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Chapitre 54 - Pari tenu

Je suis affreusement désolée, je sais que j'écris beaucoup beaucoup moins rapidement en ce moment, j'étais un peu coincé sur cette histoire et même sur l'autre en cours, ce lemon m'a donné du fil a retordre, j'espère tout de même qu'il vous plaira, surement des fautes, des oublie de mots, mais là il est 2h00 du mat, faut que je dorme! Bisous

PDV Allan

Samedi 22 decembre

- Oh shit...Agent Sanders vous ais-je déjà dit que vous étiez putain de bandant dans votre uniforme.

- C'est Agent Smith. Retourne-toi, bras relevé et mains contre la porte.

- Hum un jeu de rôle, ça m'excite.

Je me retourne et fait ce qu'il me dit. Sans attendre guère longtemps, je sens ses mains venir me palper le dos, et je sens aussi qu'il en profite bien pour se coller à moi.

- Une fouille au corps j'adore ça, dites-moi Mr Smith, c'est votre matraque que je sens...

- Non. Je suis juste très bien monté.

Je ris alors que je sens ses mains tâtonner bien comme il faut mon fessier et mes jambes. Il en est au chevilles quand je demande:

- Dis moi ce que tu cherche on ira plus vite...

Aucune réponse, au lieu de ça, je l'entends se redresser. Je tente de me retourner mais il m'en empêche brusquement me remettant face à la porte. Sans que je n'ai le temps de comprendre, il se saisit de mes bras, place mes mains dans le dos et je sens tout de suite quelque chose m'enserrer les poignets. Froid, métallique au bruit, des menottes.

- Hum je sens que ça va devenir intéressant...

Il me fait faire volte-face et poursuite sa fouille, me palpant, les jambes, la taille, le torse et je lui lance amusé:

- Si je voulais cacher quelque chose, je le mettrais bien au chaud dans mon boxer pour le plaisir que t'y plonge les mains.

Il me sourit et se dirige vers mon bassin. Je suis en train de me dire qu'il va ouvrir mon pantalon, mais il n'en fait rien. Il glisse une main dans la poche droite de mon bas de costume et en sort des clés.

Il met les mains dans son dos et dit:

- Si tu tombes sur les clés, je te détache.  Alors main droite ou main gauche?

- Droite.

- Pas de chance, c'est pas les clés. Du coup on va plus en avoir besoin.

Il s'éloigne de moi,  tire le rideau derrière le lit, ouvrir la baie vitrée, puis balance son bras, les clés s'envolant et disparaissant.

- Non mais t'as pas fait ça! Dis-moi que t'as balancé les clés à la flotte!

- Bah si, t'as fait la mauvaise pioche. Dit-il haussant les épaules.

- Tu te fous de ma gueule?!

- T'inquiète j'ai un pass dans les locaux du FBI. Jte libère dés qu'on regagne la terre ferme.

- Quoi?! T'as intérêt que ce soit une blague, jte jure, je reste pas attaché toute la nuit comme ça!

- Bien on quitte pas ce bateau avant trois nuits, donc si, va falloir attendre.

- Jared, t'a intérêt à me détacher! Tu te débrouille mais tu m'enlève ces trucs!

- Sinon tu me fais quoi...dit-il posant ses mains sur mes hanches, et ses lèvres sur ma bouche, un court instant.

- Je peux t'interdire de me toucher par exemple...

-  Ah bon...et tu te sens prêt à m'interdire de faire ça...susurre-t-il ses lippes plongeant dans mon cou.

Je ne peux répondre autrement que part un gémissement lorsque ses lèvres embrasse ma peau. Je suis friand des baisers dans le cou et il le sait très bien. Et son corps qui me plaque contre la porte, ne fait qu'accentuer mon plaisir.  Son bas ventre, compressé contre le mien, m'envoie de délicieuse sensations et je m'en sens de plus en plus serré. Son souffle chaud arrose ma nuque, et je l'entends murmurer, tout prés de mon oreille.

