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Chapitre 28 - « Il le faut, pour le bien de tous. »

Deux semaines s'étaient passées depuis la nouvelle de la fermeture de l'aquarium et je ne savais toujours pas quoi faire. Je n'avais toujours pas dit à ma mère si je faisais oui ou non le discours, même si elle me l'avait demandé plusieurs fois. J'avais pesé le pour et le contre des deux côtés, mais rien n'y faisait. Je ne pouvais toujours pas choisir. Tout le monde essayait de m'aider à prendre une décision, mais ils ne faisaient que m'embrouiller encore plus.

Quant à Percy, je ne savais pas si nous étions encore ensemble ou non, tout ce que je savais c'était qu'il ne m'avait pas adressée une seule fois la parole et qu'il me manquait plus que tout. Son état empirait de jour en jour et j'aurais fait n'importe quoi pour l'aider, mais je ne pouvais pas l'approcher à moins de cinq mètres avant qu'il ne parte à l'opposé.

Demain c'était le jour j pour nous deux. Les bourses sportives pour Boston étaient attribuées lors de la compétition du matin et l'annonce publique de la fermeture de l'aquarium était l'après-midi. Je ne savais pas si je devais aller ou non à la compétition, je ne savais pas s'il voulait que je sois présente, j'étais dans un brouillard total. Je me rendais bien compte que je n'étais plus moi même, j'étais complètement éteinte.

Nous étions actuellement à la cafétéria. Avec toute cette histoire, les choses étaient redevenues comme au début d'année, c'est-à-dire les filles à une table et les garçons à une autre. Sauf que je ne voulais pas que ce qui se passe entre Percy et moi affecte le reste du groupe, mais tout s'était fait tellement naturellement que je ne savais pas comment arranger les choses. Décidément, je ne savais pas grand chose en ce moment.

« Mais si Reyna, tu sais c'est celui qui est sorti du Labyrinthe avec des ailes. Il a un fils ! » S'exclama Piper en levant les bras au ciel.

Toutes les deux étaient actuellement en train de parler de mythologie pour je ne sais quelle raison. Je n'écoutais pas vraiment ce qu'elles disaient.

« Je t'assure que je ne vois pas de quoi tu parles Piper, je suis plutôt calée mythologie romaine moi. » Répliqua Reyna d'un ton exaspéré.

« Dédale. » Intervins-je tout en continuant à jouer avec le morceau de pomme de terre que j'avais dans mon assiette. Elles se tournèrent vers moi avec interrogation. « Vous parlez de Dédale. C'était un descendant de la famille royale issue d'Érichtonios. Il est principalement connu pour être un inventeur, un sculpteur, un architecte, un forgeron avec beaucoup de talent. C'est lui qui a inventé le Labyrinthe et son fils Icare est mort en tombant avec ses ailes alors qu'il échappait à l'invention de son père et au Minotaure qui était enfermé à l'intérieur. »

Piper fit un signe de main en ma direction comme pour dire 'tu vois', alors que Reyna se contentait de lever les yeux au ciel. Je ne prêtai attention à rien de plus jusqu'à ce que Jason s'écroule sur la chaise en face de la mienne et me regarde avec insistance.

« Tu dois faire quelque chose Annabeth. »

Je fronçai les sourcils sans lever les yeux de mon assiette. « De quoi tu parles ? »

« De Percy. » Il soupira et se passa une main sur le visage. « C'est de pire en pire, on dirait une vrai loque humaine. »

« Et qu'est-ce que tu veux que je fasse Jason ? » M'écriais-je en posant ma fourchette un peu plus fort que prévu. « Dois-je te rappeler que je ne peux pas l'approcher, donc encore moins lui parler et que je suis la personne qu'il déteste le plus à cet instant ? Je t'en prie, éclaire-moi de ton immense savoir. »

Il se renfrogna. « Écoute Annabeth, que tu sois en colère je peux le comprendre, mais pas que tu abandonnes. Toute cette histoire est en train d'affecter la natation là. »

J'écarquillai les yeux. « Quoi ? »

« Percy n'arrive plus à se concentrer, il fait des temps minables et ses mouvements ne sont plus du tout coordonnés. Alors, tu te démerdes comme tu veux, mais tu trouves une solution pour qu'il ne loupe pas sa bourse demain. » Conclut-il avec fermeté.

