Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 17 - « On interrompt quelque chose peut-être ? »

J'émergeais doucement de mon sommeil en faisant mon planning de la journée et récapitulant les tâches qu'il me restait à accomplir pour que Noël se passe à la perfection. Tout d'abord, il fallait que je réunisse toutes les affaires dont j'avais besoin chez mon père pour ensuite aller chez ma mère et tout mettre en place.

Toujours dans les vapes, je me levai et m'étirai, impatiente à l'idée de la soirée qui s'annonçait. Lorsque j'ouvris la porte de ma chambre, la réalisation s'abattit sur moi. J'avais bien dormi, trop bien dormi même. D'habitude, les cris des jumeaux me réveillaient à l'aube et encore plus durant cette période puisque nous approchions de Noël.

Étrangement, il n'y avait aucun bruit. La maison était aussi silencieuse qu'un monastère, si ce n'est plus. Ma curiosité piquée au maximum, je descendis les escaliers rapidement et vérifiai le salon qui s'avéra être vide. Je commençais réellement à être inquiète quand j'entrai dans la cuisine et aperçue un morceau de papier sur la table. Je m'en emparai et bataillai à le lire jusqu'à la fin, ma dyslexie s'agitant au fur et à mesure que ma colère montait. Au bout de quelques minutes de combat, je le froissai et le jetai à la poubelle avec force avant de monter dans ma chambre et de prendre mon téléphone pour envoyer un message à Percy.

- Viens chez mon père.

La réponse arriva peu de temps après.

- Maintenant ? Il est tôt...

- Oui maintenant !

Sa réponse ne m'arracha même pas un sourire alors que je me préparais rapidement sans faire attention à ce que je prenais. Plus le temps passait et plus je bouillonnais, prête à exploser à chaque instant. Alors quand j'entendis le bruit d'un moteur se garer devant la maison, je dévalai les escaliers et ouvris la porte brutalement sans même attendre que l'on frappe.

« Il est parti ! La veille de Noël, il est parti ! »

Percy fronça les sourcils et s'approcha prudemment. Je me retournai et rentrai telle une furie, Percy me suivant inquiet par mon comportement. Je faisais les cents pas en me passant les mains dans les cheveux, mon hyperactivité ne me permettant pas de rester sans bouger.

« D'accord, et si tu m'expliquais calmement ce qu'il se passe ? » Me demanda-t-il en essayant de me stopper mais je me contentai de le contourner.

« Il est parti, ils sont tous partis ! Sans demander, rien, nada ! »

Il me saisit par les épaules pour me forcer à arrêter et me regarda droit dans les yeux. « Qui donc ? »

Je concentrai mon attention dans le vert de ses iris pour reprendre le fil de mes pensées. « Mon père. Il a décidé d'emmener sa parfaite petite famille en vacances sans même me demander si je voulais venir et, en plus de ça, il a prit l'excuse de notre soirée pour justifier sa décision ! » Je fermai les yeux et serrai les dents. « Il n'a même pas jugé bon de me demander, ni même de me prévenir. »

Percy soupira et me prit dans ses bras, sans un mot. Je lui rendis son étreinte, respirant profondément dans son odeur salée qui remit un peu d'ordre dans mes idées.

Les larmes me montaient aux yeux mais je refusais de les laisser couler. « Comment est-ce qu'il a pu faire ça ? Tout allait pourtant mieux, il faisait davantage attention à moi mais il vient de tout foutre en l'air en un claquement de doigt. »

« Je ne sais pas, » commença-t-il en se reculant pour pouvoir me voir et plaça ses mains sur mes joues, « mais c'est bien lui le plus bête de ne pas se rendre compte de la fille magnifique et exceptionnelle qu'il a. » Je souris faiblement et une seule larme m'échappai, ce qu'il s'empressa d'essuyer. « N'y pense plus Puit de Sagesse, tu vas passer le meilleur Noël de ta vie avec ta véritable famille. »

Je soupirai et hochai la tête. Il ne fallait pas que je laisse mon père gâcher notre premier Noël avec tout le groupe et, surtout, mon premier Noël avec Percy. Le fait que Thalia n'était pas là m'attristait bien assez pour laisser quelque chose d'autre s'insinuer dans mon esprit.

