Le passé d'Alexandre :
Partie 3 :

Un rubik's cube ?!?!?

Ce jeu HYPER énervant que je n'ai jamais réussis à finir, car il me soûlait tellement que je ne tenais pas plus de 30 secondes à le bouger dans tous les sens.

Qu'est-ce qu'il pouvait bien faire là ?!
Pourquoi Alexander voudrait-il que je trouve un rubik's cube ?
C'était totalement inscensé.
Il avait dû imaginer que cette pièce étant gardé renfermerait quelque chose d'interressant ou de précieux. Mais soit il s'était trompé, soit la chose n'y était plus, soit s'était le rubik's cube que j'était réellement venu chercher.
Ce qui était inconsevable.

Des pas se rapprochaient, je me dépêchais de fourrer le cube dans ma poche, (au cas où) remit la planche en place, refermais la porte et pris mes jambes à mon cou.

Mais les personnes qui approchaient eurent, malheureusement, le temps de m'apercevoir avant que je ne disparaisse au bout du couloir.
Je me dépêchais de rentrer au dortoir et de m'assoupir, ce qui ne fus pas facile, vu que j'étais mort de trouille à l'idée qu'il m'est reconnus.

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Au matin, des fouilles furent organisées, heureusement le rubik's cube était bien à l'abri dans un endroit où personne ne le chercherait. (le sac à linges sales !)

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À peu près vers 3h00 du matin je me réveillais, l'heure de "l'action" était venue. Je me levais, récupérais l'objet et m'assis sur mon lit.
En apparence il était ou du moins je le voyais comme ce qu'il devait être. Ni plus ni moins qu'un rubik's cube. Un objet solide en forme de carré d'environ une dizaine de millimètres de hauteur et de largeur.
Et constellé de petit carré de couleur. Un rubik's cube, quoi ?!?!
Comment pouvait-il être "précieux" ?
Personnellement je n'ai jamais compris l'intérêt de ce stupide jeu.
Tourner et retourner par-ci et par-là.
La logique des films voulait que miraculesement j'appuis sur un petits carré de couleur, et que bizarrement le cube s'ouvre et qu'il contienne un je-ne-sais-quoi d'utile. Mais, faut croire que c'est trop facile pour moi. Fallait tester le niveau supérieur.
Après 2 heures de recherche, je du m'avouer vaincu. Ce n'était rien. Rien qu'une saleté de-... ! Il ne cachait rien. Et avait le don de me mettre hors de mes gonds.

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La nuit suivante. 3h45

Je décidais de retourner voir la pièce. Après tout s'il y avait un compartiment secret, il y en aurait peut-être d'autre. Il ne fallait pas perdre espoir. Alex comptais sur moi. Je ne pouvais pas échouer.

Je traversais la salle de contrôle, bizarrement inoccupée, je dépassais le réfectoire, parcourais les couloirs qui me séparaient de la porte et arrivait finalement devant elle. Mais cette fois nulle garde à l'horizon. Voilà qui était inquiètant. J'entrais néanmoins dedans et m'entrepris de chercher un indice indiquant qu'il y aurait une autre cache.
Mais rien, il n'y en avait pas.

Je ressortis donc, déçue et emplis de honte. Je n'avais pas su découvrir se que j'aurait du trouver. J'avais échoué, Alexander aurait confié cette mission à quelqu'un de moins incompétant.
En refermant la porte je me pris les pieds et m'affalait contre le mur d'en face. Manque de chance ma tête s'écrasa sur le coin.
Aïï, quel empoté.
Le choque fut rude. Et un filet de sang m'obcurssi la vue. Je nettoyait mes yeux d'un revers de ma main. Et regardais devant moi, là où aurait du se trouver un mur. Se tenait mainteant un tunnel...

Il était là mon trou !
Il n'étais donc pas sur le rubik's. Je me relevait et pénétrait dans le couloir improviser.
Je parvins bientôt au bout et j'entendis des voix. Je glissais un oeil pour voir de quoi il s'agissait.
Je me trouvais à présent à l'entrée d'une immense salle. Un escalier permettait d'y accéder. Une estrade se tenait au bout et juste devant un rassemblement d'adulte était assis sur des chaises et écoutait un costaud militaire qui baragouinait tout en carressant du bout de son index le révolver pendu à sa ceinture.
Je tendis l'oreille :
-...jourd'hui, le moment que nous attendions tous est arrivé, l'enfant est revenu. Quand nous l'avons envoyé, quand nous le leur avion confié, il n'avait que 3 ans, il en a maintenant 7. Pendant ses 4 longues années, elles l'on préparés et entraîné, il est maintenant près à combattre. Bientôt, d'ici quelques années. Elles seront les maîtres du monde et nous, nous nous tiendrons à leur côtés.
Les autres nations libres deviendrons des esclaves.

Acclamez, notre futur arme, acclamez notre sauveur :

Loïs Ulys Nicolaï Adam Ilian Ralph Ethervo, du nom de ses 7 créateurs.

Kilian choisi cet instant pour s'exclamer :
-Whaooo, il a un nom bien pourris le gars. On peut difficilement choisir pire. Franchement ça va vraiment pas du tout ensemble. Le pauvre. Je le plains, telllllllement.

(Personnellement, je trouve que c'est moins classe qu'Albus Perceval Wulfric Bryan Dumbledore, mais bon. Y'a des parents doués et d'autres non.)

-KILIANNNNNNNN !
Ça ! c'est Rayan.

-Ok. J'em tais. Promis. dit-il avec un sourire mi moqueur mi soumit.

-Donc, je disais, repris Alexandre. Loïs Ulys Nicolai Adam Ilias...euh non, Ilian, Ralph Ethervo.

Un petit garçon est monté, il avait les cheveux noir, et la peau diaphane. Un air déterminé et terrifiant sur le visage. Comment pouvait-il être si jeune et si...inquiètant ? Si... Je ne trouvais pas les mots pour le décrire. Il n'y en avait pas.

Il ne dit pas un mot, mais s'assit en position de méditation. Un sourire malsain aux lèvres. J'avais beau êtres à 6 mètres de hauteur et au moins 30 mètres de longueur de lui que j'en avais froids dans le dos. Ce gamin n'était pas net. Pas net du tout.

Dangereux même.