« Fait chier. » Murmurais-je en le fusillant du regard.

Je me levai et me dirigeai vers la table des garçons. Je m'arrêtai en face de Percy et abattis mes mains sur la table, les faisant tous sursauter.

« Écoute moi bien tête de noeud, je ne sais pas ce qu'il se passe dans ta Cervelle d'algues, mais tu as intérêt à te ressaisir immédiatement. » Percy cligna rapidement des yeux. « Tu peux m'en vouloir autant que tu veux, mais je t'interdit de foutre la natation en l'air à cause de moi. C'est de ton avenir dont on est en train de parler, alors t'as intérêt à te rentrer ça dans le cerveau et à ne surtout pas l'oublier demain quand tu vas détruire tous ces misérables et décrocher cette bourse haut la main. C'est clair ? » Il hocha rapidement la tête. « Bien. » Et je répartis m'assoir.

Pendant tout le temps où je parlais, il m'avait regardé avec un mélange de choc, de colère et de tristesse. Ne supportant pas de le voir comme ça, j'étais allée le plus vite possible, mais d'une voix ferme pour être sûre qu'il prenne conscience que son manque de concentration pouvait détruire son avenir. S'il n'obtenait pas cette bourse, j'allais m'en vouloir toute ma vie.

« Content ? » Je toisai Jason d'un regard froid après m'être rassise.

C'était peut-être ridicule de ma part, mais je lui en voulais. Je lui en voulais de m'accuser d'abandonner alors que je ne savais plus quoi faire. Mince, je n'avais plus aucune options. Si Percy ne voulait plus me parler, alors je ne pouvais pas le forcer à m'écouter. Même si ça me brisait le cœur, j'étais impuissante. Alors, quand Jason se permettait de m'accuser de baisser les bras, je ne pouvais que mal le prendre. Je souffrais bien assez pour que quelqu'un vienne sans cesse me rappeler que j'avais tout foutu en l'air.

Il hocha la tête et je recommençai à jouer avec ma nourriture en fixant mon assiette. « Cool, tu peux partir maintenant. »

Il se tortilla sur sa chaise avec malaise. « Annabeth, je suis- »

« Jason, » l'interrompis-je en fermant les yeux, « pars. »

Il resta encore quelques instants pendant lesquels je gardai les yeux fermés, et quand il se décida enfin à s'en aller, je posai ma fourchette et me frottai les yeux. J'étais épuisée de me battre dans le vide en espérant une réaction qui apparemment n'arrivera jamais. Épuisée physiquement et mentalement.

« Annabeth, » commença Hazel d'une voix douce qui la caractérisait si bien, « ce n'est peut-être pas le bon moment, mais il y a quelque chose qu'il faut que tu saches. »

J'haussai les épaules tout en gardant mes mains sur mes yeux. « À ce stade là, plus rien ne peut m'atteindre. »

« C'est à propos de Jessica. » Je me raidis en entendant son prénom, mais ne fit aucun commentaire. « Elle s'amuse à dire à tout le monde qu'elle va au bal de promo avec Percy. »

Je laissai mes mains tomber sur la table en parfaite synchronisation avec les restes qui composaient mon cœur. Je les regardai chacune leur tour en espérant avoir mal entendu.

« N'écoute pas ce qu'elle peut dire 'Beth, » Piper s'empara d'une de mes mains, « tu sais bien qu'elle ment comme elle respire. En plus, Nico nous a assuré que c'était faux. »

Je secouai la tête en essayant de retenir mes larmes. « Mais même si c'est faux, qu'est-ce que ça change à la situation Piper ? » Je fixai mon regard dans ses yeux multicolores qui m'observaient avec tristesse. « Je suis désolée, mais je suis impuissante, perdue et exténuée. Tous mes efforts sont inutiles et je ne peux et ne veux plus me battre. J'abandonne. »

Je me levai et sortis de la cafétéria pour aller dans un endroit où personne n'allait me voir craquer. Un endroit où je pourrais laisser paraître toutes les émotions que j'avais essayé de dissimuler pendant deux semaines. Un endroit où je pouvais enfin être moi-même.

