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Chapitre 29 - Déjeuner désagréable

Désolé pour tous les commentaires que vous avez posté, j'ai du supprimer la partie et republier pour être sur que ça marche pour tout le monde. Merci encore Sacha ☺ J'éspère que tout le monde verra au complet cette fois-ci!

PDV Jared

12h30

Dim 25 Novembre 2018

Après avoir parlé à son fils, Ana m'à informé, qu'ils nous attendaient dans central-park non loin du Zoo qui se trouve lui-même à l'intérieur. Nous sommes alors parti de la villa avec la belle Ferrari d'Anastasia, que j'ai eu une nouvelle fois le plaisir de conduire, et nous voilà au point de rendez-vous. C'est à dire un des nombreux, square qui se trouve dans Central-park. Tiago qui glisse sur un toboggan repère vite sa maman et cours aussitôt vers elle en criant:

- Nana!!!

Il lui saute dans les bras tout excité et de mon côté je rejoins Allan, assis sur un banc, seul. La première chose que je lui demande, c'est évidement, ou est Larry.

- Aucune idée, je l'ai semé avec le petit. C'était ça ou je le jetait au lions. Et me fait pas la morale comme quoi il est censé assuré ma sécurité...et blablabla.

- Je devrais te la faire mais j'aime mieux qu'il se tienne éloigné de toi, il a fallu que mon chef le choisisse lui...qu'est-ce qu'il a fait encore pour que tu t'échappe?

- Il me complimente et bien souvent touche la partie dont-il parle. Par exemple, il m'a dit que j'avais un cul d'enfer et il à mis la main. Discrètement, furtivement mais il l'a mis.

- J'espère que tu l'a vite repoussé ce connard!

- Non, j'ai pris sur moi.

- Attend?!T'as laissé ce bouffon te tripoter!!

- C'était furtif Jared.

- Furtif ou pas, il..

- Du calme, si je l'ai laissé faire, c'est pour le mettre en confiance. J'ai une idée de sale coup à lui faire et pour parvenir a mes fins, il faut qu'il croit que je réagit à ses charmes.

- J'aime pas trop cette idée.

- Quand je t'aurais expliqué, tu l'aimeras mais là on peut pas parler, ta pétasse et son fils reviennent.

- Tiago vient de me raconter sa matinée formidable avec vous, je vous remercie, il s'est drôlement amusé, avec vous et Jared ( Larry). D'ailleurs il n'est plus avec vous?

- Non, enfin si, mais il court dans le parc. Il fait son jogging. Quoi que à l'heure qu'il est, il a du rentrer prendre une douche, avant le repas. Il fait toujours ça. dit Al en regardant sa montre.

- On va manger maintenant, j'ai faim. s'exclame le petit

- Oui, rentrons à l'appartement.

- Nana tu viens avec nous?

- Hum je sais pas mon coeur.

- Moi ça ne me dérange pas que vous veniez, vous et Sven, à moins que vous ayez des choses à faire, intervient mon homme

- On vient, on à rien de prévu, affirmais-je avant même qu'Ana ne puisse répondre.

- Bon et bien on y va. Lance Allan.

****

PDV Danny

Au même moment au 36ème étage d'un building

Clay et moi, sommes en train de petit déjeuner, à plus de midi passé, des oeuf au bacon et des croissants tous frais de ce matin, quand quelqu'un frappe à la porte.

- A tous les coups c'est Kyle qui à oublié ses clés, je vais ouvrir. dis-je

- Fait dont chaton, comme ça je peux mater à mon aise.

Je ris à la réplique de mon mec puis ouvre la porte mais ce n'est pas du tout celui que je croyais. En fait je sais pas qui c'est.

- Bonjour, je suis Larry, je cherche Allan, je sais que vous êtes son ami, vous ne l'auriez pas vu.

- Non désolé, mais vous êtes pas censé assurer sa sécurité?

- Babe c'est qui? Entendais-je au loin

- C'est Larry, tu sais le garde du corps d'Al, il l'a perdu.

- Tiens donc... le laisse pas sur le palier, fais-le entrer.

Je le fais donc entrer et l'entraîne vers la cuisine ouverte sur le salon ou se trouve mon mari et nous nous asseyons.

