Chapitre 48 - Intense chaleur
PDV Clay
19h00
Lundi 17 Décembre
Je ferme à clé pour ne pas qu'on soir dérangé et fait volte-face, prêt a rejoindre Danny, près du bureau mais je suis stoppé dans mon élan. Je tombe direct en me retournant nez à nez avec lui. Ses mains se posent sur mon torse, et il me plaque contre la porte. Ses lèvres viennent m'embrasser furtivement et il me dit, tout en commençant à déboutonner les boutons de ma chemise bleu nuit.
- Ça va faire la deuxième fois qu'on fait l'amour ici, il faudrait pas que ça devienne une habitude, l'endroit n'aurait plus rien d'excitant si on l'utilisait trop.
- T'en fais pas chaton, je suis plein d'imagination. La c'est juste que j'ai très envie et que j'ai pas la patience d'attendre d'être chez nous...
- J'espère que tu es plein d'énergie parce-que de retour au loft, ce serait pas impossible que j'en redemande sachant que Kyle découche et qu'on peut s'en donner à coeur joie.
- Aucun problème, je suis en très bonne forme.
Les yeux plongés dans les miens, il me fixe tout en se mordant la lèvre. Ses mains ayant fini de détacher les accroche de ma chemise, il s'attaque à ma ceinture et fond sur ma bouche. Je laisse sa langue se glisser entre mes lippes approfondissant le baiser, et le plaque contre moi, mes mains empoignant son fessier. Il gémit sensuellement se décollant de mes lèvres, et plonge dans ma nuque. Des baisers humides me picorent le cou, descendent lentement sur ma clavicule gauche, glissent sur mes pectoraux. Ses dents mordillent au passage mes mamelons, me faisant geindre et il continue son chemin, dégringolant sur mes abdos. Plus il se rapproche de mon bas-ventre, plus la chaleur se diffuse dans mon corps. Il est maintenant à ras de mon pantalon et prends tout son temps pour l'atteindre. Je ne peux m'empêcher de grogner de frustration et je l'entends rire juste après. Son regard se relève vers moi et il me lance un sourire taquin, alors que ses doigts détachent le bouton de mon pantalon, et en descendent ma braguette. L'instant d'après, celui-ci tombe sur mes chevilles suivit de mon caleçon. Je ne patiente guère longtemps pour sentir sa bouche entrer en contact avec mes bourses. Elle les embrassent de longues secondes puis finit par parcourir mon érection jusqu'au sommet. Il ne me fait pas languir et son muscle buccal se lance aussitôt à l'assaut de mon organe dressé. Je le regarde entrouvrir les lèvres tandis qu'il s'empare de mon bout rosé. Langoureusement il coulisse sur ma verge et commence de gourmandes allées-venues. Les doigts dans ses cheveux j'accompagne ses mouvements, me délectant de le voit s'activer entre mes jambes et gémit comblé par le délice qu'il me procure.
Après quelques longues minutes, il me relâche et se redresse revenant à ma hauteur. Ses lippes se joignent aux miennes et tout en me laissant emporter par le baiser, je me débarrasse des vêtements qui m'encombre les pieds, et laisse glisser ma chemise qui termine au sol. A bout de souffle, on finit par s'écarter et d'un même mouvement Danny retire pull et T-shirt, se retrouvant à demi-nu. Le saisissant l'instant d'après par les cuisses et reprenant ses lèvres, je l'entraîne vers le bureau, et l'y allonge. Je m'empare aussitôt de son jean, l'ouvre et le lui retire, son boxer partant avec. J'arrache au passage, ses chaussures, puis les chaussettes viennent ensuite. J'abandonne tout ceci au sol et me focalise sur mon mari, totalement nu étendu sur la surface de verre de son bureau. Je me place côté longueur du meuble, et observe longuement ce corps offert à mes yeux. Dans un premier temps je me contente de glisser mes mains un peu partout, la gauche caressant son torse, la droite effleurant ses chevilles, ses cuisses, son sexe. Les paupières fermées, il se régale de mes attouchements, sa peau devenant frémissante sur mon passage. Me lassant vite de ces caresses superficielles, je me penche sur son corps, et ma bouche, viens embrasser son torse, tandis que mes doigts de la main droite, se referment sur sa virilité tendue. Je la masse lentement, tandis que mes lippes, rencontrent l'un après l'autre ses tétons. Je les sens durcir sous ma langue, et joue avec, les suçotant et les mordillant tendrement. De profond soupirs s'échappent de la gorge de mon chaton, m'excitant davantage, et je ne m'attarde pas plus, ma bouche fonçant sur son anatomie gonflée. Tout en continuant à la masser, je sors mon muscle buccal, et en taquine l'extrémité. Danny m'offre à ce moment, mes gémissements préféré, ses plaintes ressemblant à des miaulements. J'adore quand il fait ça, ça à le don de m'exciter...je veux en entendre encore plus.
Cessant de jouer de ma langue, je me glisse sur sa longueur, mes lèvres s'emparant de son membre. Dans un ballet, lente, je monte et redescend sur son membre érigé et m'applique à le faire gémir. Comme ce que j'avais prédis, ses soupirs s'intensifie en volume et je m'en régale. Je m'en régale tant que j'accentue le rythme, l'emportant toujours plus loin dans le plaisir. Lorsque ses miaulements deviennent soudainement des grondements bien plus intenses, je ralentis la cadence et libère son sexe humide. Ne sentant plus ma chaleur un grognement mécontent se fait entendre tandis qu'il ouvre les yeux. Un sourire s'étire sur son visage alors qu'il comprends les raisons de mon arrêt. Je grimpe à mon tour sur le bureau, venant me positionner à califourchon sur lui. J'attrape aussitôt son organe, le place entre mes fesses et m'empale sur lui, le laissant peu à peu entrer en mon intérieur. Sa tête part en arrière alors que je l'enfoui entièrement en moi. Je me saisi de ses mains qui reposent sur mes hanches, entrelace nos doigts, et me penche sur lui ramenant ses bras autour de son visage. Je viens l'embrasser tendrement puis commence à me déhancher sur lui. Je débute lentement mais très rapidement, l'envie d'aller plus vite se fait ressentir. Je voulais jouer avec lui, le frustrer un petit peu mais je ne résiste pas à mes désirs et accélère les vas-et-viens de mon fessier sur son membre. Je grogne délicieusement quand le bout de son sexe rencontre ma prostate. J'en veux plus, toujours plus. Je me redresse, les mains à plat sur son torse, et m'abaisse plus rudement sur lui, rendant l'impact d'autant plus brutal. Je vois aux expressions de mon Danny qu'il n'est lui non plus, plus très loin de l'orgasme. Dans un énième gémissement alors que sa verge s'enfonce une nouvelle fois entre mes chairs, il craque. Je sens son organe s'ébranler en moi, et me contracte incontrôlablement autour. La jouissance me gagne dans la seconde, alors que la main droite de mon partenaire est venue accompagner mon plaisir se refermant sur ma virilité.
Tout doucement, on se remet l'un et l'autre de notre extase. Je replace une mèche de ses cheveux derrière son oreille gauche, et ma main dans sa nuque, je m'approche de ses lèvres l'embrassant tendrement. Lorsque je relâche ses lippes, plongeant mon regard azur dans ses yeux chocolat, il me murmure d'une voix essoufflée:
- Darling, à l'avenir, chevauche-moi, quand tu veux...j'adore ça.
- Je m'en souviendrai Babe, répondais-je lui déposant un baiser.
- On se lève et on se rhabille? Il faut que je valide mon article et que je le transmette.
- Oui et après je te propose qu'on rentre, qu'on prenne une douche et la suite on verra...on profitera du loft rien que tous les deux.
- Ça me convient parfaitement.
Sur ces mots on se lève, et on s'habille rapidement. Ceci fait mon Danny envoi son article par mail comme prévu et nous pouvons quitter les lieux. Il saisi la poignée de la porte de son bureau et au même moment ou il l'actionne et qu'il l'ouvre, une jeune femme nous fait face prête à cogner le bras en l'air. Elle l'abaisse et dit
- M. Anderson.
- Beth, vous êtes encore ici? Interroge Dan
- Oui je suis passé tout à l'heure mais...vous me sembliez plutôt occupé...j'ai jugé bon de repasser un peu plus tard. C'est pourquoi je ne suis pas encore partie.
- Vous avez eu raison, je m'envoyais en l'air avec mon mari et j'aurais pas aimé être dérangé. Alors qu'est-ce qui se passe?
