Il y avait une très forte chaleur. Ahiko et son petit groupe était à présent dans le noyaux, entourés par de la lave. Onionsan avait été laissé derrière, les monstres se chargeait visiblement de le sortir. La Ketsui n'était pas étonnée, ils avaient dans le passée, déjà réussi à transporter les amis d'Onionsan jusqu'à des aquariums.

Enfin, la blanche s'attarda finalement sur son groupe qui semblait assez impressionné de voir cette transition entre les différents environnements au sein des souterrains.

Les humains marchaient, trouvant de tant à autre d'autres ninjas qui venaient en aide aux monstres. La chaleur provenant de la lave était vraiment très étouffante. Naruto et les autres regrettaient l'humidité agréable des chutes. Après un temps de marche, Ahiko arriva finalement devant la structure que formait le laboratoire d'Alphys.

Sous les regards curieux des humains qui l'accompagnait, la Ketsui frappa à porte du laboratoire. Étonnement, ce dernier semblait fermer. Pourtant, si il y avait bien endroit qui nécessitait de l'aide dans ce gigantesque déménagement, c'était bien le laboratoire.

Derrière la porte, Ahiko termina par attendre des bruits de pas résonner jusqu'à l'entrée qui s'ouvrit finalement. Elle dévoila alors une Alphys complètement débordée, qui semblait en plein rangement.

— Euh besoin d'aide Alphys ? Demanda Ahiko.

— Ahaha non ça ira ! S'exclama la scientifique.

— Mais le laboratoire est gigantesque, protesta la blanche.

— Oui, mais il y a des choses que j'aimerais que les humains ne voient pas.

— Oh...

Il était vrai que les expérimentations d'Alphys n'étaient pas forcément une chose que les humains devaient voir. À cette période, les monstres étaient désespérés. Ils cherchaient par tout les moyens à maîtriser ce qui leur manquait, soit de la détermination. Les almagamates étaient alors nés.

Tous les peuples avaient leur sombre secret, et les expérimentations de la détermination sur les monstres faisaient parti de ces choses que Alphys ne souhaitait pas révéler. Cela avait déjà été suffisamment difficile de dire la vérité aux familles des almagamates, alors révéler cela aux monde ninja était une autre histoire.

Comprenant les enjeux derrières tout ça, Ahiko décida qu'il vallait mieux directement se rendre dans l'immeuble MTT.

— J'ai compris, dans ce cas, nous allons voir si Mettaton a besoin d'aide. On ne fera que passer par ton laboratoire pour accéder à la suite, dit alors Ahiko.

— Merci, je vous ouvre, signala Alphys.

Les humains qui suivaient la Ketsui ne comprenaient pas bien toute la situation, mais ils savaient qu'un laboratoire cachait bien souvent des secrets honteux que des peuples aimeraient bien garder cacher.

Personne ne protesta, parce qu'au fond tout le monde comprenait. Orochimaru avait fait des choses douteuses dans son laboratoire lui aussi et les grandes nations avaient elles aussi fait des expériences limite en terme de moralité.

Le groupe se contenta de suivre Ahiko sans un mot de plus, observant simplement ce qu'ils étaient autorisés à voir du laboratoire. Ils devaient bien avouer que ce n'était pas forcément bien rangée, mais le peu de technologie que pouvait montrer l'endroit soulignait l'avancée des monstres dans ce domaine.

— Je suis désolée de ne pas pouvoir vous accueillir dans mon laboratoire, s'excusa Alphys gênée.

— Ce n'est pas grave, il y a encore plein d'autres endroits à découvrir dans les souterrains, répondit Hotaru.

— Oui, elle a raison, il ne faut pas s'en faire pour nous, ajouta Sakura.

Alphys semblait être un personnage particulier. Enfin, les monstres étaient tous très particulier dans leur genre en soit. En fait, la scientifique royale paraissait très souvent angoissée et stressée, sûrement dû à son poste. Elle devait avoir eut beaucoup de pression.

Parfois, Ahiko était heureuse que Undyne soit présente pour Alphys. La femme poisson pourrait au moins calmer la scientifique face à toute cette attendre et cette pression qu'elle avait subit.

La blanche ne souhaitait pas angoisser Alphys plus. Elle partie rapidement, suivit du groupe. Les Amalgamates atteindraient encore un peu avant de révéler leur existence aux mondes.

