chapitre 20
Je me réveillai quelques heures plus tard. Je m'habillai rapidement. Puis partis dans le salon où se trouvait tout le monde.
" Bonjour les gens ! sortis je encore fatiguée
- Toi t'es mal réveillée ? remarqua Violette
- Non juste un peu à l'ouest.
- Bon bah on n'est pas sortis de l'auberge.
- Pourquoi tu dis que les chevaux n'ont pas de cornes ni de poils rouges ?
- Nous avons perdu Clarisse ! renchérit Alexandre
- C'est la meilleure personne au monde pour avoir le pouvoir des Divassonnes. répondis Julien
- Heu pourquoi y a un chien bleu qui pète des paillettes verte à poils longs.
- Dis Clarisse tu n'aurais pas sniffé des poils de cul de pingouins ?
- Bah si pourquoi ?
- Bah voilà la réponse du pourquoi elle est comme ça
- Regardez une poupée qui marche !
- Elle a vraiment bu.
- Du carrelage !
- Où ça ! dit Julien en se retournant
- j't'ai eu et laissez moi sniffer mes poils de cul de pingouins en paix
- Je crois que tu vas retourner dormir ! coupa Alexandre "
Je retournai dans ma chambre pour dormir
" Ne crains pas la solitude lorsqu'elle croise ton chemin.
Elle te donne l'occasion de te retrouver avec toi-même et de te fortifier.
Le bonheur,
Ce n'est pas être aimé.
Chaque être humain a de l'amour pour lui-même,
Ils sont des milliers à vivre une existence de damné.
Non, être aimé ne donne pas le bonheur.
Mais aimer,
Ça c'est le bonheur !
Alors Clarisse qu'en penses tu ? me dit une voix
- Fermes les yeux,
Dors, dors,
Oublies.
Ne pense plus à eux,
Dehors, dehors,
Sous la pluie.
Songes à nous deux,
Quand on danse la vie.
L'existence est un jeu,
En or, en or,
En une seconde, tout est fini.
Touches ce feu,
Mort, mort,
Jamais il ne suffit.
On deviendra vieux,
Alors, alors,
On renfermera nos cris
Alors, alors,
On tombera dans la nuit,
Alors, alors,
On sera heureux. dit une autre voix
- Bon sinon vous me laissez parler oui !? hurla heu Francis
- Oui Francine.
- Bonjour Clarisse. Déjà ils m'ont appelée Francine car c'est mon nouveau prénom mais c'est bien moi Francis. Si je suis là c'est pour te dire :
Merci tu m'as appris beaucoup de choses mais surtout que :
On ne voit que la surface.
On ne voit que les masques.
On ne voit que ce qu'ils choisissent de montrer.
Le sourire cache la douleur.
Le rire cache les pleurs.
Car tout a basculé.
Pour lui, depuis quelques minutes.
Pour moi, avant même que ma vraie vie ne débute.
Le sang.
La haine.
Les larmes.
Le désespoir.
Ils ont besoin de se raccrocher.
Se raccrocher à la vie.
Tout le monde veut vivre.
Non ?
...
C'est ce que tu m'as appris.
Mais je ne l'ai compris que trop tard.
Et j'en suis morte.
Maintenant Clarisse ne m'oublie pas...
Je t'en supplie !
...
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