- T'es officiellement à moi M. Smith, ce soir, je fais tout ce que je veux de toi...

- Et t'a décrété ça comme ça, sans même me demander mon avis, qui te dit que j'ai envie de te laisser faire tout et n'importe quoi avec moi? Je sais pas si t'as des fantasmes, du genre fessée ou si tu envisage de me mettre ta matraque la ou je pense, mais si c'est le cas, t'oublie tout de suite!

- Idiot, c'est ton fantasme que je mets en scène là, te taper un flic, ça a toujours été une de tes envie

- Ça fait déjà quatre an que je me tape un flic...

- Oui mais j'avais jamais sorti l'uniforme.

- C'est pas faute de t'avoir demandé.

- J'avais juste envie de réaliser ton fantasme dans un moment particulier pour que le souvenir n'en soit que meilleur. Et pour ton info,  Les trips SM et s'en rapprochant, c'est pas truc, tu le sais très bien. Si quelque chose se retrouve en toi ce soir, ça sera ce que j'ai entre les jambes, rien d'autre. La si tu veux bien te taire,  je vais m'occuper de toi...

Je m'apprête à rétorqué quelque chose mais, m'interrompt brusquement quand je sens ses lèvres descendre le long de mon cou, tandis que ses doigts se fraient un chemin dénouant mon nœud pape et dégrafant ma chemise. Celle-ci complètement déboutonné, il décolle ses lippes de ma peau pour me contempler a son aise. Il se mord la lèvre et aussitôt posent ses mains sur mes pectoraux. Elles dégringolent lentement sur mon torse et son corps suit leurs mouvement. Il est à présent, à genou devant moi à hauteur de mon bassin. Deux seconde plus tard, ma ceinture tombe au sol. Dans la foulée, il me retire pantalon, chaussures et chaussettes. Je ne suis plus qu'en caleçon et couvert d'une chemise ouverte. Il approche son visage de mon entre-jambe et je me régale d'avance de la suite, mais il ne fait que frotter son nez, je le sens bien décidé à me frustrer.  Des chatouilles se font ressentir sur mes mollets et je comprends vite que ce sont ses doigts qui remontent le long de mes jambes. Un gémissement m'échappe lorsque ses mains puissantes se saisissent de mes fesses sans prévenir. Ils les relachent rapidement ne me laissant même pas le temps d'apprécier ce contact délicieux et je n'ai pas le temps de râler, que je sens qu'il traqfique je ne sais quoi avec les menottes qui me retiennent.

- Qu'est-ce que tu fais encore?

Il ne répond rien, mais je sens une de mes mains être libérée de mes liens. Je souris et dit:

- J'étais certain que t'avais d'autres clés.

Toujours aucune parole, au lieu de ça, il me tire par les pans de ma chemise et me pousse sans ménagement sur le lit. Il prend place sur mes hanches et s'apprête à m'accrocher au barreau du lit, mais je l'entends pas de cette façon. Dans un mouvement vif, ma main droite n'est plus  la seule prisonnière, la seconde menotte, entourant son poignet gauche.

- Ah, tu l'avais pas vu venir celle-là, dis-je fier de mon coup

- Le seul truc auquel t'as pas pensé, c'est que moi j'ai moyen de me détacher moi.

Il secoue le trousseau de clé sous mon nez, je m'en empare sans qu'il n'est le temps de réagir et le balance à l'autre bout de la pièce. Il grogne mécontent et tente d'aller les récupérer, mais d'un mouvement brusque, je le ramène à moi. Je le retourne sur le matelas et prend l'ascendant, m'asseyant sur lui.

- Tu vient de te faire avoir en beauté chéri...

Il me sourit semblant amusé, puis avec une facilité déconcertante, sans que je n'ai le temps de comprendre, me remet sur le dos. Je tente à nouveau de le retourner mais il me maintient avec force, assis sur moi.

- Sage...tu me fera ce que tu veux mais après, pour l'instant c'est moi qui m'occupe de toi.

- Bien monsieur l'agent mais un conseil, ne me frustre pas sinon je te rendrais la pareille.

- J'en avais pas l'intention

- Ouais c'e...

Il me stoppe net me faisant taire, ses lèvres venant se coller aux miennes et je plonge avec envie dans ce baiser. Ma langue rencontre la sienne et toutes deux jouent sensuellement, éveillant toujours un peu plus nos bas-ventre, déja bien dressé. On fini par manquer de souffle et les lèvres de mon mari entame leur descente sur mon buste. Il s'attarde quelques secondes sur mes mamelons, les taquinant de ses dents et de sa langue me faisant gémir, puis les délaisse pour longer l'élastique de mon boxer déposant une multitude de baiser.  Une main sous la tête, je le regarde faire tandis que mon autre main est dans la sienne, toutes deux liées par des menottes. De son autre main de libre, je le vois décrocher la matraque de sa ceinture. J'observe son manège me demandant ce qu'il va faire, et comprends très vite quand il vient la frotter contre mon sexe a travers le tissu. Le regard coquin il observe mes réactions, mettant de temps à autre plus de pression, se plaisant à me faire gémir. Cependant je me lasse très vite, et me saisit de l'objet brusquement avant de le lancer à travers la pièce. Je relève légèrement le bassin pour signifier à mon homme que j'en veux plus, bien plus.  Il capte très bien le message, puisqu'en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, mon caleçon fini par terre. Il se place correctement, la tête entre mes cuisses et bientôt sa langue chaude vient me caresser les parties. Il s'occupe d'abord de mes bourses, puis remonte langoureusement mon membre. Mes doigts dans ses cheveux bruns je l'encourage à me donner plus, toujours plus. Mon bout rosé disparait entre ses lèvres et sans me lâcher des yeux, sa bouche enrobe ma virilité. Il coulisse contre ma verge encore et encore, et je geins encore et encore, le plaisir grimpant toujours plus a chaque secondes. Je me sens tout prêt de l'apothéose quand il s'arrête d'un coup, relâchant sa prise.

- Hé j'ai dit pas de frustration!

- Depuis quant tu me donnes des ordres.

- Depuis que t'es mon mari, tu as le devoir de satisfaire mes besoins sexuels chéri.

Il grimpe vers moi, se réinstalle sur ma taille, déboutonne d'un coup sec, sa chemise de flic et prend ma main menotter à la sienne pour la faire glisser le long de son torse. Il en arrive à la limite de son pantalon et j'y glisse furtivement mes doigts avant qu'il ne les enlève. Il vient positionner mes mains de part et d'autres de mon visage, lient ses doigts au mien, se rapproche de ma bouche, et au dernier moment, à ras de m'embrasser, il me fait basculer sur lui.

- A ton tour de t'occuper un peu de moi, si je suis satisfait, je verrais à te satisfaire.

- T'auras intérêt de me satisfaire après, tu sais bien que je t'ai épousé pour le sexe, faudrait pas que je regrette mon choix.

- Hum toi ton pti cul va prendre cher cette nuit.

- J'espère bien Mr Smith. Dis-je me penchant sur lui et l'embrassant.

Je le sens sourire contre mes lèvres et lui donne un léger baiser avant de fondre dans son cou. Les doigts enlacés dans les siens, je lui maintient les mains plaqués contre le matelas, tandis que je commence à me déhancher contre l'imposante bosse qui étire son pantalon d'uniforme. Ma langue lèche sa peau, taquine son lobe d'oreille, le mordille et je me régale de sentir son souffle s'accélérer et de l'entendre soupirer. Plus je me frotte à lui, plus nos plaintes grimpes en intensité, je sens que je pourrais craquer avec ses frictions entre nos sexes. Même a travers le tissu qui le recouvre, j'en deviens dingue. Je calme alors les choses de mon côté, cessant d'attiser mon organe de plus en plus sensible. Ma main libre prend le relais, et je viens me saisir de son membre, encore au chaud sous ses vêtements.

- Qu'est-ce que t'attends pour me déshabillé, tu vois bien que je suis à l'étroit. Tu te souviens on a dit pas de frustration?

- Je vais pas te frustrer, bien au contraire. Maintenant, je ne veux plus que t'entendre gémir, plus un mot, tu profites.

Il hoche la tête et je me remet à mes occupations, ma main gauche massant sa verge de haut en bas. Ses râles reprennent instantanément, j'accélère le mouvement donna,t plus de vigueur à mon geste.  Mon homme, les joues rougies, gémit sans cesse, complètement à la merci de ma paume et de mes doigts qui enroulés autour de son organe, s'evertuent à lui procurer de délicieuses sensations. Je donne encore plus de puissance à poignets et la respiration saccadé, gémissant, il me dit:

- Amour, stop...je vais...

Je n'arrête rien, et lui souffle d'une voix chaude à l'oreille.

- Viens..., joui beau brun.

J'ai à peine le temps de lui sussurer ces paroles que je l'entends grogner bruyamment. Il pousse une longue plainte rauque et je sens à travers l'étoffe, sa virilité s'ébranler sous ma main.

- Putain...

- C'était bon à ce que je vois...

- Délicieux...mais ça aurait été bien aussi si y'avait pas eu les fringues

- Ça m'excitait de te faire jouir dans ton uniforme...t'es tellement sex dedans...

- Hum bien je le remettrait alors si ça te fait tant d'effet.

- Avec plaisir, mais rien ne m'excite plus, que de te voir nu, alors je vais m'empresser de te débarrasser de tout ça.

Avec son aide, je le débarrasse de sa ceinture encombrante, puis m'empare par la suite de son pantalon et de son caleçon, que je lui enlève avec plus ou moins de difficulté, d'une seule main. Il m'aide tant qu'il peut, et il termine totalement dévêtu, enfin presque. Je me redresse, le forçant à faire de même, vu qu'il est attaché à moi et nous nous retrouvons hors du lit. Une fois ma cible repéré, je la ramasse. En quelques secondes, clè en main, mon homme nous libère et jette les menottes sur le matelas. A peine libre, il me retire ma chemise et je fais de même avec la sienne, toutes deux tombant à nos pieds.

- Voila qui est parfait...maintenant laisse-moi te remettre d'aplomb, que tu puisse bien t'occuper de moi. Dis-je m'agenouillant devant lui

En quelques coups de langue appliqués et quelques autres caresses buccales le sexe de mon mari reprend de sa vigueur. En tendres baisers, je grimpe le long de ses abdos, de ses pectoraux, tandis que ses mains dans mes cheveux, il suit mes mouvements. Je finis par atteindre son cou, embrasse le contour de sa mâchoire, sa joue pileuse puis me lance vers ses lèvres mais il s'écarte au dernier moment.  L'instant d'après il se glisse derrière moi, entoure ses bras autour de ma taille, me plaquant contre lui et ses lippes fondent dans ma nuque. Je soupire d'aise un cour instant, avant d'hoqueter de surprise lorsqu'il me pousse sur le matelas. Il vient aussitôt surplomber mon corps s'étendant sur moi et très vite je sens ses doigts venir me préparer à la suite. Il ne restent guère longtemps en moi et laisse place à l'organe imposant de mon homme. Celui-ci s'enfonce dans mon antre et je grogne délicieusement, m'ouvrant à lui. Mon mari débute ses vas-et-viens, lentement tandis qu'il m'embrasse sensuellement le dos, la nuque, son souffle chaud sur ma peau me provoquant de nombreux frissons. Je me mords la lèvre à chaque poussée, alors que le plaisir s'empare de moi, revenant crescendo.  Je martyrise les draps, les coups de bassin de mon mari se faisant plus vifs, je me sens prêt à craquer d'un instant à l'autre quand tout se coupe net. Je suis prêt à râler, quand la voix de mon homme me murmure à l'oreille:

- Tout doux.. c'est au creux de moi que je veux que tu perde pied...