- Alors comme ça, vous avez perdu Allan? Interroge Clay

- Oui, il m'a demandé d'aller chercher des gourmandises pour le petit qu'il garde et quand je suis revenu, il était plus là. J'ai fait le tour du Zoo mais rien. Impossible de localiser son téléphone, il est éteint. J'ai fait tout Central-park a pied, je l'ai pas vu. Alors je me suis dit que j'allais venir voir s'il n'était pas rentré, ou bien s'il n'était pas chez vous...

- Bah on l'a pas vu en tous cas, c'est inquiétant...

- Faut que je retrouve sa trace, ça veut peut-être dire que la couverture de Jared a été grillé.

- Non c'est pas ça, bon écoutez, dit mon mari, - Il m'as mis dans la confidence, le truc c'est qu'il a du mal à rester avec vous, vous le troublez beaucoup. Il a de plus en plus de mal à vous résister puis il aime réellement Jared, alors il a peur de craquer. S'il vous repousse, c'est pour pas céder à ses envies, c'est pour ça, qu'il a fui du Zoo.

- Vraiment?...

- Oui vraiment, seulement Allan a toujours été du genre fidèle alors maintenant qu'il est confronté à la tentation, il s'est pas comment gérer.

Je rigole intérieurement, ce crétin gobe tous les bobards de Clay. Plus tôt dans la matinée, après son coup de fil, Allan nous a recontacté par sms pour nous parler du coup de salaud qu'il comptait lui faire. Il a expliqué que maintenant il fallait que Larry croit qu'il soit réellement attiré, mais qu'il ne savait pas comment faire, je crois que mon mari vient de lui donner un bon coup de main.

- Et pourquoi vous me confiez ça? S'il s'est confié à un ami je pense pas que c'est pour que celui-ci le répète.

- Effectivement, seulement, il me semble qu'on à un point en commun tous les deux. Je n'aime pas vraiment Jared. Dans ma jeunesse, j'ai eu une histoire avec Allan, depuis disons que j'aime donner mon avis sur ces mecs, et là ce prétentieux, j'ai jamais pu l'apprécier, c'est pourquoi, si vous arrivez à rendre le couple fragile...

- Hum vous pouvez compter sur moi, je vais le faire craquer...bientôt, je partagerais son lit. D'ailleurs je vais y aller, au cas ou qu'il revienne.

- Surtout tenez moi au courant.

- Bien sur, j'y penserais.

Il s'en va et nous laisse seul, à peine a-t-il quitté notre loft que je lance à mon homme.

- Non mais le gars, c'est vraiment un blaireau...m'exclamais-je

- Il va tomber de haut, ça lui fera du bien.

- Oui j'ai hâte qu'Allan nous raconte ça. Ça va être sympa je sens. Ce mec est un mort de faim. Il parle de se faire Allan et en même temps, il te mate comme un sale obsédé. J'ai cru que j'allais lui foutre mon poing dans la gueule.

- Humm, j'adore quand t'es jaloux...

- Je déteste qu'on reluque mon mari. Je lui en toucherais deux mots après qu'Allan ait mis son plan a exécution. Il va subir mes foudre ce connard.

- T'es trop mignon, tu me donne envie de te croquer dit mon homme, enroulant ses bras autour de ma taille au moment ou j'allais me rassoir sur ma chaise.

- Tu veux qu'on retourne à la chambre?

- J'en ai très envie...mais tu oublie que mon père arrive à l'aéroport dans même pas une heure et qu'il faut qu'on aille le chercher.

- Bon bien, allons nous habiller. Dommage, moi aussi je t'aurais bien croquer.

- P'ti coquin.

- Bisou?

Il se dépose sur mes lèvres chastement et nous nous dirigeons à la chambre, sans arrière-pensées, juste pour s'habiller. Anderson senior va nous attendre.

*******

PDV Jared

J'entre dans mon loft ou je n'ai pas mis les pieds depuis bien longtemps, en compagnie d'Allan, d'Ana et de Tiago. C'était déjà ouvert Larry étant déjà rentré.

- C'est nous que voilà, si ça t'ennuie pas, j'ai invité Sven( Jared) et Anastasia à déjeuner. Lance Al

- Aucun problème. Je vais tout de suite aller m'occuper du repas.

- Non laisse, je vais le faire. C'est toi qui à l'appareil photo, tu devrais montrer à Ana les clichés qu'on à pris au Zoo.

- Oui faut les montrer à Nana!

- D'accord on va faire ça répond Larry. Asseyons nous dans le canapé, je vais nous les mettre sur l'ordinateur.

Il s'assoit tous trois et remarquant que je ne viens pas, Anastasia me dit

- Et bien Sven, tu t'assois pas?

- Oh si après, c'est juste que je veux parler à Allan au sujet de Casey, je veux savoir ou il en est avec la came, vu que c'est son médecin, et puis vu qu'on s'impose un peu, je vais l'aider à la cuisine. Je viendrais après.

Elle me sourit et reporte son attention sur ce que fais Larry. De mon côté je suis mon fiancé du côté de la cuisine. Tandis qu'il regarde dans le frigo pour savoir quoi faire, je fais semblant de l'aider à réfléchir à ce qu'on peut faire, et nous commençons à parler à voix basse .

- Bon tu me dis ce qui te ronge, t'as eu plusieurs occasion de me parler et je vois bien que t'es tracassé, seulement tu dis rien. me glisse-t-il

- Avec Ana ce matin...y'a eu des caresses plus poussées, je sais qu'on s'était accorder pour que ça arrive si besoin est...à cause de l'enquête

- Je sais que j'ai accepté ça mais je crois que j'aurais pas voulu savoir...

- Je ne veux rien te cacher Allan...

- Il y a eu quoi exactement?...

- Elle m'a enlevé ma chemise, ma pendant un court instant caresser le torse...puis on est tombé sur le lit. Je lui ai bloqué les mains pour qu'elle ne me touche pas et je me suis occupé d'elle. J'ai juste longé son corps de baisers en évitant les endroits intimes.

- Elle à pas demandé de plus?...

- Non, je... je me suis frotter à elle, recouvert de mon jean évidemment, j'étais coincé...je savais pas quoi faire...

- Elle à aimé?

- Je m'y attendais pas du tout...mais elle a eu un orgasme... Après ça il y a rien eu, elle a voulu s'occuper de moi mais Tiago l'a contacté à temps.

- T'as bandé contre elle? T'étais excité?

- Al...

- Répond-moi

- A peine, et encore c'est au moment ou je pensais à toi.

- T'as pris du plaisir?

- Non...j'étais gêné, pas du tout attiré par son corps, à aucun moment j'ai éprouvé du plaisir.

- Et qu'aurais tu fais si le petit avait pas voulu voir sa mère?

- Je ne serais pas allé plus loin. Je coucherais jamais avec elle Allan et tu le sais. On s'est entendu sur des limites amour et jamais je ne les franchirais. Crois-moi si j'avais pu éviter ce qui s'est passé, je l'aurais fait.

- Ok...

- C'est sur? C'est réglé?

- Oui. Bon il faut qu'on fasse à manger.

Il se retourne et demande:

- Pâtes au parmesan et poisson panné, ça convient à tout le monde?

- C'est parfait. Merci de nous accueillir si gentiment, lui répond Ana

- Oh mais de rien, on adore avoir de la compagnie puis votre fils est adorable, intervient Larry.

Ils retournent, la seconde d'après à leurs photos et tandis que mon homme ouvre les paquet cartonnés renfermant les poissons, je mets de l'eau a chauffer et dit:

- Depuis quand tu achète du poisson panné, toi qui dit toujours que c'est pleins de cochonneries quand c'est pas fais soi-même?

- Depuis que je dois m'occuper d'un gosse...

- Je suis désolé, je ne voyais que toi pour prendre soin de lui, et regarde, il été malade, il passe du temps avec toi et ça va déjà mieux.

- Je sais. Si je garde ce petit c'est pour lui, parce qu'il n'a rien à faire au milieu de ces trafiquants, mais je le fais certainement pas pour elle...

- Merci pour tout, je sais que ça doit être difficile a supporter tout ce que je te fais endurer avec cette enquête.

- Il y a quelques années, jaloux maladif comme j'étais, je t'aurais déjà dégagé de ma vie, mais aujourd'hui, je peux accepter beaucoup de chose par amour...même si ça me fait vraiment chier...

- T'es un homme merveilleux Allan.

- Je sais c'est pour ça que tu m'aimes, dit-il dans un sourire.

- Les garçons je peux vous filer un coup de main? Lance Larry en venant vers nous. Bébé, tu veux que je t'aide, rajoute-t-il le prenant par la taille mon fiancé.

Moi je peux t'aider si tu veux, un bon coup de pied dans les couilles, ça devrait te remettre les idées en place connard!

- C'est gentil, mais Sven m'aide déjà, à deux ça ira, mais, mets la table, si tu veux.