La voix de Percy me tira de ma rêverie. « Sans vouloir paraître impoli ou quoi que ce soit, mais est-ce que tu aurais quelque chose à manger ? » Il se passa une main de les cheveux, les ébouriffant encore plus si cela était possible. « Tu m'as réveillé et je suis parti dès que j'ai pu. »

Je rigolai et l'entraînai dans la cuisine pour lui présenter ce que j'avais à lui proposer. Après quelques minutes d'hésitation, il se contenta de céréales et d'un verre de jus de fruits alors que je prenais une pomme accompagnée de cookies qui malheureusement n'étaient pas ceux de Sally.

« Alors, qu'est-ce qu'il faut préparer ? » Demanda Percy avec la bouche à moitié pleine.

Je le regardai dévorer son petit-déjeuner avec amusement. « Il faut amener quelques films et jeux chez ma mère ainsi que de la nourriture car les placards sont vides. Les autres m'ont dit qu'ils en amènent mais je préfère préparer quelque chose même si je ne sais pas quoi. »

« Je peux demander conseil à ma mère si tu veux, elle a toujours de bonnes idées. » J'hochai frénétiquement la tête, me rappelant à quel point Sally était la meilleure cuisinière que je connaissais. « En parlant de ma mère, elle veut absolument que tu viennes manger dans la semaine. »

Je le regardai avec suspicion alors qu'il essayait d'éviter mon regard. « Et pour quel motif ? Qu'est-ce que tu as encore fait Percy ? »

« Il se peut que j'ai, peut-être, laissé échapper, par inadvertance, que tu étais ma copine ? » Sa réponse ressortie davantage comme une question que comme une affirmation.

Je me levai en prenant les affaires qu'il fallait ranger et rigolai. Quand je passai à côté d'un Percy aussi rouge qu'une tomate, je l'embrassai sur la joue. « Avec plaisir. »

Il soupira de soulagement comme s'il avait peur que je refuse et me fit un sourire resplendissant.

Après avoir rassemblé tous les films et jeux que l'on voulait avec ce qu'il nous fallait pour faire des muffins et des cookies sous les conseils et les recettes de Sally dans des sacs, il ne nous restait plus qu'à aller chez ma mère pour tout préparer.

« Attends juste une seconde. » Dis-je à Percy en me précipitant dans ma chambre pour récupérer quelque chose et le cadeau de Noël que je lui faisais et que je n'avais pas stocké chez ma mère avec les autres.

Une fois redescendu, je lui tendis la première chose que j'étais allé chercher. « Mets ça. »

Il prit son sweat de l'équipe de natation et leva des yeux paniqués vers moi. « Pourquoi ? Tu ne le veux plus ? »

Je levai les yeux au ciel. « Bien sûr que si Cervelle d'Algues, je vais le récupérer. Je veux juste que tu le mettes parce que- »

Je m'arrêtai en réalisant à quel point c'était embarrassant. Malheureusement, le regard insistant qu'il me lançait n'arrangeait pas mon embarras.

« Il n'a plus ton odeur. » Terminais-je dans un murmure, espérant qu'il ne m'avait pas entendu.

Le sourire qui éclaira son visage quand il enfila le sweat me prouva cependant le contraire et, sans un mot, il prit les sacs et sortit les mettre dans la voiture. Je pris mon sac en cachant son cadeau à l'intérieur avant qu'il ne puisse le voir et m'emparai des clés pour fermer cette maison de désolations et de déceptions.

Dès que je m'approchai du siège passager, Percy ouvrit la portière pour moi ce qui me fit sourire. « Après vous Miss Chase. »

________

« Cette maison est absolument incroyable ! »

« C'est la dixième fois que tu me le dis au moins Percy. » Répliquais-je avec un sourire en posant un sac sur la table. « L'architecte aurait certainement pu mieux agencer ses pièces et j'aurais fait quelques modifications dans les détails architecturaux de la façade pour rendre le tout plus harmonieux mais c'est vrai, il a plutôt fait du bon travail. »

Percy secoua la tête en rigolant doucement. « Regarde-toi à parler comme une pro. »

« Je n'y peux rien, c'est mon avenir et ma passion. » Répondis-je en haussant les épaules. « En parlant d'avenir, est-ce que tu penses à l'année prochaine et aux facs ? »

Il soupira et commença à vider l'un des sacs. « Bien plus que je ne le voudrais. »

« Et alors ? » Demandais-je par curiosité et aussi pour me rassurer.