- Euh...c'est...hum...le Boys-Band que vous avez interviewé, ils ont fait parvenir deux places pour un de leurs concerts à venir, pour vous. dit-elle rouge pivoine en les lui tendant
- Oh, c'est sympa de leur part dit-il les prenant. Vous pouvez rentrer chez vous, maintenant.
- Mer...merci Monsieur.
Elle s'en va entrant dans son bureau non loin, et de mon côté, je me fais entraîner par Danny, jusqu'a l'ascenseur. Une fois dedans, il appuie sur le bouton conduisant au hall de la tour, et je demande:
- Tout va bien Danny?
- Mais très bien chéri.
- Pourquoi tu as dis à cette fille qu'on était en train de faire l'amour, elle était totalement embrassée...limite choquée.
- C'était le but. Jerry est devenu l'assistant de Flint, le directeur, du coup, on m'a envoyé une nouvelle assistante Beth et autant dire que j'ai pas du tout accroché avec elle...
- Raconte, il s'est passé quoi?
- Tu te souviens de l'article que j'ai publié sur mon histoire, dans lequel j'ai parlé de toi, de l'importance que tu as eu...
- Ou bien sur.
- Elle l'a lu quand il est sorti et elle à jugé bon de m'analyser en me rencontrant. Elle a dit que si je m'étais mis en couple avec un homme plus âgé que moi, c'est parce que je cherchais à travers toi l'amour d'un père. Du coup je l'ai très mal pris, je l'ai remise à sa place, mais je l'ai toujours en travers de la gorge...c'est pourquoi l'embarrasser j'en avais particulièrement rien à foutre.
- Je comprends mieux...faut pas que tu fasse attention a ce que les gens disent, on le savait que notre différence ferait parler.
- Je sais mais ça me blesse. Pourquoi c'est si inconcevable pour les gens que je puisse être juste sincèrement fou amoureux de toi?
- Chaton, dis-je me plaçant devant lui et prenant son visage entre mes mains- Ne t'occupe pas de ce que peuvent penser les autres, tout ceux qui nous connaisse savent que notre amour est tout ce qu'il y a de plus vrai. Et toi et moi, on sait que tu ne me prends pas pour une figure paternel et que moi je ne suis pas un vieux attiré par "la chair fraiche". L'important c'est que nous on sache ce qu'il y a entre nous.
- Ouais tu as raison. De toute façon, je pense pas qu'elle va recommencer de sitôt à se mêler de notre vie.
- Si elle réessaye, tu me le dis, tu sais que mon père est proche de Flint, la dégager serait très simple.
- Non, on va pas en arriver là tout de même.
- Tu penses pas qu'elle va répéter a tous le monde qu'on a...
- Le pire que je risque c'est une remontrance du chef, c'est tout. Il me vira pas pour ça. Mais je pense pas qu'elle le dira de toute manière. Rien que de m'entendre dire qu'on s'était envoyé en l'air, elle était toute gênée, je la vois pas vraiment aller voir le patron pour lui dire " Monsieur, j'ai entendu M. Anderson faire l'amour dans son bureau, c'était très choquant"
- Vu sous cet angle, c'est vrai que je la vois pas aller dire ça au directeur. Parle-y demain quand même sinon elle risque d'être hyper mal à l'aise avec toi.
- Ouais je ferais ça. Dis, je me demandais tu aimes les surprises?
- Pourquoi cette question, dois-je m'attendre à ce que tu m'en fasse une?
- C'est bien possible oui...
- J'aime bien les surprises. J'ai hâte de voir ce que tu me réserve.
- Tu le saura Vendredi après le mariage. Mais je te préviens, t'as pas intérêt à te servir de tes talents de chercheurs auprès de nos amis pour savoir.
- Ils sont au courant?
- Seulement Jared.
- C'est un flic, il lâchera rien de toute manière, t'en fais pas j'attendrais.
- Promis?
- Promis Chaton, répondais-je l'embrassant-
Sur ces mots, les portes de l'ascenseur s'ouvrent. Prenant sa main, je l'entraîne avec moi, jusqu'à l'extérieur de la tour, pour qu'on regagne ma voiture direction le loft. Tout le long du trajet jusque celui-ci, je me demande ce que peut être cette surprise. Vivement Vendredi que j'en ai la réponse.
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