Chapitre 44
Law soupira longuement. Luffy se tenait devant lui, assis sur une des couchettes, à l'étage. Le pirate au chapeau de paille le regardait étrangement, comme s'il attendait une occasion pour se faufiler autre part. S'il croyait pouvoir s'en tirer ainsi, il faisait fausse route.
— Torao, allez... Je vais bien...
— Mugiwara-ya, c'est non négociable. Tu restes ici.
— Mais je vais bien...
— Tu as des égratignures sur le corps, laisse-moi juste t'examiner.
Alors que Law allait lancer son scanner surnaturel, il s'arrêta une fraction de seconde en plein mouvement.
Laisse-moi juste t'examiner.
Cette phrase puait le double-sens à des kilomètres. Il remercia le ciel — et accessoirement Cathbad — qui l'avait empêché de dire une telle phrase en public, mais plutôt en privé. Luffy ne sembla pas s'en formaliser, il resta complètement de marbre devant cette remarque. Avait-il seulement compris la vraie signification de ce qui se cachait dans les mots du chirurgien ?
Law retint un soupir de soulagement. En plus de Cathbad, qui les avait installés à l'écart le temps qu'il prépare le remède nécessaire à Finda pour qu'elle tienne lors de son opération, il remerciait le manque d'intérêt de Luffy pour les relations amoureuses. Sans ça, il aurait certainement craqué. Hors de question : ce n'était certainement pas le moment pour ça.
— Je vais bien, répéta Luffy.
— Tu es blessé, idiot.
— Mais je vais bien !
Les sourcils de Luffy se froncèrent juste assez pour lui donner un air d'enfant contrarié. Law s'amusait toujours des mimiques de son allié, même s'il ne le montrait que très rarement.
— Ah vraiment ?
Il appuya sur une zone douloureuse. Luffy recula instinctivement en protestant.
— Je ne te demande pas ton avis, Mugiwara-ya. Je t'examine, et c'est tout.
— Non !
— Si.
Luffy lui répondit par une petite moue.
— A une condition.
Law leva les yeux au ciel. Qu'allait-il lui demander ? De la viande ? Ce serait bien son genre, tiens.
— On est seuls, Torao.
— Et... ?
— Bah tu m'as dit quelque chose... Tu m'as promis quelque chose.
Le cerveau de Law se mit en marche. Que lui avait-il promis ? Puis soudainement, il s'en souvint.
Le dernier arrivé fait un bisou à l'autre !
Ce n'était pas vrai.
— Tu me fais un bisou, Torao ?
— Pas tout de suite, Mugiwara-ya. Quand on sera seuls.
Tout lui revint en mémoire. Luffy n'avait pas oublié et attendait une occasion de pouvoir réclamer son dû, alors que Law, lui, aurait préféré que tout ça finisse enfoui sous terre. Il ne put s'empêcher de penser à ce moment où il avait décidé de choisir Luffy comme allié. Il avait dû tomber sur la tête. Sinon, comment expliquer qu'il ait conclu une telle alliance ? C'était de la folie pure. Ou un suicide de sa bonne santé mentale.
Et comme Luffy possédait un don tout particulier qui lui permettait visiblement de lire dans le coeur des gens, un grand sourire barra son visage. Il avait compris. Il avait compris que Law se souvenait de sa promesse.
— Alors ? lança-t-il.
— Alors quoi, Mugiwara-ya ?
Law avait honte de l'avouer, mais il cherchait surtout à gagner du temps. Ses sentiments se confondaient en une tempête innommable. Il ne pouvait plus se mentir à lui-même : il partageait ce désir, celui de poser ses lèvres sur celles de son camarade. Il désirait s'emparer de cette opportunité, de cette peau si douce et de ce moment si précieux. Mais un mur le freinait. Un mur immense, si haut que Red Line pâlirait à sa vue, un mur qui portait les douces lettres de l'angoisse.
Luffy s'impatienta :
— Tu sais très bien ce que je veux, Torao !
— Ne crie pas, Mugiwara-ya, grommela Law, qui se retourna furtivement pour s'assurer que personne ne les surprendrait.
— Ne fais pas comme si tu ne savais pas ce que je veux, bouda le petit pirate au chapeau de paille.
Law fit un pas dans la direction de son compagnon. Il s'abaissa à son niveau, plus espiègle que jamais.
— Dis-moi ce que tu veux, Mugiwara-ya, souffla le chirurgien.
Luffy resta de marbre une seconde. Ses yeux noirs plongeaient dans ceux nuageux du docteur.
— Mon bisou, Torao, je veux mon bisou.
Law soupira. Il croyait encore un peu à cette possibilité absurde que Luffy ait oublié ce qu'il s'était passé avant de rejoindre les autres. Maintenant, la porte se refermait derrière lui dans un claquement sonore. Les vents du destin l'avaient scellée après qu'il s'y est engouffré. Il ne restait plus qu'à explorer la pièce.
Il s'avança et déposa ses lèvres sur celles de Luffy. Quand leur peau entra en contact, Law n'eut plus de doutes quant au fait qu'il n'avait pas besoin du trésor de Gol D. Roger : il avait déjà trouvé le sien. Les lèvres du jeune pirate possédaient un goût si particulier, si indéfinissable, si indescriptible, qu'elles n'étaient comparables à rien de ce qu'il avait pu voir ou vivre dans sa vie.
Law sentit une décharge d'électricité lui traverser le corps. Pas aussi douloureuse que son attaque fétiche. Mais une foudre particulière secouait tous les atomes de son être, si bien que pour garder consistance, il dut reculer. Un baiser chaste. Voilà ce qu'il pouvait offrir à Luffy pour le moment. Il n'était tout simplement pas certain de survivre s'il continuait. S'ils continuaient.
Lorsqu'il croisa les yeux de Luffy, ces derniers aussi étaient indescriptibles. Limpides et si troubles en même temps. Le capitaine paraissait si sérieux à cet instant. Pendant une seconde, Law pensa que Luffy n'avait pas aimé leur baiser. En même temps, il ne croyait pas être très doué pour ça. Il avait beau connaître les corps humains, il avait plus de compétence à les analyser qu'à les embrasser amoureusement.
Puis, comme à son habitude, un grand sourire s'empara de son visage. Law sentit son coeur vidé d'un poids.
— C'était génial, Torao !
Law remit sa casquette en place afin de s'empêcher de rougir.
— Ce n'est vraiment rien.
Conscient qu'il devait se ressaisir, Law décida de se concentrer sur le plus important.
— Maintenant que tu as eu ce que tu voulais, laisse-moi t'ausculter.
Etonnamment, Luffy se laissa faire sans broncher. Il s'allongea tandis que Law s'affairait à étudier ses éventuelles blessures. Heureusement, il n'avait que des marques superficielles, rien de très important. Durant tout l'examen, Law ne décrocha pas un mot. Il contenait très mal sa fureur. Luffy lui avait raconté sa rencontre avec Barton Finn, un pirate qui ne semblait pas étranger aux catastrophes qui touchaient Edens Shield et ses habitants. Il lui avait raconté aussi qu'il avait affronté la Fraise. Law se jura alors qu'il ferait payer à cet inconscient ce qu'il avait fait. Qu'il s'en prenne à des habitants d'une île innocente, ça l'irritait passablement, mais ce n'étaient pas vraiment ses affaires, enfin jusqu'à présent. Mais que Barton Finn tente de blesser et tuer Luffy, son plus précieux allié, c'était une autre paire de manches. Et ça, il lui ferait payer, à lui et à sa bande de pirates sans cervelle.
Il lui ferait regretter d'avoir voulu entraver la route du chirurgien de la mort.
Toucher à l'une des personnes qu'il aimait le plus ?
C'était à présent une affaire personnelle.
— Torao...
— Quoi ?
La réponse de Law était presque trop sèche pour ne pas être suspecte.
— Tu vas aller sauver la maman d'Eryn ?
Law sentit son souffle devenir de nouveau régulier. L'espace d'un instant, il avait songé que Luffy sente son agacement et lui demande ce qu'il n'allait pas. Law aurait été bien incapable de répondre, et cette discussion n'aurait eu comme fin qu'une réponse encore plus sèche que les plaines désertiques du royaume d'Alabasta.
Parfois, il oubliait que l'attention de Luffy se dirigeait sur des choses bien précises, et que ça ne tournait pas forcément tout le temps autour de lui.
En l'occurrence, le cas de la jeune femme semblait préoccuper son ami. Lui aussi, à vrai dire. Non pas qu'il avait particulièrement envie de la sauver, mais il se devait de le faire. Déjà parce qu'il était médecin et qu'il devait donc faire honneur aux fantômes de sa famille, mais aussi qu'elle pouvait s'avérer utile — on ne sait jamais quelles informations elle pouvait leur délivrer ou quelles compétences elle possédait. Et enfin, parce que Luffy avait l'air de lui accorder beaucoup d'importance.
Il resta coi un certain temps, prenant le temps de réfléchir à la situation. Son diagnostic n'était pas particulièrement bon. La jeune femme souffrait de plusieurs liaisons mais aussi de troubles physiques assez graves. Son état de santé général ne respirait pas particulièrement la forme.
— Je vais voir ce que je peux faire.
Répondre ainsi à Luffy parut bien lâche à Law. Il décida d'ignorer ses réflexions pour se concentrer sur l'essentiel : à savoir, bel et bien sauver la jeune femme du village. La sauver et lui apporter le soutien nécessaire.
Law tenta d'analyser la réaction de Luffy, mais ce dernier resta impénétrable.
— Tu es le meilleur docteur, Torao. Tu vas la sauver.
— Tout dépendra de son état.
Ce n'était pas tant que cette opération s'avérait compliquée pour le chirurgien. Il savait qu'elle ne prendrait qu'une petite heure, peut-être deux, si tout se passait bien. Seulement, le corps de Finda semblait tellement faible qu'une moindre tentative de sauvetage pouvait s'arrêter sur un échec cuisant. La griffe-de-dragon récupérée par Luffy permettrait au chirurgien d'opérer un peu plus tranquillement sa patiente.
— Tu vas la sauver, répéta simplement le pirate au chapeau de paille.
Law resta muet une poignée de secondes. Luffy mettait une si grande énergie et une telle conviction à toute épreuve dans ses mots que Law se décida à y croire. Au moins un peu. Il ne voulait pas décevoir Luffy, mais il ne voulait pas non plus lui fabriquer de faux espoirs. Luffy était de ceux qui s'engageaient, qui faisaient des promesses. Donc il n'aurait pas été étonné d'apprendre que son allié le promette à la gamine qu'ils avaient récupérée en chemin.
Devant la confiance de Luffy, Law céda. Ce moment de doute et de pur pragmatisme ne devait pas ombrager la confiance qu'il possédait envers ses propres pouvoirs. Il avait promis à ses parents de mettre ses capacités au service de la médecine. Lui plus que quiconque avait entre ses mains la possibilité de sauver cette femme et de permettre à Luffy de tenir sa promesse. Malgré lui, Law était devenu celui sur qui on comptait. Eryn, tout le village, les autres membres de l'équipage de son allié, et plus que les autres : Luffy lui-même.
Un sourire plein d'assurance plus tard, Law tournait les talons.
Au même moment, Cathbad entra dans la pièce où se trouvaient les deux pirates. Il arborait le même air que lorsque Naro avait débarqué, une heure plus tôt. Son regard fuyant avait des allures de tombe.
— Messieurs les pirates...
— Ça y est ? demanda Luffy avec espoir.
— Oui. J'ai donné la griffe-de-dragon à Finda. Vous pouvez y aller.
Law acquiesça gravement et prit une grande inspiration. L'opération n'allait pas être simple. Avant de suivre Cathbad, il se retourna et fixa Luffy une dernière fois. Dans les prunelles de son allié, il s'abreuva de vagues de courage. Le sourire de Luffy s'agrandit.