« Et bien, il y a deux facs qui présentent d'excellents programmes en biologie marine. La première est dans les alentours de Boston mais demande de très bons résultats dans toutes les matières ce qui n'est pas forcément mon cas. Ma seule chance serait d'obtenir une bourse de natation, mais ces choses sont tellement aléatoires que je ne sais pas si je vais pouvoir en avoir une. La seconde fac est à San Francisco et est bien plus abordable au niveau de mes résultats. Il y a de grandes chances pour que je termine là-bas. »

Je ne pus m'empêcher d'être déçue et d'avoir peur quand il me dit cela. Je sais que c'était certainement ridicule dû à notre âge et au fait que ça ne faisait que deux semaines que nous sortions ensemble, mais j'avais réellement envie de construire quelque chose de permanent avec Percy. Je n'avais pas envie que notre relation se termine à la fin de l'année à cause de la distance. Je n'avais pas envie qu'elle se termine du tout.

« Et toi ? Harvard c'est ça ? » Continua-t-il, sentant certainement mon changement d'humeur.

J'acquiesçai en jouant avec la tablette de chocolat que j'avais trouvé dans le sac. « Ce serait mon premier choix avec Yale en second et Columbia en dernier. Sauf que la sélection à Harvard est tellement compliquée que je doute d'un jour y mettre un pied. »

« Mais oui, bien sûr. » Dit-il avec sarcasme. « Annabeth, tes résultats sont parfaits, pourquoi est-ce qu'ils ne te sélectionneraient pas ? »

J'haussai les épaules et le regardai dans les yeux. « Il n'y a pas que les notes, ils se renseignent sur ta vie aussi. »

« Même si c'est le cas, et alors ? Tu as la réputation d'être la fille idéale quand tu écoutes tout ce que dit le beau monde de New York. Ta mère est la politicienne la plus influente de cette ville et tu as le CV parfait alors, s'ils ne te prennent pas, les dieux grecs existent. »

Je réfléchis un instant à ses paroles. Est-ce qu'il avait raison ? Généralement il ne se trompait pas sur ce genre de choses. Je décidai de repousser mes anxiétés à l'arrière de mon esprit puisque je ne pouvais pas faire mieux que ce que je faisais déjà.

« Bon, ces muffins et cookies ne vont pas se faire tout seuls ! » Je lui tendis un tablier et une toque.

Il regarda cette dernière avec amusement. « Pourquoi est-ce que tu as une toque de cuisinier chez toi ? »

« C'est au cas où ma mère organise un repas important à la dernière minute et qu'il faut faire bonne impression. Elle force les cuisiniers à en porter une. » Répondis-je en repensant au moment où ça s'était passé et qu'il n'y en avait plus. Ce n'était pas beau à voir, croyez-moi.

« Et pourquoi est-ce qu'on doit en porter une ? »

Je souris en me tournant vers la table. « Parce que j'ai pensé que tu pouvais être mignon avec une sur la tête. »

Il rigola et on enfila nos tenues pour enfin regarder les ingrédients, avec appréhension pour ma part.

« Tu sais que je suis une terrible cuisinière, n'est-ce pas ? Je ne suis même pas capable de faire cuire des pâtes sans faire brûler quelque chose. »

Un sourire malicieux se dessina sur ses lèvres. « Ne t'inquiète pas, je ne suis pas le fils de ma mère pour rien. » Il sortit son téléphone et le connecta à l'enceinte. Quelques secondes plus tard, Thriller de Michael Jackson résonna dans la pièce et Percy se retourna vers moi avec un clin d'œil. « Appelez-moi Percy Jackson, » il fit un moonwalk que je ne savais pas qu'il était capable de faire, « le roi de la cuisine ! »

C'était la chose la plus adorable que je n'avais jamais vu.

Pendant la majorité de la préparation, je me contentai de le regarder mélanger les ingrédients tout en dansant sur une grande partie des titres de Michael Jackson jusqu'à ce que la playlist change pour des groupes comme AC/DC, GreenDay et, plus classique, Imagine Dragons.

Ma seule participation fut quand je mélangeai la pâte pendant que Percy faisait fondre le chocolat pour les muffins. Quand il me demanda s'il y avait du colorant alimentaire bleu, je décidai de m'amuser un petit peu.

« Non désolé. » Dis-je en secouant la tête.

Il arrêta ce qu'il était en train de faire et me regarda avec des yeux écarquillés. « Tu n'en as pas ? Mais... des cookies qui ne sont pas bleu, c'est pas des cookies. »

Il continua à marmonner des choses incohérentes alors que je levais les yeux au ciel en ouvrant l'un des tiroirs pour en sortir une petite fiole de liquide bleu.

« Tu es vraiment une Drama Queen Percy. » Rigolais-je.

Il plissa les yeux en ma direction et me tira la langue en se saisissant du colorant que je lui tendais. « Et toi tu es une menteuse qui profite du malheur des autres. »

Mon rire s'intensifia en l'observant recommencer sa préparation. Depuis que je le connaissais, j'avais pris l'habitude d'acheter du colorant bleu par précaution.

Après avoir terminé et disposé la pâte à muffins et à cookies dans leurs plats respectifs, on les enfourna et se tourna pour regarder le désordre qu'était maintenant la cuisine.

« Bon, il ne reste plus qu'à faire la vaisselle et à ranger tout ça. » Conclus-je avec les mains sur les hanches.

Mais avant que je ne puisse faire un quelconque mouvement, Percy m'avait étalée de la pâte à cookies sur le nez. Je le regardai en essayant de paraître en colère mais je n'arrivais pas à retenir mon sourire.

« Vraiment ? »

Pour me venger, je pris du chocolat fondu sur les doigts et les essuyai sur ses joues à la manière du maquillage indien qu'on voyait dans les films. Il était vraiment trop mignon avec sa toque de travers et son chocolat sur les joues à rigoler comme ceci.

Il commença à s'approcher de moi et je reculai mais me retrouvai bloquer contre le mur. Je me mordillai la lèvre inférieure voyant bien que je n'avais aucun moyen de m'échapper.

« Il faut vraiment que tu arrêtes de faire ça. » Dit-il avec le regard naviguant entre mes yeux et mes lèvres.

Je savais très bien de quoi il parlait puisque j'étais tout à fait consciente que me mordiller la lèvre, quand j'étais concentrée ou que je ne voyais aucune solution, le rendait fou.

Alors pour atténuer son supplice, je plaquai mes lèvres contre les siennes et passai mes bras autour de son cou. Il répondît à mon baiser avec autant d'intensité. Je jouais avec ses cheveux doux et souples alors que ses mains avaient trouvé leur place sur ma taille.

On aurait pu continuer comme ça pendant longtemps si ce n'était pour la sonnerie qui retentit à ce moment précis.

Percy grogna et se détacha. « Pourquoi est-ce que j'ai l'impression qu'on est toujours interrompus quand les choses deviennent intéressantes ? »

Je rigolai et le poussai pour pouvoir me rendre à la porte. Quand je l'ouvris, j'eus la surprise de tomber nez à nez avec Piper et Hazel portant d'énormes sacs.

« Qu'est-ce que vous faites ici ? On s'était dit plus tard, non ? » Demandais-je en les laissant entrer.

Toutes les deux m'observaient avec confusion et surprise.

« Euh, oui mais on s'est dit qu'on allait venir t'aider à tout préparer puisque cette année on est plus nombreux. » Hazel fronça les sourcils. « Dis-moi, tu ne fais pas la cuisine au moins ? On sait tous comment ça se termine généralement. »

Percy choisi ce moment pour apparaître tout sourire et saluer les filles.

« Je vois, » continua Piper avec un sourire narquois, « voici ce qui explique ton état et ton humeur joyeuse. On interrompt quelque chose peut-être ? »

Percy acquiesça alors que je me contentais de rougir, impatiente de changer de sujet. « Qu'est-ce qu'il y a dans tous ces sacs ? »

« Tu verras, on t'explique tout plus tard. » Répondit Hazel avec un air de malice dans ses yeux d'or que l'on voyait rarement.

« Vous savez quoi faire. »

Elles hochèrent la tête et montèrent les escaliers avec des regards entendus en ma direction.

On retourna dans le cuisine pour terminer le rangement. Le temps que tout soit propre, les muffins et les cookies avaient fini de cuir et refroidissaient sur la table devant nous.

« Tu crois qu'ils sont bons ? » Demandais-je à Percy, la tête légèrement penchée sur le côté.

« Il n'y a qu'un moyen de le savoir. » Dit-il en approchant la main des cookies.

Je l'arrêtai rapidement et le regardai comme s'il s'était transformé en monstre. « Non ! Non seulement c'est chaud mais en plus ce n'est pas pour tout de suite. » Il me fit son fameux regard de chien battu et je dus rassembler toutes mes forces pour lui résister. « Tu n'y touche pas Cervelle d'Algues. »

Il soupira et capitula. La sonnerie retentit une nouvelle fois et je fronçai les sourcils.

« Pourquoi est-ce qu'ils arrivent tous maintenant ? »

Percy haussa les épaules. « Puisque les filles sont déjà arrivées, j'ai dit aux autres qu'ils pouvaient venir. »

Je levai les yeux au ciel en secouant la tête. Bah oui, pourquoi pas ?

Il commença à se diriger vers la porte mais je lui sauta sur le dos avant qu'il ne puisse trop s'éloigner. Il ne broncha même pas ce qui est totalement injuste.

Il ouvrit la porte sur les garçons et Rachel et Reyna sans que je descende pour autant. Avant que l'un de nous ne puisse commencer à parler, une voix cria de l'autre côté de la rue.

« Le grand McShizzle vient d'arriver, la fête peut commencer ! »

On se retourna tous pour voir Léo approcher en pyjama avec son coussin sous le bras comme si c'était la chose la plus normale du monde.

« Rassure-moi, quelqu'un t'a emmené jusqu'ici ? » Demanda Jason, exaspéré par son meilleur ami.

« Bien sûr que non, rien ne vaut l'air frais de New York. »

Je clignai des yeux pour enregistrer ce qu'il venait de dire. « Attends, tu veux dire que tu t'es trimballé dans les rues de New York de chez toi à ici en pyjama ? »

« Et oui Blondie, c'est New York, tout le monde s'en fout. » Rétorqua Léo en se tapotant la tempe de l'index.

Avant que je ne puisse l'engueuler de m'avoir appelé Blondie, Percy rigola et ouvrit les bras, si bien que je dus m'accrocher pour ne pas tomber de son dos. « Bienvenue dans mon humble demeure chers citoyens ! »

Je plaquai une main sur sa bouche pour l'empêcher d'en rajouter. « Tais-toi Percy, ce n'est pas ta- » Je m'arrêtai et bougeai rapidement ma main en le regardant, complètement éberluée. « Est-ce que tu viens de lécher ma main ? »

Il hocha la tête avec un énorme sourire et éclata de rire.

« Alors ça c'est dégoûtant Persée Jackson ! » M'exclamais-je en m'essuyant contre son t-shirt.

Il continua de rire mais s'écarta du chemin pour laisser rentrer les autres.

Tous s'installèrent, aussitôt commençant des conversations et apparemment excité d'être déjà la veille de Noël. Percy resta un instant dans l'entrée à regarder ses amis, me forçant ainsi à en faire de même puisque j'étais toujours sur son dos.

« Ça promet d'être un bon Noël ! » Conclut-il en m'embrassant sur la joue, me faisant rire.

Il n'avait pas tord.


Nombre de mots : 3273

Bonjour les gars !

Et bam ! Un chapitre 17 en temps et en heure ! Je vous jure que ce chapitre est la définition d'adorable. C'est tellement mignon, j'en suis outrée (inside joke, ne vous en faites pas.).

Enfin bon, je ne vais rien dire de plus mis à part que ce foutu bac c'est terminé et que j'en suis bien contente.

Bref, n'hésitez pas à commenter, dire ce que vous en pensez, poser des questions et donner des idées de scènes que vous voulez voir du PDV de Percy pour le prochain chapitre bonus.

Peace Out 🤙🏼

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro