J'écris peu sur la relation charnelle en détail, grossièrement ça signifie : j'écris rarement des parties de jambes à l'air ou si vous préférez j'écris peu des moments ou des couples effectuent la bête à deux dos !

Pas que ça me choque ou me traumatise d'écrire des mots grivois, de lire des gauloiseries et que je n'ai jamais lu de livres avec plus ou moins de l'érotisme dedans ; seulement je juge ne pas savoir en écrire correctement. Pourquoi ? Bien, j'ai lu des auteurs hispaniques, japonais qui au détour d'une demi-page voire un peu plus ont livré leur version de l'amour charnel et j'ai compris à ce moment ne jamais pouvoir les égaler, trop de puissance coule dans leurs veines ! C'est vrai qu'en France, nous avons le marquis de Sade, mais c'est.. c'est plutôt l'énoncé de toutes les choses malsaines possibles et inimaginables mêlant la sexualité, c'est de la déviance, du crime (pédophilie, mutilations entre autres ah et choses peu réjouissantes avec des cadeaux surprises sortant du corps). Je ne connais personne me sortant : « As-tu lu (insérer nom d'une œuvre de Sade) ? Je veux écrire comme lui la fesse ! Et toi ? »

Tout à fait naturel, je connais peu de gens voulant ressembler à un criminel sexuel, même uniquement sur le plan littéraire encore heureux ! Bref, j'ai pas énormément de modèles français dans l'érotisme qu'importe l'orientation sexuelle, sauf pour la poésie, la littérature peu parfois si mais c'est plus sous l'angle comique. Sûrement à cause de cela, je montre un côté frileux à en proposer ou le fait également que cette plate-forme peut condamner les auteur(e)s en écrivant !

Donc vous livrer cette nouvelle a été une épreuve terrible, rien que d'y penser j'en ai des rougeurs assez honteuses en pensant à toutes ces fautes possibles à l'intérieur, la possibilité que des mineurs l'aient lus malgré mes avertissements et aussi celui de la peur de l'ostracisation.

Je ne risque pas de me vanter à tous d'avoir réussi écrire ce genre de nouvelle en plus en m'étant faite violence, c'est à dire que c'est même pas venu naturellement en usant de fantasmes puisque je ne fantasme pas sur des beaux garçons, des belles filles de fictions sauf exception japonaise évidemment.

Pourquoi cette exception existe t-elle ? Le Japon a tellement de force en lui, d'innovation qu'il pourrait me prendre tout mon argent et me développer des fantasmes insoupçonnés ! Avant lui, je ne savais pas que mon fantasme ultime c'était: de voir des robots géants se transformer en avions, bateaux avec une romance entre un héros pilote de l'armée et une idole de l'espace, toute une habitation vivant à l'intérieur du robot géant/vaisseau spatial ou de voir une jeune fille à cheveux vert affronter des monstres avec un bikini pagne à la Léïa, trancher avec son épée des dragons chinois et combattre Ronald McDonald qui est en fait un pervers soulevant les jupes des dames pour prendre des photographies de leurs culottes ! Maintenant, ma vie sociale est assez fichue, on croit que j'ai soit le syndrome de Peter Pan soit que j'ai un amour pas très pur pour des personnages de fiction pas toujours majeurs. J'y peux rien,Jotaro Kujo tu vois sa figure, ses muscles saillants, tu te dis la vingtaine obligée et bim non 17 ans (je n'y crois pas, il a redoublé au moins trois fois pour l'uniforme) ! C'est illégal du coup de le voir dans des fanfictions sous forme de manga amateurs nommés doujinshis en train d'effectuer des ora ora ora pas qu'oraux avec son ami à la mèche merveilleuse faisant des rero rero rero. J'ai eu le même coup avec Sailor Moon, je croyais qu'elles avaient entre seize et dix-huit ans et bien non quatorze ans ! Quatorze ans !

D'ailleurs, je me demande s'il existe une peine du type une amende pour toute personne possédant des fanfictions de ce type sous forme broché avec des personnages mineurs bref des adolescents ressemblant à des adultes physiquement..

Pardon pour la digression, encore un super-pouvoir powerrrru upuuu duJapon !

Revenons à Belle nuit, nuit d'amour, que vous avez biencompris est une référence à un opéra chantée en français quevous pouvez d'ailleurs l'entendre dans la Vie est belle, pasle film de Capra mais le film italien durant la Seconde guerremondiale avec le merveilleux Benigni. Cet acteur me met dans tous mesétats, je connais beaucoup de gens trouvant qu'il surjoue,personnellement si tous les acteurs surjouant l'imitaient, à mesyeux le surjeu ne poserait qu'un seul souci : ils l'imiteraienttous !

Ma nouvelle holmésienne homo-érotique présentant un érotismepouvant en éloigner plus d'un et plus d'une m'a donné bien du fil àretordre. Déjà pour les raisons citées précédemment son contenumature, la présence de personnes mineures lisant l'érotisme, ainsique ma peur de corrompre ou montrer une vision trop erronée de lasexualité pouvant s'avérer dangereuse, une autre que j'ai abordédans l'introduction, il s'agit de l'auto-censure. Puis il en existeune autre, que vous allez trouver ridicule, cela m'a amené à desquestions presque existentielles : Au XIX siècle les hommesportaient-ils des sous-vêtements proches de ceux de notre époque oucomme au XVII et XVIII une chemise sous le vêtement ? Commentfaisaient-ils, en ce siècle bourgeois ils ne portaient plus trop debas serrés façon noble avec la culotte par au dessus très lourdearrivant au genoux cachant bien le petit soldat ? Portant unpantalon sans fermeture éclair, ils devaient donc porter une trèslongue chemise pour bien cacher mais.. y avait-il assez de protectiondes regards indiscrets ?

Recherches après recherches, ne trouvant rien m'expliquantcorrectement ce qu'était un sous-vêtement pour le XIX siècle, jeme déclara tant pis soyons anachronique sur ce sujet en usant d'unmot dans le sens moderne et non ancien ! Puis aussi j'ai comprisque le Japon avait tout compris avant nous, bien oui depuisl'Antiquité ils ont le mélange parfait entre le slip, la culotte,la couche-culotte et le pagne : le fundoshi ! Tandis quenous avions des gentilshommes portant des chemises à dentelles avecdes bas serrant plus ou moins la virilité de monsieur bien euxportaient des fundoshi avec une sorte de pantalon bouffant et ilsavaient au-dessus un kimono. Sur n'importe quel autre continent, ilsavaient compris l'intérêt de ne pas trop serrer le petit oiseau, dene pas le laisser s'extirper à n'importe quel moment du vêtement,oh là là l'Europe est tellement barbare ! (Ceci est uneplaisanterie)

Si vous me trouvez un article sur le sujet détaillé, dans le senscontenant des sources sérieuses sur l'habillement au XIXparticulièrement sous le règne de Victoria, au Royaume-Uni parmi labourgeoisie, je prends ! J'aime collecter des savoirs inutilesou pouvant me servir dans l'écriture de fan-fictions ou fictions.Bien sûr, savoir que des sculpteurs et sculptrices se sontempoisonnés à l'amiante jusqu'au XX siècle ne m'a jamais encoreservi, cependant je peux sortir cette anecdote artistique lors des..non je pouvais sortir avant le covid-19 ces anecdotes lors desoirées, repas de familles, maintenant plus trop.

Pour le préservatif, vous le savez sûrement mais le premierexistant date du XX siècle, d'ailleurs il ne se montrait pasjetable, il fallait donc le laver ! Donc, ça signifie unesexualité sans protection, en tant que moderne, ça me fait un petitquelque chose de ne pouvoir le mettre. Qui n'a pas vu de publicitéseffrayantes sur les dangereuses MST ou sur le VIH ?

Qu'il entre ou sorte, oui mais couvert avec le petit cirétransparent ! Donc, ne pas le mettre aux personnages nem'appartenant pas ou non pour des soucis d'époque, ça me gêne,j'écris en me déclarant si mon héros attrape une maladiehonteuse : « Bien, voilà mon chéri ce que c'est l'amourlibre sans protection ! Tu l'as bien cherché. Comment ça tun'entends rien au terme protection ni à ma façon de te parler parceque tu vis sous le règne de Louis chais plus combien ?! C'estpas une excuse, vilain garçon ! »

Sans compter la peur de recevoir des messages de fans jugeantl'homosexualité ne devant pas se montrer présente pour despersonnages qu'ils jugent hétérosexuel ou non attirés l'un parl'autre parce que c'est pas son couple, pas son fétiche et que seulle adlock pour elle/lui existe ! Il est quand même question deHolmes, c'est un symbole, rien que la pensée qu'il puisse aimer leshommes ou seulement un seul bisous gay ça donne des crisesd'urticaires et des messages haineux monstrueux. J'en ai lu surdiverses plate-formes, c'est du type : « Les fangirls, lesLGBT+ ruinent toutes les œuvres littéraires en changeantl'orientation sexuelle de nos héros et héroïnes pour passer unmessage pro ceci qui ne profite pas aux personnes concernées ou pourassouvir leurs fantasmes sexuels de frustrées en manque ! Cessales fémino-nazies mal bais.. »