- Vos désirs sont des ordres Agent Smith. 

Il se décolle de mon corps moite et s'étend sur le dos. Comme il l'a fait auparavant pour moi, je le prépare à ma venue. Il est vite lassé de mes doigts alors je ne le fais guère attendre plus longtemps.  Je me place entre ses jambes que je relève par la suite sur ses épaules et m'enlise en lui. Pour  ne pas trop solliciter ma verge particulièrement sensible, je prends un rythme calme allant et venant en lui lentement tandis qu'au contraire, sa main s'agite vigoureusement sur sa virilité.  Entre deux respirations haletantes il me lance: 

- C'est quand que tu me fais l'amour bien comme il faut? Parce-que là c'est plutôt pépère. Pour une nuit de noce c'est pas terrible ...

- J'ai juste pas envie de craquer trop tôt pour qu'on craque ensemble en osmose...

- Je veux bien amour mais cette nuit c'est censé être la baise de ma vie...la ça ressemble plutôt à une première fo..

Il n'a pas le temps de finir sa phrase que je roule sur le matelas lui donnant ainsi l'ascendant, celui-ci se retrouvant assis sur moi. Avec rapidité je me saisi de sa main droite et referme une menotte autour de son poignet. Je le tire ensuite brusquement en avant et attache la deuxième menottes a un des barreaux du lit. Pour ne pas basculer sur moi il est obligé de s'y tenir.

- Tu m'attache pour me punir de t'avoir vexé?

Je prend son visage entre mes mains, relève la tête pour l'embrasser et lui susurre mon souffle s'échouant sur ses lèvres

- Non, je t'attache parce-que je veux que tu nous fasse perdre pied uniquement avec ton délicieux petit cul...t'as interdiction de te servir de tes mains.

- Humm j'aime cette idée...et qu'est-ce t'en pense si je fais ça, dit-il attrapant sa casquette de  flic qui traîne sur le lit, pour la mettre sur sa tête.

- J'en pense que ça m'excite M. l'agent...

Il me souri, visiblement satisfait de ma réponse et ses lèvres regagne les miennes. Au même moment il commence à onduler du bassin et j'en ressent immédiatement les effets. Mon organe coulisse dans son gouffre, alors que son fessier monte et descend , me rendant totalement dingue. Il accélère le rythme rebondissant plus vivement sur moi, et je gémis sans discontinuer. C'est si bon, si chaud, si serré, j'en peux plus. Il semble lui aussi près a se laisser aller, son sexe tendu à l'extrême cognant sur mon ventre, et ses plaintes se faisant de plus en plus bruyantes. Néanmoins c'est moi qui cède le premier, l'orgasme me foudroyant  et je me laisse aller en lui, ponctuant mon plaisir de nombreux soupirs. Je ne peux même pas reprendre mes esprits qu'il continue à s'agiter sur moi. Il est au bout lui aussi.  Je ne peux m'empêcher de l'aider, et ma main droite s'empare de sa verge. En quelques vigoureux coups de poignets, il atteint sa limite, poussant une longue plainte rauque, et totalement lessivé, se laisse retomber sur moi, sans même séparer nos corps.

- T'avise pas de t'endormir beau brun, ta nuit n'est pas fini...dis-je alors qu'il blotti sa tête dans ma nuque

- T'en fais pas amour, pour notre première nuit en tant que marié, j'ai bien l'intention de t'épuisé comme jamais.   

- T'as intérêt à exaucé tes dires, sinon je divorce. 

Il rit et murmure faiblement à mon oreille:

- Pari tenu. 



       

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