_______

Pour un samedi matin, le Starbuck était vide. Les aller-retour se succédaient, mais seulement trois autres personnes étaient installées aux tables. De mon côté, j'étais assise près des baies vitrées à me demander s'il fallait que j'aille à la compétition de natation. Le sweat-shirt de Percy était posé devant moi et je le fixais sans ciller. Je touchai les lettres qui se trouvaient au dos du bout des doigts en espérant qu'il pouvait m'apporter une réponse.

Sauf que la réponse je l'avais déjà, j'avais juste peur de l'admettre. C'était d'ailleurs pour cela que je l'avais emporté avec moi et que je m'étais levée tôt ce matin. Il fallait que je le fasse, c'était la seule solution.

Je fermai les yeux en tapotant la table des doigts pour essayer de rassembler tout le courage dont j''avais besoin et de me lever pour me rendre à la piscine. C'est à ce moment que la chaise en face de la mienne racla sur le sol et que j'ouvris les yeux. Mon cœur manqua un battement quand mon regard rencontra celui bleu de Luke.

« Non, non, non, » murmurais-je en secouant la tête, « ce n'est pas le moment. »

« Écoute-moi Annabeth, » me supplia-t-il en s'appuyant sur la table, « je sais que tu as toutes les raisons du monde de m'en vouloir, mais- »

Je le coupai avant qu'il ne puisse aller plus loin. « Non Luke, ça fait des mois que je n'ai eu aucune nouvelle alors non. » Je soupirai en commençant à rassembler mes affaires. « Mais tu sais quoi, c'est pas grave. » Je le regardai dans les yeux et lui fis un petit sourire. « Tout le monde fait des erreurs et je ne t'en veux pas, c'est juste que tu as vraiment mal choisi ton moment. »

Il fronça les sourcils. « Qu'est-ce qui se passe ? »

« Tu n'es pas le seul à avoir pris une mauvaise décision. » Je lui souris une dernière fois et partis en direction de la piscine.

Toute cette histoire avec Percy m'avait fais réaliser que l'erreur était humaine et le pardon important. J'aurais tout donné pour que Percy me pardonne, alors j'étais mal placée pour en vouloir à Luke. Certes, il n'avait pas pris la bonne décision en mettant au courant nos parents de notre relation, mais qui n'avait jamais fait de faux-pas dans sa vie ? J'avais donc décidé de lui pardonner, personne ne méritait d'être rejeté à cause d'une simple erreur de jugement.

Le trajet jusqu'au gymnase fut bien trop court à mon goût. J'hésitai et m'arrêtai devant les portes. La rencontre avait déjà commencé depuis quelques minutes, mais la course de Percy n'était que vers la fin, alors j'avais encore le temps de me convaincre que j'avais pris la bonne décision et que je n'allais pas le regretter après.

J'avais passé des heures et des heures allongées sur mon lit à mûrir ma décision, peser le pour et le contre et me remémorer tout ce qui avait pu se passer en deux semaines. Ça n'avait pas été facile, mais j'avais fini par me décider.

« Bonjour Annabeth. » Je sursautai en entendant la voix du père de Percy et me retournai pour le voir tout sourire. « Comment vas-tu ? »

J'haussai les épaules en essayant un petit sourire. « Ça pourrait aller mieux. »

Il regarda l'enseigne de la piscine avec nostalgie. « Je comprend. C'est cet après-midi que tout se joue n'est-ce pas ? »

J'acquiesçai en baissant les yeux. « Vous serez présent ? »

« En effet, une petite manifestation est organisée en marge de la conférence de presse. »

Je me mordillai la lèvre inférieure. « Et Percy sera là. »

« Exact. » Dit-il en penchant légèrement sur le côté. « Je suppose que si tu es ici c'est parce que tu as pris ta décision. »

« C'est vrai, mais ce n'est peut-être pas celle à laquelle vous pensez. »

« Oh je ne m'en fais pas pour ça. » Rigola-t-il doucement.