Une minute plus tard, ils se retrouvaient dans une sorte de salle vide. Seuls Cathbad, Law et Finda, allongée sur un lit, s'y trouvaient. Le druide avait fourni tous les outils demandés par le chirurgien de la mort. Il ne restait plus qu'à opérer.
Law enfila ses gants chirurgicaux. Cathbad comprit que c'était le moment de s'éclipser. Il commença à se retirer dans un silence particulier. Une quiétude profonde.
— Il ne me demande pas de sauver sa fille, déclara calmement le druide, au seuil de la pièce. Je n'en ai pas besoin, mon garçon. Je sais déjà.
Law se retourna, excédé que ce vieillard se permette de lire dans son esprit. Il ne répondit rien. Peut-être parce qu'il n'y a pas de réponse à apporter.
Cathbad parti, ne restaient plus que le chirurgien de la mort et sa patiente.
— Au boulot, souffla-t-il en levant la main au-dessus du corps allongé. T'as intérêt à rester en vie, toi.
Room.
Luffy, dans la pièce principale, était intenable. Seul le repas préparé par Sanji l'occupait suffisamment pour qu'il reste assis plus de cinq minutes. Il écoutait brièvement l'histoire que Zoro racontait aux autres, sachant que c'était plus Zoro qui écoutait le récit de Nami et des autres. Après tout, dans les marécages, ils n'avaient pas vu grand-chose, et s'étaient surtout inquiétés pour le groupe de Luffy.
Le capitaine des pirates au chapeau de paille observait Franky tenter de distraire Eryn avec ses mécanismes. Il n'avait pas quitté sa coupe à la brosse et jouait, cette fois-ci, avec les outils qui se trouvaient dans ses bras. Il exhibait ses canons et ses armes pour impressionner la fillette.
— Ouais, pas mal.
La remarque ne venait pas de l'enfant mais du guerrier bourru, Brian. Depuis qu'ils étaient arrivés, c'était peut-être celui qui s'était montré le plus distant avec eux. Il leur jetait des regards en coin, pleins de méfiance et de suspicion. Il était encore plus sur les nerfs depuis la venue de Naro. Il avait voulu prendre les armes, mais les autres l'avaient devancé. Malgré une fin des événements plutôt positive, il s'était renfrogné, ne montrant aucun signe de joie ou de bonne volonté.
— Jaloux ?
Brian fusilla Balor du regard. Le ton moqueur du guerrier ne laissait planer aucun doute sur ses intentions taquines. Ce n'était visiblement pas du goût de l'autre villageois, qui l'observa, furieux.
— La ferme, Balor, grogna-t-il.
Les deux compagnons se mirent à se chamailler sous les yeux curieux des autres. Tout le monde ne prêtait pourtant qu'une attention partielle à la discussion électrique entre le duo. Seuls les membres de l'équipage de Luffy observaient ce drôle de spectacle. L'habitude de vivre ces moments de dispute ne les empêchait pas de trouver ces échanges particuliers au sein d'autres communautés.
— On dirait Zoro et Sanji, shishishi !
Le commentaire de Luffy lui attira un regard noir de la part de ses deux commandants.
— N'importe quoi !
— Si, les gars, on dirait suuuuuuuuper vous.
Sanji et Zoro poussèrent un nouveau cri de protestation en même temps. Nami, assise à l'écart, soupira :
— Malheureusement, Luffy a raison...
— Désolé, Nami-san, s'excusa platement Sanji. Tant que je suis là pour toi...
— Oui, oui, je sais.
— Oh, l'autre...
Sanji fusilla Zoro du regard.
— Eh, dis, tu n'as pas un marécage à visiter et dans lequel tu pourrais te perdre ?
— Me perdre, c'est toujours mieux que de supporter ta bouche en cul de poule dès qu'une femme approche !
— Ce n'est pas qu'une femme ! C'est Nami-san, tête de cactus ! Mais je ne m'attends pas à ce que tu comprennes...
— Et c'est reparti... déplora la navigatrice, tellement épuisée par cette journée qu'elle n'intervint pas.
Maintenant, il n'y avait plus une mais deux disputes. Deux disputes de rivaux, d'amis, de frères d'armes. Luffy s'en désintéressa bien rapidement.
— Tu penses à Torao ?
Luffy se tourna vers Nami, assise à côté de lui. Elle avait préféré quitter les deux idiots pour se mettre à côté de son capitaine.
— Il est long.
— C'est une opération compliquée, rétorqua la rousse.
— Il est quand même long.
— Il va y arriver.
Nami détailla le visage de Luffy. Le garçon au chapeau de paille affichait un air embêté et un peu vide. Un air qui attristait la jeune femme. Ce n'était pas souvent qu'elle le voyait aussi... concerné ? Elle ignorait même le terme exact à utiliser. Mais dans tous les cas, Luffy était différent de d'habitude.
Une autre chose peinait Nami, et plus le temps passait, plus son inquiétude transparaissait sur son visage. Les autres manquaient à l'appel. Cela faisait pourtant un moment qu'ils s'étaient séparés. Elle espérait que rien de fâcheux ne leur soit arrivé. Elle leur faisait confiance, bien sûr, mais avec la rencontre fâcheuse que son capitaine avait faite... Il ne fallait écarter aucune possibilité. Et s'ils avaient été capturés ? S'ils étaient tombés dans une embuscade ?
Lorsqu'elle en fit part à Luffy, il répliqua par un grognement et un hochement de tête. Rien à voir avec la réaction que d'autres capitaines auraient eu. Le brun était si focalisé sur un objectif qu'il ne voyait plus rien autour.
Soudainement, la porte que scrutait le garçon joyeux s'ouvrit. Aussitôt, Luffy y dirigea son regard, et pas seulement Luffy ; toutes les personnes dans la pièce se tournèrent vers la fenêtre. Le sourire de Luffy brilla un peu plus à la vue de ce personnage qu'il appréciait tant.
— Torao !
Law croisa rapidement son regard et reporta son attention sur le reste de l'assemblée.
— L'opération est terminée.
— Alors ? scandèrent Brian et quelques autres villageois.
Pendant une fraction de seconde, le monde retint son souffle. Law esquissa un sourire.
— C'est un succès, affirma-t-il.
Et durant un instant, Nami eut l'étrange sensation que dans le regard de Law, perdu dans celui de Luffy son allié, son précieux camarade ; que dans ces deux regards se trouvait toute la force des enfants de la mer.
¤¤ To be continued... ¤¤
Bonjour, bonjour !
J'espère que vous allez bien ! Moi, ça va, même si j'ai un peu hâte de voir le bout de mon semestre et mes vacances approcher tellement je suis débordé ah ah (et en même temps j'ai pas du tout hâte, mais bref).
Voici le chapitre 44 ! Un chapitre centré autour de Law, parce que... bah parce que c'est mon personnage préféré et qu'il faut bien que je montre au monde que c'est mon chouchou eh eh. Non, plus sérieusement, j'adore exploiter ce personnage (beaucoup plus complexe qu'on ne le pense). Et là j'ai adoré écrire sa scène avec Luffy. Une scène que j'ai dû attendre une vingtaine de chapitres avant de l'écrire... Vous imaginez bien que j'étais content au moment de l'écrire eh eh.
Sinon, l'opération de Law est un succès. Est-ce que Finda va nous apprendre des choses ? Quand ? Quoi ? Nous verrons bien !
J'espère que ce petit chapitre aura su vous faire passer un bon moment ! Qu'en avez-vous pensé ? Dites-moi tout, je suis curieux.
Bon, on se retrouve la semaine prochaine pour le chapitre 45. En attendant, prenez soin de vous. Merci beaucoup de suivre mon histoire et d'avoir lu ce chapitre. Je vous embrasse,
Umi
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro