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Chapitre 25

LES PROCHAINS CHAPITRES SERONT CONCENTRÉ SUR...😆

Suuuuuuuspense...

Le passé d'Alexandre : 1ère partie.

Bonne lecture ! 🤗

Je suis né à Paris le 24 août 2096, j'habitait dans le 16ème
arrondissement.
D'aussi loin que je m'en souvienne il a toujours été là pour moi, avec moi, je parle bien sûr d'Alexander Batravieux né à peine quelques mois avant moi le 08 Janvier 2096...

Kilian l'interrompis :
-Mais, si vous n'êtes pas Alexander Batravieux quel est votre nom ?

-Je m'appellais Marin.
Marin Hectorson .

M'appellais...

-Nous faisions tout ensemble, nous étions pareils...nous avions les mêmes goûts, les mêmes habitudes, les mêmes amis...tout, absolument tout.

J'ais l'impression qu'il se parle à lui même plus à nous, que pour lui nous avons disparus, invisibles.

-Je me souviens bien, très bien même de ce jour celui où nos vies on changé à tout jamais :
- le 11 mai 2110
J'avais 14 ans, lui 15. Alors que nous rentrions tranquillement du collège des troupes entières de robots ont envahis la ville.

(Les IA ont pris Paris par la force, hommes, femmes et enfants tous sont tombés sous leurs coups, au fil du temps elles se sont arrêtées.)

Nous avons réussis à rejoindre l'appartement où je vivais avec ma mère en mettant 4 fois plus de temps que normalement. Au moment où jallais entrer un robot en est sortis Alexander a dû me tirer hors de sa vue avant qu'il ne m'aperçoive. Une fois disparu je me suis précipité à l'intérieur ma mère était recrovillée par terre en position fœtale une marre de sang autour d'elle. Quand elle m'a aperçut, elle m'a supplié de partir, de m'enfuir loin de cette ville, la seule que j'eus jamais connu avec Alex. J'ai protesté disant ne pas vouloir la laisser là, mais je n'en ai pas eu le temps, elle est morte comme ça dans mes bras et je n'ai même pas pu l'enterrer.

C'est Alexander qui m'as sauvé, il m'a porté pendant des kilomètres et des kilomètres sur ses épaules.
Ce n'est que maintenant que je me rends compte à quel point cela à dû être difficile pour lui, m'emmener loi de chez moi, loin de chez lui, alors que ça famille mourrait probablement elle aussi.

Nous ne fîmes ni gestes de réconforts ni commentaires. Gardant le silence, un profond respect se lisait sur nos visage.

-Quand je me suis réveillé dans une forêt après 3 jours de marche Alex était dos tourné et réfléchissait, je me souviens... il s'est retourné et m'a dit :
-Marin...tu te souviens du jeux du prince, de la princesse et du méchant dragon ? On y jouait souvent étant enfants.

-Oui, ais-je répondu. Tu voulais toujours faire le chevalier qui délivrait la belle princesse, alors je faisais le dragon.

-Et bien maintenant imagine :
Le prince/chevalier = Nous
Le dragon = Les IA/Robots
La princesse = La Terre
Le jeu est toujours le même, tuer le dragon et sauvé la fille.

-Alex. On est que des gamins, laisse les adultes s'en occ...

-NON. Marin, on est plus des enfants et tu le sais très bien. On peut le faire, on doit le faire.

-C'est trop dangereux, tu veux prendre un bout de bois et courir voir les robots, tu vas te faire massacrer à coup sûr.

-Je ne suis pas fou à se point là, ce serais du pur suicide. Je pensais plutôt à recruté des jeunes de notre âge et quand on sera assez nombreux on ira voir les "grands" et on les obligera à nous donner des armes et tu verras on tueras des milliards de robots, et après on sera des HÉROS !!!!

-C'était stupide je le sais maintenant...mais pourtant je ne sais pas ce qui m'a prit ce jour là. Mais je l'ai crus, je l'aurais suivis jusqu'au bout du monde. Il voulait tellement être un héro. Et pourtant...si seulement j'avais su que cela causerais sa mort, qu'aurais-je fait ??? Il avait la tête pleine d'idées, il brûlait de reprendre sa revenche. Nous étions si...jeunes, trop sans doutes pour comprendre se dans quoi nous nous embarquions, des enfants insousciants . Mais lui, il méritait cette chance, alors je l'ai suivis.

Un sourire nosalgique étira ses lèvres. Mais ce sourire était triste remplit d'amertume et de regrets.

-Et pourtant c'est ce jour là que je l'ai perdu, ce jour là qu'il est mort, ce jour là qu'elles m'ont pris mon meilleur ami à tout jamais.

Une larme solitaire glissa le long de sa joue. Il continua :

Quelques mois difficiles se sont écoulés, des mois de recherches et de vols pour notre survit. En début du moi de Novembre nous étions 82.
82 jeunes d'entre 12 et 20 ans, prêts à fair payer les IA pour le mal qu'elles avaient faient. 82 gamins irresponsables que le destins avait forcé à prendre un chemin trop sinueux, trop dur.

-Nous avions établis notre "camps" au beau milieu d'une forêt pas loin de Bordeaux, ou du moins de ce qu'il en restait. Alexander était évidemment notre chef, respecté.
Nous avions un unique ordinateur au camps, alors il n'était pas questions de faire des jeux débiles dessus, Alain-

(NDA = là ce n'est pas Alain, je le prononce Aleyne, je suis tarée à un stade particulièrement avancée j'ai donc choisis de déformer un prénom, désolée.)

-un jeune garçon de 14 ans en était responsable, un véritable geek celui-là, capable de pirater des infos à la vitesse de l'éclair (bon pas vraiment dans celles des IA, mais l'armée, elle, avait de petits problèmes de confidancialités !)

C'est grâce à lui que nous avons apprit que des militaires allaient effectuer une mission "secrète" ;), nous n'avions qu'à les intercepter et à leur demander gentiment de nous aidés à nous venger. Mais curieusement cela ne sais pas exactement passé comme ça. Il se trouve que nous n'étions pas les seuls a avoir réussis à récupérer des infos dans les données de l'armée, les IA y avaient faient un petit tour. Et elles ont été de la party, pour mon plus grand malheur. 😣😫😡

-Inutile de vous conter comment cela c'est passer, se serait long et nous n'avons pas tant de temps à perdre. Donc je vais simplement résumé :

Il y a eu une mini bataille entre les militaires et les adolescents contre les bouts de fer en boîte. On a réussis à les découper en rondelles et ensuite on a eut une petite discussion avec le lieutenant. Il a fallu 6 jours, 15 heures, 37 minutes et 9 secondes, environ une bonne centaines de menaces de morts imminentes (des deux côtés, autant de nous que d'eux;), un peu de flatterie et de léchage de bottes, ainsi qu'un gros gros chantage... Mais on a finalement obtenus ce que l'on voulait :
La promesse de nous aider à nous venger.

On nous a amenés dans une des base militaire situé côté nord de Toulouse. Un dortoir. Voilà l'endroit où ils nous ont laissés moisir pendant 3 jours. 3 jours. Je peux vous dire qu'à 82 dans un dortoire pour 30 personnes, c'est serré. Et on dort mal, entassés les uns sur les autres.
Quand ils nous ont "libérés", et je me souviens de ce qu'il s'est passé avec exactitude. Alex c'est levé d'un bon à franchi les 10 mètres qui le séparait de nos "geoliers" (tout le monde s'écartant sur son passage) et à foutu son poing dans la gueule du commandant si fort qu'on la entendu craqué et qu'une de ses dent en ait tombée. Pas un super moyen de les inciter à nous employer pour des missions guerrières à la rencontre des ennemis. Mais faut le dire, ils l'avaient carrément mériter.

L'excuse qu'ils nous ont sortis c'était qu'il nous "testaient" pour voir si nous étions capables de résister à des conditions difficiles. Autrement dit si nous étions de vrais hommes. (Hilarant, quand on y pense, il y avait quand même 14 filles parmis nous. Mais curieusement elles n'ont pas trouvé ça drôle. Pas drôle du tout, même.)

Pendant 3 semaines ils nous on préparés à ce qui nous attendaient, la guerre. Entraînement assez intensif,...

-Plus intensif que celui que nous subissons ici ?!? Demanda Seb à moitié en rigolant. Son ton indiquait clairement qu'elle trouvait cela impossible.

-Eh bien, l'entraînement de la Légion est basé sur celui que nous avions reçut, donc ils sont à peu près pareils. Lui rétorqua (euh...je met quoi Marin, Alexandre, Marexandre, Alexin ?)
Bon vous voulez savoir la suite ou je m'arrête ???

-NON ! le cris de Rayan se mêla au mien.

Il se reprit rapidemment et enchaîna d'une voix douce :
-Non, je t'en pris. Continus.

-Comme tu veux. Et il reprit.
Donc, environ 3 semaines plus tard il nous on séparé en 18 groupes de 4 et 2 groupes de 5 et nous on répartis dans différentes escadrilles. Je me suis retrouvé avec Yvan, Jackie et Paul. Séparé d'Alexander j'ai commencé a éprouver quelque chose que je n'avais pas ressentis depuis longtemps, depuis la mort de ma mère en fait. La peur.

J'étais angoissé, je ne m'était jamais, même ne serais-ce qu'imaginer que nous allions devoir nous séparés.
Alexander avait toujours été là, depuis le début de la guerre, toujours à mes côtés et moi aux siens. Nous ne nous étions pas quitté d'une seule semelle. Et là il me demandait de le laissé s'en aller loin de moi pendant des jours et des jours. Alexander était ma bouée de sauvetage, ma chaloupe en pleine tempête, ma corde à laquelle me racrocher lorsque je tombe. C'est lui qui me permettait de rester debout, de ne pas sombrer. Et ce fut pour lui que j'acceptais, pour la revenche qu'il avait tant désiré et qui était désormais à portée de main.

Avant de partir nous nous retrouvâmes dans un entrepôt inutilisé pour les aux revoirs.

Je me suis mis à pleurer. Lui aussi.

Les larmes lui montait à présent aux yeux, il les essuya d'un revers de sa manche sans y prendre garde.

(Alexander)
-Ne t'en fait, Marin. On va se revoir très rapidemment, ce n'est qu'une petite mission. On aura vite l'habitude. Et bientôt, dans quelques missions nous serons tous assez doués pour fondés notre propre groupe de résistant, nous vivrons et combattrons sans avoir besoins de l'armée. Et nous l'éclipserons, nous serons les vainqueurs des IA, les tueurs de robots, les terrasseurs d'ennemis, les Héros de la guerre en somme.

Un sourire immense avait étiré ses lèvres, tellement éclatant qu'il avait illuminé les moindres recoins de la pièce.

Nous nous étions étreint une dernière fois et avions prit la direction de la platforme d'atterrissage et de décollage. Alors que nous montions dans différents avions, il m'avait lancé ces quelques phrase que je n'oublierais jamais :
-Les Vainqueurs, Marin, oublis pas. Reste en vie et à dans quelques semaines.
Cela accompagné d'un grand geste de la main.
Mon cœur s'était serré en le voyant partir, une boule s'était formé dans mon ventre. Il venait tout juste de partir, mais je voulais déjà le revoir...

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La 1ère partie du passé de Marin/Alexandre... FINIE !

Comment l'avez-vous trouvez ?
Épique ? (J'exagère , hein ? ^_^)
Géniale ?
Cool ?
Bien ?
Bof ?
Ennuyeuse ?
Nulle ?
Horrible ? (Pitié pas ÇA ! XD !!! )

Juste du coup je l'appelle comment Marin, Alexander, Alexandre ou autrement ? 🤔

Dîtes-moi, s'il vous plaît ;)

Au fait ne m'en voulez pas, je sais que ma publication est un gros gros gros bordel...😇😧😳

Calyps'

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