Une fois n'est pas coutume, je vous donne mes sentiments (ceci est l'illustration du sarcasme) comme le nombre de mots de récits en cours ainsi que l'évolution. Dans mes recueils, si vous n'avez pas remarqué, il arrive que le nombre de mots annoncés change suite à mes corrections. Oui, je devrais accepter une version, comme mes erreurs ou alors vous offrir une version établie. Je fais partie du cercle de personnes contrainte de corriger, revoir, corriger pour ne pas décider de tout supprimer. Et j'essaye de ne pas hurler seppuku à chaque petite erreur ou oubli. Comme mes pauses sont nécessaires pour que je reste ici, la correction l'est aussi, écrit de la sorte, j'ai le sentiment de vous parler de relations sado-masochistes. . Cessons la digression ! Hajime !

Le Jeune homme sans mains a de publié ici 87 pages, dans mon traitement de texte 5 pages de plus s'ajoutent, il en manque 7 pour les cent pages, un tournant selon moi. Depuis le vingt-deuxième chapitre, le récit en est arrivé au stade de la grosse nouvelle ou du roman c'est à dire dans les 50 000 mots.

Je sais bien, pour vingt-trois chapitres, bientôt plus je l'espère, on ne s'attend pas sur cette plateforme à arriver à un tel nombre, j'aimerais marquer un: "Ne vous inquiétez pas, dans dix chapitres, ce sera fini !" Mais je suis à 2/5 de l'histoire. J'ai des notes, à ne plus savoir que faire, des chronologies à rallonge, des tas d'idées et je me demande même si je ne vais pas dessiner une carte ! J'essaye de me calmer, parce que si ça continue mon adaptation que je souhaitais terminer en une trentaine de chapitres va se terminer pour moi à une partie de Skyrim. Puis, je sais le public ici aime la régularité, des segments/chapitres d'environ 1000 à 2000 mots, du suspense à la fin de chaque segment/chapitre. En plus, je reprends un conte, ça demande du suspense, de l'excitation. Donc pourquoi ai-je créé un panthéon de divinités et des dynasties à un royaume avec le nom le moins inspiré de l'univers ?

J'en profite en conséquence pour bien annoncer que mes chapitres peuvent être de 3 pages comme d'une vingtaine que je n'ai aucune régularité, que je sais comment ça va terminer mais pas quand. Mon récit est un peu comme un hybride, un.e fan de dark fantasy n'y trouvera pas son compte, un.e fan d'adaptation de conte à une sauce moderne ou innovante non plus et un.e fan de lectures LGBT+ sûrement pas. Pourtant, je continue, le démon de l'écriture me tenant en riant de manière indécente et en prenant mon temps de façon inconsciente. Puis je me relis, je me corrige en m'insultant. Il me faut aussi le titre de pire parent au monde pour ses personnages, ils sont tant maltraités et je ne compte pas m'arrêter en si bon chemin..dans la maltraitance. Ce récit aura bientôt un an, pauvre nourrisson.   

Culpabilité dont il reste 5 segments a de moi des recherches, je suis au tiers de l'écriture du septième segment, parce que j'ai commencé d'autres segments et je bloque pour quelques détails. Je corrige aussi les six segments publiés encore à l'aide du Littré et à la lumière de textes du XIX siècle. Pour moi, le style, ce n'est pas encore ça. En revanche, malgré mon désarroi et mes bruits dignes d'un pokémon, je vous assure ne pas regretter mon choix ni vouloir me désister.

Absinthe, ça m'apprendra de ne plus jamais faire de fanfiction en voulant respecter la continuité du MCU, même si je savais d'avance l'échec. Puis ça porte bien son titre a bien des égards, ça rend amer ! Mes carnets sont griffonnés, mon document m'attend, je crois que la flemme ou le caprice m'a saisi. Parce que dès que j'ouvre, je pense à autre chose ou j'écris pour mon deuxième recueil n'ayant pas besoin du MCU. Pourtant, je sais que ce monde a besoin de lady Loki, comme de titres de boisson alcoolisés avec des jeux de mots.

Et si la prophétie était fausse et autres récits, c'est davantage autres récits, j'ai déjà fait la blague, je sais. Un de mes autres récits a atteint une taille assez lourde, je sens arriver les 10 000 mots. Pour une fanfiction, surtout une nouvelle sur internet plutôt, ce n'est pas conseillé. Enfin bon, quand on aime on ne compte pas. Cette nouvelle m'a grandement amusé tout comme sidéré. Elle sera à l'honneur dans un de mes déboires littéraires.   

Orphée m'a donné envie de m'arracher les globes oculaires, plus que d'ordinaire oui, voilà ce qu'il se passe quand on ne se corrige pas assez. Le pire étant que je me disais: "Pourquoi ai-je arrêté au fait ?" en relisant mes notes et mon synopsis. La raison maintenant me saute aux yeux, j'ai essayé de faire un style plus accessible parce que je recevais des plaintes pour Culpabilité ou l'idée que ce ne l'était pas assez (accessible) donc j'avais décidé de réduire mon travail.

Les Délices Illicites possèdent diverses nouvelles inachevées sur mon traitement de texte, elles ne demandent que d'obtenir grâce, pour le moment je préfère corriger celles publiées et en continuer tranquillement une. Parce que j'ai publié des poèmes, ça devrait suffire pour les deux mois suivants. (ceci est presque de l'ironie)