- D'accord je fais ça, répond-t-il en déposant un bisou dans le cou de mon homme, bien sous mes yeux, en me fixant d'un regard conquérant.

Putain je vais lui détruire sa gueule de bâtard! pensais-je tandis qu'Allan le repousse rapidement.

Dans le dos d'Al, ce crevard donne des coups de bassins, à hauteur de son fessier, comme s'il le prenait et sourit ravi de voir qu'il me fait sortir de mes gonds. Il sait très bien que je peux rien faire sinon je me fais griller alors il en profite. Remarquant certainement mon visage crispés, ma mâchoire serré, et la fourchette, dont je me sers pour touiller les pâtes, en train d'être tordu dans ma main, Al, m'attrape le poignet. Je ferme les yeux une seconde et soupire, essayant de me calmer. L'autre connard s'éloigne tout sourire et j'explique à mon homme ce que ce bouffon vient de faire.

- Prends sur toi, fais pas attention, je t'assure que tu vas adorer, le coup que je lui prépare.

- J'ai hâte.

- Moi aussi t'as pas idée. Faudrait que je t'explique si tu peux faire en sorte qu'on se parle en privé, à un moment donné.

- Oui, j'arrangerais ça.

**************************

Dix minutes plus tard, nous sommes tous assis autour de la table de forme rectangulaire. Le petit Tiago à un bout de table, sa mère à sa gauche, puis moi, et enfin, en face de nous, à la droite du gamin, Larry et Allan qui a fait en sorte d'être face à moi.

- C'est trop bon! s'exclame joyeusement le gamin.

- C'est vrai c'est délicieux, confirme Anastasia. Et dites moi, ça va il a été sage?

- Oui, c'est un petit ange, il est adorable. Dit Larry

- Et il prends bien ces médicaments?

- Aucun souci pour ça, votre médecin lui a donné des comprimés qui passe bien pour les petits, et ça lui réussi bien, il à commencé que depuis hier soir, il en a repris ce matin et il se sent déjà beaucoup mieux. répond Al

- C'est vrai il a repris des couleurs, je me sens vraiment rassuré d'avoir pu le laisser à un médecin, plutôt qu'à n'importe qui d'autre. Merci.

- De rien, c'est pas la première fois que je rend service à Sven, c'est un ami maintenant, alors ses amis sont les miens.

- Je peux avoir le ketchup? coupe le petit gars.

- Titi qu'est-ce qu'on dit? le reprend sa mère

- Euh, s'il vous plait...

D'un même mouvement, Al et moi tendons, la main vers la bouteille rouge et nos mains se frôlent inévitablement. Je finis par la lâcher, m'éloignant non sans caresser le dos de sa main au passage. Al fait passer le ketchup à l'autre connard qui le donne au petit. Il en arrose son poisson panné et recommence à manger avec appétit. Nous faisons de même, tout en alimentant la conversation. Anastasia à eu la superbe idée de demander à Larry et mon mec, comment ils s'étaient rencontré. Autant dire que mon collègue se donne à coeur joie d'inventer un bobard. Une rencontre à Central-park, pendant qu'ils faisaient tous deux un jogging. Suite à ça, ils auraient commencé à se retrouver chaque weekend pour courir, et un jour, Larry se serait foulé la cheville. Le docteur l'aurait examiné et profitant de la proximité entre eux, le blessé aurait sauter le pas, l'embrassant. Son histoire est bien pourrie mais je dois dire qu'elle est crédible.

- Et donc maintenant vous êtes ensemble depuis combien de temps?

- Ça fait 4 ans, intervient aussitôt Allan.

- Et vous êtes fiancé en plus! J'espère que Sven et moi, on aura une aussi belle histoire que la votre, vous êtes si mignon. Nous ça ne fait que quelques mois, mais je compte bien te garder très longtemps mon chéri, dit Ana dans un sourire, tout en glissant affectueusement sa main dans mon cou.

Soudainement Allan se lève et je comprends que s'en est trop pour lui.

- Excusez-moi, parler de fiançailles vient de me faire rappeler que j'ai un coup de fil super important à passer, pour le traiteur. On va faire une super fête pour fêter ça. Jared, je te laisse t'occuper de nos invités...dit-il posant une main sur l'épaule de Larry.

- Bien sur.

Les minutes passent et Allan ne revient toujours pas, depuis qu'il s'est levé, je cherche une excuse suffisamment crédible pour le rejoindre. Seulement, je n'en ai qu'une et ça ne va pas me laisser beaucoup de temps.