Je le regardai avec intérêt. « Qu'est-ce que vous entendez par là ? »

« Tu es une jeune fille intelligente Annabeth, je sais que tu as pris la meilleure décision. »

Je réfléchis quelques instants à ce qu'il venait de dire. « Vous avez l'air d'en savoir plus que vous ne dites. »

Il me regarda avec une lueur amusée dans les yeux. « C'est peut-être le cas. Ne te fis pas aux apparences, elles sont parfois trompeuses. »

Je me demandais bien ce qu'il voulait dire par là. Est-ce que c'était parce qu'il savait ce que j'avais en tête ou alors il s'en donnait juste l'air pour que je lui dise ? Je préférai laisser tomber le sujet puisqu'il ne semblait pas vouloir ajouter quelque chose.

« Vous allez voir sa course ? »

« Effectivement, j'espère qu'il va obtenir cette bourse pour Boston car c'est bien plus près que San Francisco. Je n'ai pas envi que mon fils s'éloigne une nouvelle fois de moi. » La fierté et la crainte se mélangeaient dans sa voix.

J'aurais aimé avoir un père comme Poséidon. Malgré tout ce qui avait pu se passer entre eux, il avait toujours été un bon père pour Percy et le soutenait de tout son cœur. Il l'aimait autant qu'un père devait aimer son fils.

« C'est de Percy dont on est en train de parler, il donne tout ce qu'il a quand c'est pour quelque chose qu'il aime et la natation est toute sa vie. Je ne me fais pas soucis quant à sa réussite. » Répondis-je en détournant les yeux.

« Je vais te laisser maintenant Annabeth. » Conclut-il avec un sourire. « De toute manière, ce n'est pas la dernière fois qu'on se voit aujourd'hui. »

Il rigola doucement et franchit les portes du gymnase où des cris pouvaient se faire entendre.

De mon côté, je préférai attendre quelques secondes de plus. Est-ce que j'étais assez forte pour faire ce que j'avais prévu ? Est-ce que je le voulais vraiment ? Non, je ne le voulais pas, mais c'était nécessaire. C'était pour le bien de tout le monde donc je me devais de le faire.

Prenant de grandes inspirations, une confiance nouvelle s'empara de moi et je poussai à mon tour les portes battantes, le dernier rempart qui me séparait d'un des moments que je redoutais le plus. L'odeur de chlore me rappela immédiatement l'odeur de Percy quand il venait de terminer un entraînement et qui semblait avoir fusionnée avec son odeur corporelle naturelle, mais je repoussai cette pensée au fin fond de mon esprit et avançai jusque sur les côtés des gradins.

Je n'eus aucun mal à repérer Percy qui se tenait prêt de la ligne d'arrivée et qui encourageait le membre de son équipe qui était actuellement en train de concourir, accompagné par ses autres coéquipiers. Ses cheveux noirs étaient plus ébouriffés que jamais et la détermination se lisait sur les traits de son visage. Seulement, je le connaissais suffisamment pour voir dans ses mouvements qu'il était stressé. Ses épaules étaient crispées et ses mouvements raides. De plus, il n'arrêtait pas de jeter des regards nerveux en direction d'un homme qui se tenait près du jury. Ce devait être l'homme de Boston qui allait attribuer les bourses.

Je continuai à l'observer comme dans une sorte de transe quand il aida le nageur à sortir de la piscine et le félicita pour son classement. Jusqu'à présent, tous les nageurs de Goode qui avaient concouru avaient terminé sur le podium, ce qui expliquait sans doute pourquoi Percy semblait rayonner.

Je clignai des yeux plusieurs fois pour me rappeler que j'avais un plan à réaliser et m'approchai discrètement des bancs où se trouvait les sacs des nageurs. Je reconnue facilement le sac de Percy et y déposai rapidement ce que j'avais emmené avant de reprendre ma place à côté des gradins.

Le deux cent mètres nage libre allait commencer, la course la plus prisée des nageurs et aussi celle dans laquelle Percy concourrait. Pourquoi est-ce qu'il concourrait toujours dans les dernières courses des rencontres ? Je n'en avais aucune idée. Il s'avançait vers la ligne de départ en évitant soigneusement de regarder le public, ce qui était étrange puisque, d'habitude, il regardait toujours ses amis pour se rassurer.

La tension dans la salle était palpable et elle ne fit que s'accentuer quand le départ fut donné. Je ne lâchais pas Percy du regard, pouvant voir la force dont il pouvait faire preuve et la grâce naturelle qui se dégageait de ses mouvements. C'était exactement comme si mon champ de vision s'était rétrécit et que je ne pouvais plus voir que le couloir de Percy. Je n'avais plus conscience de l'avancée des autres concurrents, mon attention entière était sur la progression de Percy, plus qu'elle ne l'avait jamais été.

Lors de la dernière longueur, je retins ma respiration et ne la relâchai que lorsqu'il toucha le mur, mon regard se portant directement sur l'écran affichant les résultats. Un sourire stupide se glissa sur mes lèvres quand son nom apparut en première position. Je reportai mon attention sur le concerné qui venait tout juste de regarder en direction du représentant de l'université de Boston.

Pendant quelques minutes qui me parurent une éternité, celui-ci se contenta d'écrire sur un bout de papier avant d'enfin prendre la direction de Percy qui attendait désormais à côté de Coach Hedge. Ils parlèrent pendant plusieurs minutes supplémentaires lors desquelles je ne pus tirer aucune information. Le stress m'avait complètement envahie et mon hyperactivité commençait à se faire ressentir. Ils se serrèrent finalement la main et Percy se tourna vers les gradins avec le visage éclairé par un immense sourire.

Il l'avait obtenue. Il l'avait fait.

Le soulagement se répandit dans mes veines à une vitesse éclaire et je ne pus m'empêcher de sourire. Malheureusement, ma joie fut de courte durée. Non seulement je venais de me souvenir de la situation dans laquelle on était, mais, quand il commença à se diriger vers son sac, il croisa mon regard et son sourire s'effaça progressivement. Il me fixa jusqu'à ce qu'il soit arrivé au banc et qu'il baisse les yeux vers son sac et ce que j'y avais déposé. Là, son expression s'effondra et il releva la tête pour m'observer avec des yeux ténébreux et anéantis.

Je n'y avais déposé que deux choses. Le premier était une simple feuille où était écrit seulement trois mots. Je suis désolée. Le deuxième était ce qui m'avait le plus brisée le cœur. Son sweat-shirt de l'équipe de natation.

Une soudaine vague de tristesse m'envahit en le regardant comme ceci. C'était fait, trop tard pour revenir en arrière. Ça faisait mal, beaucoup plus mal que je n'avais pu l'imaginer. Mais c'était nécessaire.

Il secoua doucement la tête en me regardant et en prenant le sweat-shirt dans ses mains, mais je lui adressai un faible sourire en sentant une larme couler sur ma joue. Je l'essuyai et tournai les talons, ne supportant plus de le voir me regarder comme ça.

Pendant tout le trajet du retour je me répétai que c'était la seule solution, c'était nécessaire, mais c'était dur, très dur.

Je claquai la porte d'entrée de chez ma mère et entrai dans son bureau pour la trouver assise et penchée sur un tas de feuilles.

Il le faut, pour le bien de tous.

« Je vais le faire, je vais faire le discours. »


Nombre de mots : 3222

Oyé la populace !

Ce chapitre 28 m'a brisée le cœur, spécifiquement la dernière partie, alors je ne vais rien dire de plus car je suis beaucoup trop émotive pour l'instant.

N'hésitez pas à commenter, dire ce que vous en pensez, donner des idées et poser des questions.

Peace Out🤙🏼

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