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Chapitre 9 - Premier échange

PDV Jared
Mardi 31 Juillet 2018
5h45( matin)

Je me dirige vers la sortie, enjambant tant bien que mal les matelas jonché de drogués endormi. Arrivant à l'extérieur du hangar, je repère le véhicule de luxe qui m'attend quelques mètres plus loin. En route discrétion, je penche le visage vers mon torse et prononce le mot: ACTIVATION

Ce mot me permet de mettre en route une petite merveille technologique dissimulé dans le premier bouton de ma chemise à pression. ( je précise, il a plusieurs chemise du genre) Grâce à ça, mes collègues ont tout le loisir d'entendre mes conversations. Une lumiere verte très discrète m'informe qu'ils entendent et la rouge c'est quand je le désactive. Je ne tiens pas à ce qu'ils écoutent mes discussion privés. Là mon but et de leur faire savoir où a lieu la transaction. Pas pour qu'ils interviennent mais pour qu'ils soient là au cas ou que ça tourne mal. Le micro est indétectable au détecteur de métaux et même au toucher si toutefois Serguey décide de me faire une fouille au corps.
Arrivant devant la Mercedes dernier cri, j'ouvre la porte arrière et m'engouffre dans celle-ci. Ana et le colosse sont installé à l'avant. L'homme démarre et je demande comme si de rien n'était :

- Ou se passe la transaction ?

- Tu le saura en tant voulu, me répond le baraqué

- Pourquoi tu ne le lui dit pas? Interroge Anastasia

- Ton père ne t'as jamais appris qu'on se méfie toujours des nouveaux. Ça fait qu'un mois qu'il est là, on peut pas encore avoir toute confiance en lui. Ça peut très bien être un flic ou un indic.

- Il a plutôt une gueule de mauvais garçon, que de policier. Tout ce qu'il veut, c'est sortir son pote du milieu, il prendrait pas le risque de nous la faire à l'envers puis je sors plus ou moins avec lui. Je l'ai à l'œil. Et tu sais comme moi ce qui lui arrivera si je viens à me rendre compte qu'il nous prend pour des cons.

- Tu as raison, faudrait être dingue pour vouloir s'en prendre à la famille Di Marco. On sait tous ce qui est arrivé à ton ex...

Il s'arrête puis reprend à mon attention.

- La livraison se passe dans le Bronx, dans le vieux parking souterrain, en face de l'épicerie qui à brûlé récemment. 

- Je vois.

- Je t'explique comment ça se passe. Tu sors de la voiture, tu lui donne la malette qui contient la drogue, il te donne la malette de fric. Comme c'est la première fois qu'il te voit, il risque d'être tatillon mais ça devrait bien se passer.

- Entendu.

**************
Une demie-heure plus tard, on arrive sur place. Dans le parking il n'y a que très peu de voiture, rien d'étonnant vu l'heure matinale. Il y fait très sombre, de faibles lumières éclaire les lieux, ainsi que les phares de notre voiture.

Il y a des hommes planqués dans des recoins, mes collègues aux nombre de trois. J'évite de regarder dans leur direction pour ne pas les faire griller. Quelques minutes après un véhicule noir aux vitres teintés fait son apparition et se gare en face du notre.

- On sort, dis le colosse ouvrant sa portière.

Nous sortons tous deux et Anastasia, elle, reste dans la voiture. Juan,( le baraqué) part ouvrir le coffre et me fait signe de prendre la malette. Je m'execute alors qu'un autre homme à la carrure imposante sort de l'autre bagnole, une valise à la main. Il a la mâchoire très carré, les yeux très sombre, une peau pas très net, marqué des cicatrices, et des cheveux blond presque blanc, plaqué en arrière avec du gel.

Il claque la porte, pose la malette sur le capot de son véhicule et sort un flingue de sa ceinture.

- Alors c'est toi le petit nouveau ? Demande-t-il chargeant son arme.

- Il parait, répondais-je posant la valise sur notre véhicule.

- C'est quoi ton nom, j'aime savoir à qui j'ai affaire...Dit-il alors qu'il pose le canon de son arme sur mon front

- Sven Baxter.

- Quel origine?

- Finlandais par ma mère.

- C'est étrange, je trouve pas que tu sois si typé des pays scandinaves. Poursuit-il son arme maintenant sous mon menton

-  Je suis d'origine américaine par mon père. Dis-je calmement soutenant son regard.

- Hum ceci explique cela.

Il rabaisse son arme et un sourire vient étendre ses lèvres.

- Même pas cillé, quel sang froid, je suis épaté. Ouvre la valise, je veux vérifier la marchandise.

Je fais ce qu'il me dit et a l'aide d'un couteau pliant qu'il avait à la poche, il transperce le sac. Il trempe la lame dans la poudre, et la porte à sa bouche, avant de sortir sa langue pour récupérer la substance.

- Hum, c'est de la bonne.

- Monsieur Di Marco, vous a habitué à de la qualité, intervient Juan.

- C'est vrai mais je suis prudent.

- Bien le blé maintenant. Ajoute-t-il

Serguey me tend la valise contenant les billets et Juan me demande de compter les liasses. Le compte est bon. Le russe remet son arme dans sa ceinture puis remonte dans sa bagnole. Le véhicule démarre l'instant d'après et quitte les lieux.

- Et bien, ça s'est bien passé.

- Je me suis pas fait descendre donc c'est que oui.

- Il aime bien flipper les gens mais si t'as rien a te reprocher, il fera rien. Allez on repart. On te dépose au squat, on à, a faire avec Anastasia.

- Et pour mon ami?

- Anastasia s'entretiendra avec son père et tu verras bien si le boss à été satisfait. Maintenant monte.

Je fais ce qu'il me dit et nous repartons vers le squat. Je crois que j'ai plutôt bien gérer. J'espère pouvoir bientôt apprendre une bonne nouvelle à Casey.

****************

PDV Danny

Il est midi et quart. Comme d'habitude j'attends qu'un des stagiaires du journal pour lequel je bosse, m'apporte un sandwich. Trois coups viennent frapper à la porte et comme à chaque fois, je lance:  "Entrez"

La porte s'ouvre et les yeux fixés sur l'écran de mon ordinateur, je peaufine encore mes articles de la semaine. Notre journal étant hebdomadaire et publié, le lundi matin.

- Merci Jerry. Dis-je encore une fois par habitude.

Je n'ai pas de réponse mais un petit toussautement. Je relève la tête me demandant ce qu'il me veut, et me rend compte que ce n'est pas Jerry. Mais un beau brun aux yeux clairs qui n'est autre que Clay.

- Surprise, dit-il souriant. J'ai pensé que tu en avais marre des sandwichs, du coup, j'ai fait quelques courses pour une pause en tête à tête.

- Ça me fait trop plaisir. Tu nous as pris quoi?

- Poulet au curry, nouilles chinoise, et cheesecake.

- Hummm, j'en salive d'avance, merci.

Il s'assoit en face de moi, et sort notre repas du sac en papier, tout en me disant:

- Me remercie pas, je devrais avoir ce genre d'attention plus souvent. Je me rend même pas compte que tu es triste à cause de moi. Il faut qu'Allan me le dise pour que je me réveille.

- Il t'a parlé ?

- Il m'a envoyé un sms après avoir dîner avec toi hier soir.

- Il t'a dit quoi exactement ?

- Que t'étais triste et que tu avais l'impression que je m'éloignais.

- C'est le cas.

- Je suis désolé Danny, je sais que...

- Répond moi sincèrement, est-ce qu'il y a quelqu'un d'autre ?

- Quoi? Mais non, bien sur que non!

- Tu rentre très tard un soir sur deux, t'es toujours fatigué quand tu arrives et on fait plus trop l'amour...

- Viens par là, dit-il me prenant la main

Je me lève de mon fauteuil, fait le tour du bureau et prends place sur ses genoux ou il m'attire.

- Je sais que je te délaisse ces derniers temps et j'en suis vraiment désolé. Je suis sur plusieurs cas compliqué au boulot, ça me prend la tête, j'avance pas alors j'ai tendance à chercher des infos jusqu'à que mon cerveau surchauffe...c'est pourquoi je rentre tard et crevé. Je cherche des piste, inlassablement. Chaton, il n'y a personne d'autres que toi, je te le promet, je t'aime. Je vais faire en sorte de passer plus de temps avec toi, excuse moi si j'ai pu te laisser penser que j'allais voir ailleurs, c'est pas le cas. Je ne veux que toi.

- J'ai eu tellement peur que tu ais rencontré un autre mec, j'ai eu l'impression de te perdre...

- Pardon, je savais pas que tu ressentais ça, mais tu n'as aucune inquiétude à avoir. Je suis complètement accroc à toi, Dan. Je suis juste un peu surchargé. J'ai aucune envie de te tromper, je suis très heureux avec toi.

- Je peux t'embrasser?

- Depuis quand tu demandes la permission ? Évidemment que tu peux.

Je me dépose alors sur ses lèvres restant chaste puis nous attaquons le repas, ayant tout deux très faim. Le déjeuner terminé, les boîtes d'emballage retrouve leur sac, et moi je retrouve les baisers de mon homme.

Ça ne prend pas longtemps avant que je ne commence à m'exciter, et à le déshabiller. Je le veux, la, tout de suite, maintenant. Me levant, je pars fermer la porte à clé de mon bureau et quelques minutes plus tard,  je me retrouve nu sur celui-ci, mon homme me faisant passionnément l'amour.

Nos ébats torrides prenant fin , lentement nous reprenons allongé l'un contre l'autre notre respiration, puis nous finissons par nous rhabiller, alors que notre pause se termine. J'aurais voulu en profiter plus longtemps mais Clay m'a promis, un weekend câlin alors, j'ai fini par le laisser partir. J'ai eu tort de douter, il ne veut que moi.



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