Enfait, je pense avoir le droit d'écrire des fan-fictionshomo-érotiques sur une œuvre que j'aime, même des scènes de sexe,car c'est tombé dans le domaine public puis pourquoi ça seraitaccepté pour un couple hétérosexuel n'ayant aucune crédibilitécanonique ou une version saphique avec un personnage inventée etIrène Adler et pas pour deux amis vivant longtemps ensemble nepouvant se passer l'un de l'autre ? Même si je surinterprèteune amitié ou qu'il s'agit pour certaines et certains d'un amourplatonique ; ça ne me retire pas le droit de pouvoir enproposer juste comme ça. Pour voir ce que ça fait d'en écrire,satisfaire les personnes aimant ce couple, se débrider un peu ousous l'angle comique.. Qu'importe !

C'est seulement de la réécriture homo-érotique, parfois la seuleexplication consiste à un : Pourquoi pas ?

Cette nouvelle ne possède pas d'enquête, trop de développement despersonnages, pour cette raison j'ai failli ne pas la publier, en medisant que puisque cela se concentrait essentiellement sur l'amour çan'avait aucune valeur ! Heureusement, j'y avais écrit assez dedialogues à mes yeux pour le livrer.

En conséquence, je ne peux pas vous promettre fournir du johnlock decette trempe tout le temps, à vous fournir il m'en reste trois descènes interdites au moins de 18 ans si je ne m'abuse partiellementécrites ou finies. Sous forme de poèmes, ça ne me gêne pas, lagêne provient du nombre de lignes, généralement les personness'attendent à une demi-page voire toute une page avec une multitudesde détails, des ressentis. J'ai tendance à sous-entendre, memontrer sur le sujet pas très loquace, parfois effectuer desplaisanteries dignes d'un quarantenaire alcoolisé buvant avec sespotes se croyant drôle en sortant des perles du mauvais goût.

C'est terrible, la romance, les sentiments, c'est pas fait pour moi.Je suis trop beauf.

C'est également pour cette raison que vous aurez peu de scènes àcaractère sexuel dans mes récit, la possibilité de vous trouver àtout moment devant de l'ironie désamorçant tous les sentiments, ducynisme ou une déception monstrueuse.

Commentairehypothétique : Je m'attendais à une chaude nuitentre deux personnes consentantes et à la place l'auteur(e) a écritcinq lignes ; puis le couple s'est arrêté en pleine action àcause de ce putain de chat qui a fait un saut de dix mètres pourattraper une mouche ! Saleté de procédé usant de matou héritédes films d'horreur.

Quandtout va bien, j'ai réussi à en écrire, pas de plaisanteriesdéplacées, de double-sens trop prononcés, de jeux de mots vaseux,un intense lyrisme gâchant tout, bien arrive autre chose : ledrame ! J'aime ça les moments horribles suivants les douxmoments. Le calme avant la tempête, la sucrerie avant la tasse amèreen te noyant dans la mer de la vie amère et sombre où quelque partCtulluh te guette pour te dévorer vivant ou pis encore !

Ainsidonc, je me félicitais d'avoir seulement abordé l'addiction à lacocaïne de manière assez sommaire en ne développant pas de tropcar j'avais envie de mettre une partie de mes connaissances enaddictologie. Au cas où vous ne le sauriez pas la prise de cocaïne,héroïne, morphine et tant d'autres drogues a un effet orgasmiquesur le cerveau ; la drogue a un effet euphorisant, excitantmeilleur sur la sensation de bien-être éprouvé après avoir bienmangé, bien bu, eût une relation sexuelle ou joué à un jeupassionnant comme addictif. C'est pour cela que la plupart despersonnes sous drogues ne ressentent plus l'envie de se nourrir, deboire par exemple ou ont une absence entière de désir, gisentsouvent amorphes puis certaines drogues peuvent intensifier la libidoou la réduire drastiquement ce qui peut conduire à des effetssecondaires pouvant inclure l'impotence, la stérilité, se voir unefois à jeun sur un site porno sans avoir le moindre souvenir d'avoireu le moindre rapports, des vomissements, une tachycardie, desinfections, puis le plus gros risque de la drogue consommer à desquantités excessives ou.et sur des longues périodes est bienentendu la mort, purement et simplement. Un jour, j'useraispleinement des articles possédés sur les effets de la cocaïne, pasd'inquiétude !