C'est quoi le vrai prénom de ta sœur ?

- Tu passes du coq à l'âne toi. Hélène, mais ça fait vieux alors elle préfère Léni. A moi, qu'est-ce qui te manques le plus de l'individuel ?

La question la surprit et elle dût faire un effort pour masquer son visage qui se teintait de nostalgie. Plusieurs éléments lui manquaient, et faire une croix dessus avait été un crève-cœur pour la jeune fille qui avait l'habitude de ne rien perdre. Premièrement, la sensation d'occuper l'attention de tout le monde était son plus gros regret, bien que la scène soit aujourd'hui partagée avec Conrad et qu'elle en soit ravie, être au centre de l'attention était un rêve. Puis des éléments plus communs, comme la complexité des sauts qui diminuait drastiquement en couple, de même pour les pirouettes, comme la Biellmann qui ne s'exécutait pas dans sa catégorie. C'était un mélange de plusieurs sentiments et sensations.

Ils longeaient désormais l'étang quand deux silhouettes fines s'imposèrent à eux, sur l'autre rive. La jonction entre les deux se faisaient par un pont où par les extrémités de l'étendue d'eau, mais de par leur emplacement, la passerelle était plus proche. Elle reconnut en premier lieu leur chorégraphe, Lisbeth Søndergaard, vêtue d'une robe qui lui arrivait aux genoux et aux motifs floraux, qui expliquait la végétation à une jeune fille de leur âge. Hannah Søndergaard. Son ancienne adversaire avec qui la patineuse partageait souvent les podiums lors des compétitions européennes et internationales. Cette dernière était sobrement habillée, un haut léger blanc et un jean, accompagnée d'une tresse qui se balançait au rythme de la marche. La tante et la nièce semblaient émerveillées devant la nature, et elle ne put s'empêcher de les envier un instant. Ses tantes ne feraient certainement pas cet effort, où se contenteraient de râler pendant le trajet, ce qui était de l'énergie gâchée. Hannah les remarqua la première et salua très poliment Céleste, avant de se tourner vers sa tante pour savoir si elle pouvait traverser le pont et lui parler. Visiblement, la réponse fût positive puisqu'elle se dépêcha de le faire et arriva à leur hauteur, essoufflée.

Hannah n'avait pas changé cette saison, ses yeux étaient toujours emplis d'une telle bienveillance et sa bouche formait le même sourire délicat. Outre cette physionomie identique, les cheveux de la vice-championne du monde poussait et lui arrivait jusque dans le milieu du dos. Hannah lui avait expliqué qu'elle puisait sa force dans ses jolis cheveux dont elle prenait soin à chaque brossage. Même si la rivalité avait toujours eu sa place dans leur relation particulière, elles reconnaissaient aisément l'immensité du talent de l'autre et se complimentaient dans les différentes interviews. Les filles ne se contentaient pas de bien s'entendre pour les caméras, mais elles s'étaient trouvées plusieurs points communs qui les unissaient. Hannah était emprunte d'une gentillesse qui dépassait ce qu'elle pouvait attendre d'un être humain, mais elle se doutait que les éducations divergentes y étaient pour beaucoup. Les pays nordiques étant largement connus pour leur éducation respectueuse, polie et disciplinée qui formaient des gens dont tout pays rêveraient.

Conrad, qui assistait à la scène de retrouvaille, lui fit un signe à sa partenaire pour lui intimer de se dépêcher, leur entraîneur avait sûrement pour vocation de rentrer avant minuit. Honteuse de l'avoir laissé seul, elle lui demanda juste quelques instants pour qu'Hannah retienne son nom. Peut-être était-ce à cause d'Hannah, mais Céleste avait l'impression d'agir différemment, son tempérament calme revenait parfois, mais à ce stade, elle dépassait les records. Elle ne dissimulait pas sa personnalité, mais effaçait les aspects brutes pour coller avec son amie. Elle avait cette faculté de changer à sa guise, sans gommer son caractère prononcé, mais en l'estompant pour disperser ses bonnes ondes.

- Tu dois être Conrad Schmitt, son partenaire ? lui demanda-t-elle, en anglais.

- Exactement. Et toi, Hannah Søndergaard ?

La jeune fille hocha positivement la tête, et un grand sourire orna son visage qui se composait de traits doux. Hannah rayonnait sur les pistes, tout comme Céleste, mais elle la battait inlassablement sur le sol ferme. Elle ne s'adaptait pas aux caméras, ni à la télévision, mais montrait son tempérament calme et songeur, qui plaisait plus que les mauvaises manières de son ancienne adversaire. Lisbeth venait de les rejoindre, et elle la salua poliment. Bien que ce soit le garçon qui ai insisté pour s'en aller afin de ne pas faire attendre leur entraîneur, il la questionna sur plusieurs sujets, comme les compétitions de cette année. Céleste releva la tête et Hannah parut mal à l'aise d'y répondre, mais son amie l'encouragea d'un signe de la main. Elle suivait à la lettre son palmarès sur les réseaux sociaux, mais elle se doutait que ce n'était pas le cas de Conrad, qui ne s'intéressait que peu à la compétition en individuel.

- J'ai été sacré championne du monde junior, et j'ai aussi remporté des Grands Prix.

Céleste admira la nature, son coeur se soulevant à chaque mention de cette victoire. Elle aurait voulu se battre comme autrefois, pour prouver qu'elle n'avait pas perdu son niveau, mais la compétition en individuel était terminée pour elle. C'était ça qui lui manquait le plus, le sentiment de bataille, l'ambition de gagner. Évidemment que le couple lui apporterait cette sensation, mais elle ne connaissait pas suffisamment ses adversaires pour avoir le même ressenti. Elle affrontait Hannah depuis ses dix ans, et chaque victoire contre elle était synonyme de bataille acharnée. Ce n'était pas simple de triompher face à elle, mais c'était satisfaisant d'y parvenir.

- Pourquoi es-tu en France ?

- La saison est terminée, je viens me reposer pendant quelques semaines. Lisbeth m'a proposé de dormir chez-elle. J'ai beaucoup aimé la performance lors du gala, c'était vraiment réussi.

Ils la remercièrent et le reste du chemin se déroula de la même manière. Hannah lui posait de temps à autre des questions, mais c'était principalement lui qui apprenait à la connaître, avide d'informations à son sujet. Quant à Céleste, elle assistait à la scène désemparée, avec l'impression qu'il s'accaparait de son amie, mais elle n'en montra rien et se tourna vers Solveig pour lui faire part de son projet. Néanmoins, le sourire de Conrad lui remonta le moral, il était sincère.

***

Bonjour !

Voici que cette histoire s'achève sur un chapitre tout doux ! (En réalité, il reste deux épilogues, mais l'histoire en tant que telle est terminée, les épilogues retracent leur carrière future)

Comme c'est bientôt Noël et que je veux réellement finir cette histoire avant 2023, je pense poster les chapitres demain et jeudi, et j'aurai fini. Ça me fait vraiment bizarre de les quitter une deuxième fois, après l'écriture. Ce sont tellement des personnages auxquels je me suis attachée. Bref, on en reparle au moment venu !

Bonne fin d'après-midi :)


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