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Voyages

Il regarde en face de lui assit sur le quai de la gare. Il a une demi-heure d'avance et seulement son imagination l'accompagne.

Il scrute les passants et leurs inventes une vie, essaie de deviner qui ils sont, où ils vont et pourquoi ils vont là-bas. Soudain, le décors change, il n'est plus qu'un fantôme, un spectre, une âme. Il s'imagine slalomant entre les passants poursuivit par des types en costard cravate à lunettes noirs. Lui ne porte plus ses habits actuels, à savoir un costume bien taillé pour un homme d'affaire, mais un jean noir, des bottes, un t-shirt kaki et une arme. Il saute dans un train en marche pour monter sur le toit. Le train s'éloigne de la gare et ses poursuivant n'ont pas le temps de monter à bord, alors il les salut en riant aux éclats. Les hommes sortent leur arme et tire sans parvenir à le toucher, car il est déjà entré dans un wagon par une trappe. Il marche penaud le long des allés à la recherche d'une place où s'asseoir. Il en déniche une facilement. De là il est seul et tranquille, il voit ce qu'il se passe, qui entre, qui sort et si besoin il peut s'enfuir. Il s'installe et se laisse porter dans le monde des rêves cigarette à la bouche.

Une nouvelle fois on change de décors, le train date d'une autre époque, il n'est plus en France, mais au Texas. C'est un cow-boy, arme à la ceinture, paille à la bouche et chapeau devant les yeux. Il s'éveille soudain, alerté par des bruits suspect. Deux shérifs, entre et passe devant lui, dès qu'ils lui tournent le dos il s'enfuit en riant, tirant dans le chapeau de l'un d'eux et faisant en sorte de bloquer la porte. Il se retrouve dans un wagon remplit de marchandises, il ouvre la large porte. Ses poursuivant ne sont pas loin. Il siffle. Un cheval apparaît près de lui. Il sait que l'aiguillage n'est pas loin. Il saute sur le cheval et accélère. Il entend des coups de feu derrière lui, mais ça ne l'atteint pas. Il y est presque. A cette distance il peut toucher sa cible facilement. Il sort son arme, il vise et tire. L'aiguillage bouge et le train s'élance dans la direction opposée à la sienne avec ses poursuivant. Il continue sa route riant aux éclats. Il s'arrête seulement à la nuit tomber, il a trouvé la rivière et installe son camps sous les arbres et attache son compagnon à une branche. Une fois rassasier et désaltéré il s'endort bercer par les crépitements du feu.

Au matin il s'éveille, il n'est ni agent secret, ni cow-boy. Maintenant c'est un voleur qui sévit dans les plus grands villages de l'Espagne féodale. La garde espagnole est proche, son chien a senti et entendu les hommes. C'est lui qui l'a réveillé. Il récupère ses affaires et ses butins, étouffe le feu et le camoufle. Il remet sa cape et remonte sa capuche sur sa tête et s'enfonce dans la forêt. Avec son accoutrement il est invisible à l'œil humain dans une forêt aussi dense. Il continue son long périple, vivant de ses voles avec son fidèle compagnon de route. Il doit atteindre la côte portugaise s'il veut avoir une chance. Après des jours et des jours de marche au travers des éléments, il y est enfin. Un port. Un marchand va au même endroit que lui, il a rendez-vous. Il le paye grassement histoire d'être tranquille et d'être emmené à bon port. Il se pose dans le sous-sol sur un hamac et se laisse bercer par les vagues.

Soudain, on vient le chercher précipitamment, il n'est plus dans un hamac, mais dans un lit et on ne cesse de l'appeler capitaine. Il se lève, il a un crochet à la place de sa main droite. Il replace son tricorne, enfile sa veste de capitaine et appelle son perroquet sur son épaule. Il monte sur le pont, le navire est attaqué ! Un bateau britannique l'a pris en chasse et tire des boulets de canon en rafale. Il ordonne la riposte, mais son but et de partir au plus vite, il veut s'enfuir par n'importe quel moyen. Le bateau ne tiendra pas très longtemps, à ce rythme ils vont tous coulé. Ce n'est pas encore l'heure il le sait, sont rendez-vous n'est pas pour maintenant. Il entonne un bon nombre d'ordre, mais rien n'y fait, ils sont perdus. Le dernier ordre énoncer est le saut à la mer c'est la seule façon de survivre. Il saute.

Une fois sous l'eau, il n'est plus capitaine pirate, mais vaillant explorateur des fonds marins. Dans sa combinaison il est bien, au calme, en paix avec la nature. Ce qu'il voit le fascine, un arc-en-ciel de couleur, une valse endiablé se joue sous ses yeux ébahis. Il est heureux là où il est. Il croise un couple de tortues qui l'accompagnent un bon moment à la conquête des fonds marin. Il découvre un bon nombre d'espèce inconnue au bataillon. Il les étudie, mais il doit abréger son séjour sous l'océan. Le manque d'air ne va pas tarder à se faire sentir et au loin il aperçoit déjà un requin, les crocs acéraient qui lui fonce dessus. Il nage le plus vite qu'il le peut vers la surface et vers le rivage. Le requin n'a pas réussi à l'avoir, mais sur cette plage il est épuisé, à moitié dans l'eau, il a pied, mais il a du mal à se relever.

Il porte une arme lourde et ses vêtements trempé ne l'aide pas dans sa progression, il doit détacher son parachute a tout pris, sinon il va se faire canarder par les Allemands. Il doit vivre à tout prix. Il l'a promis ! Ce n'est pas encore l'heure de son rendez-vous. Il se bat comme il le peut. Les Allemands ne sont pas loin et ses alliés et amis l'entourent. Il tue pour survivre. Il n'aime pas la guerre et il ne veut pas tuer d'autres hommes, mais il sait qu'il est obligé s'il veut s'en sortir. Il se bat pour son pays, pour ses alliés, pour la France, pour la liberté. Il se bat contre les massacres, les assassinats de masse, tout ce qui est contre ses principes. Soudain, une balle vient se loger dans son épaule droite, il crie, il ne tient plus debout et la vue du sang le fait tourner de l'œil.

A son réveille il est emmitouflé dans un futon, dans sa maison japonaise. Sa femme est belle, elle vient s'occuper de lui. En vaillant samouraï il s'est battu jusqu'à la fin. Son clan a gagné, mais il est blesser et le médecin à dut lui amputer le bras droit. Il doit à présent vivre sa vie sans. Son chat noir s'approche doucement de lui, il ressent sa douleur, il demande des caresses, son maître répond à sa demande avec tendresse. Ce chat a toujours été avec lui et s'il avait disparu, il ne sait pas comment il aurait réagi. Perdu dans ses pensées, il n'entend pas sa femme criée entre deux voies d'hommes autoritaires. On vient pour lui. Il a tué le chef du clan adverses, on demande réparation. Il doit fuir ! Il se lève, prend son chat et fuit de chez lui. Il entend au loin ses poursuivants. Il est vieux, il est blessé, il ne va pas loin. Une racine de cerisier dépasse. Il chute. Il veut se relever. Trop tard, ils sont là. De toute façon c'est l'heure de son rendez-vous. Il ferme les yeux.

Les yeux mis-clos, il regarde autour de lui, tout le monde est là, sa femme, ses enfants, ses amis de tout horizon, tous ces gens dans lequel il se reconnait. Son bras en métal le brûle. Dans son lit victorien il souffre. En face de lui, il y'a la porte en bois qu'il fixe avec grand intérêt, au-dessus, le drapeau de son pays avec sa Reine pour lui rendre un dernier hommage. Il attend encore, son rendez-vous n'est pas encore arriver. Elle n'est pas encore là, il n'est pas encore là, ils ne sont pas encore là. Dans ce silence pesant, la porte s'ouvre, grinçante. Elle laisse entrer son compagnon de voyage, ses poursuivants, son rendez-vous. La mort viens le chercher. Elle l'a accompagné tout au long de sa vie, elle l'a poursuivit le long du chemin, mais finalement, elle savait elle aussi, qu'elle devait attendre leur rendez-vous.

Salut, salut !
J'ai pas grand chose à dire sur ce texte en fait XD, je m'ennuyais un peu à attendre le train en fait et voilà comment on en est arrivé là ! Vous en pensez quoi ?

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