- Je m'excuse, je sais que c'est pas très poli mais j'ai vraiment besoin d'aller aux toilettes.

Je me lève alors à mon tour et dressant mon majeur, discrètement, a l'intention de Larry, je m'éloigne traversant le salon, avant d'emprunter le couloir. Je cherche mon homme dans toutes les pièces avant de le trouver dans notre chambre. Assis sur le côté droit du lit, les pieds au sol, les coudes sur les genoux et la tête dans les mains, il ne bouge pas. Je viens aussitôt m'accroupir à sa hauteur et saisit ses bras, forçant pour lui faire décoller ses mains du visage. Je finis par y parvenur et découvre avec peine ses yeux luisant.

- Amour...

- Tu la séduit, tu passe ton temps avec elle, elle profite de tes caresses, de tes baisers...et voilà que maintenant cette pute t'appelle " mon chéri"...Elle profite déja de bien de chose, c'est putain de dur a supporter, t'es à moi, elle a pas à t'appeler comme ça, je veux être le seul a pouvoir le faire...si je peux au moins garder ça. C'est moi qui t'apelle Chéri. L'entendre de sa bouche, la voir te toucher devant moi c'est insuportable.

- Je ferais en sorte que ça n'arrive plus...

- Jared...putain, j'ai peur qu'elle y arrive...

- Qu'elle arrive à quoi?

- A te détourner de moi...si ta mission séduction finit par devenir réelle...si elle finit par t'attirer...et que tu tombes sous son charme...t'as l'air de déja tellement l'apprécier...

- Al...arrête de te monter la tête. Oui je l'apprécie, parce qu'au fond c'est juste une femme qui est née dans le mauvais milieu et qui est loin d'être mauvaise comme sa famille. Je déteste me jouer d'elle parce que je vois qu'elle s'accroche. Si elle avait été qu'une conne, je m'en foutrais mais ce n'est pas le cas. Alors c'est sur je la trouve sympathique, mais y'a rien de plus. Je suis pas attiré par les femmes et cette éxprience me le démontre une nouvelle fois. J'étais vraiment pas à mon aise, de la voir quasi nue sous mes yeux. Allez cesse de te faire des idées, parles moi plutôt du sale coup que tu prépare pour Larry, je supporte pas qu'il s'approproe mon homme, j'ai envie de l'éclater.

- Il s'approprie rien du tout ce gros con...je vais bien me foutre de sa gueule, en plus Clay m'a envoyé un sms pour me dire qu'il m'avait donné un coup de pouce, ça va être super facile d'arriver à mes fins.

- Tu m'explique?

Il se penche vers mon oreille et m'informe de son plan. Quand il s'écarte, je dis:

- Génial, c'est super salaud mais j'adore, ça lui apprendra à croire qu'il peut me piquer mon mec ce batard!

- Tu crois que tu pourra t'arranger ça serait dommage que tu participe pas.

- T'inquiète je vais me débrouiller, je raterais ça pour rien au monde. Je vais me débrouiller pour te faire passer ce dont tu as besoin.

- Ah j'ai tellement hâte qu'il arrête de se prendre pour un dieu.

- Oh moi aussi t'as pas idée.

- Bon il faudrait qu'on retourne la-bas, ils vont s'inquièter.

- Oui on va y retourner, mais d'abord, je t'embrasse...

Je me lève, pousse Allan, dos contre le lit et m'installe sur son bassin. Très vite je gagne ses lèvres er prend vite possession de sa langue, l'emportant dans un langoureux baiser baiser, mes mains liées aux siennes.

je finis par m'écarter de lui, et lui murmure le regard plantés dans ses yeux d'émeraude.

- Je t'aime Allan. Je suis à toi, rien qu'à toi.

- Je t'aime aussi " Mon Chéri" me répond-il avant de me donner un bisous appuyé

- On y va maintenant?

- Oui, y'a une tarte à la crême pour le dessert.

- Humm...j'en salive...

- Allez debout.

On se lève et l'un après l'autre, on retourne a la cuisine. Apparemment personne ne s'est aperçu de rien. On s'installe à table et mon homme fait bien attention à me servir la plus grosse part de tarte. Je suis un gros gourmand et il le sait. Le seul regret que j'ai, c'est que je ne peux pas le croquer lui, mais je vais remédier à ça. Trés vite

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