Le groupe de ninja continuait à parcourir le Noyau, discutant joyeusement. Enfin, jusqu'à ce que le groupe arrive dans une pièce plus sombre et inquiétante.

Des toiles d'araignées partout au sol et dans les airs. Chacun se prenait sa dose de toile, agacée par ces files transparents et collant. Des rires resonnaient en fond, ne rassurant personne.

-— ous sommes ici sur le territoire de Muffet. Refusez tout ce qu'elle vous proposera où vous vous retrouverez avec une dette énorme sur son ardoise. Faites aussi attention à ses araignées, prevint Ahiko.

— Araignée ? Répéta Naruto.

Un frisson traversa chaque personne présente, alors que Muffet descendait elle et ses araignées, le long de toiles, pour arriver au niveau d'Ahiko. À part la Ketsui qui avait prit l'habitude de l'apparence du monstre, les autres devaient avouer qu'ils n'étaient pas très à l'aise. Ce sentiment était d'autant plus souligné par le décalage avec les vêtements de Muffet, qui eux étaient plus enfantin et mignon.

— Oh Ahiko tu as ramené tes amis, constata la monstre araignée.

— Oui, ils voulaient aider dans le déménagement, expliqua Ahiko.

— Vraiment ? Vous devriez prendre quelques gâteaux et un verre de thé pour pouvoir reprendre des forces.

— C'est gentil...commença Sakura.

— Mais non merci ! Coupa Ahiko.

-Non merci ? Et pourquoi ça ? Demanda Muffet.

— Parce que nous avons déjà mangé chez Grillby ! Et puis tu pourras faire fortune au dessus, dans le monde des humains ! Coupa Ahiko.

— Oh je vois, et oui, je compte bien faire affaire avec les humains, même s'ils sont radins.

— Qui est-ce que tu traites de radin ? S'exclama Naruto.

— Tu sais qu'elle n'a pas tord Naruto, souligna Sakura.

L'Uzumaki, au vu de sa tête, semblait se remémorer tout les moments où il avait été radin. Ça faisait mal de l'avouer, mais il fallait croire que c'était vrai. Le blond lâcha un soupire face à la réalité.

— Bon, on va y aller, Mettaton va sûrement avoir besoin de nous ! S'exclama Ahiko.

— N'hesitez pas à revenir pour une tasse de thé, murmura Muffet dans un dernier rire avant de disparaître dans la pénombre.

Un frisson parcoura une dernière fois le groupe, qui s'echappa le plus rapidement possible de cette drôle de pièce sombre.

— N'empêche, les gateaux des araignées sont vraiment bon, dit Naruto alors qui mangeait un cup cake.

À cette vue, le visage d'Ahiko devint livide. La jeune femme ne put qu'observer l'Uzumaki manger son gâteau sans rien dire. Alors c'était pour ça que Muffet, avait laissé les ninjas partir si facilement. La blanche imaginait déjà le montant qu'elle avait fixait pour ce pauvre cup cake. La paye de Naruto allait sûrement y passer.

— Mais quand est-ce que tu as eu ça Naruto ? Demanda Ahiko.

— Quand tu parlais à Muffet, une araignée m'a tendu un gâteau. Je pouvais pas refuser, répondit le blond.

Évidemment, le monstre avait profité de toute la politique diplomatique en jeu entre les monstres et les humains pour que Naruto ne puisse pas refuser la pâtisserie. Muffet était décidément vraiment fourbe.

— Je suis vraiment désolée pour toi Naruto si toute ta paie passe dans un malheureux cup cake, dit la Ketsui.

— Quoi ? Mais pourquoi ? Il est pourtant vraiment bon ce gâteau.

— Les pâtisseries de Muffet sont incroyable, mais elle est très à cheval sur l'argent qu'on lui doit et crois moi je suis certaine que ce gâteau n'était pas gratuit. Plus tu vas mettre du temps à payer, plus la somme va monter. Tout les monstres se sont déjà fait avoir une fois.

— Bravo espèce d'imbécile ! C'est pour ça que Ahiko nous avait prévenu ! S'exclama Sakura.

— Mais c'est super bon !

— Crétin ! Cria la Haruno en frappant son poing contre la tête de l'Uzumaki.

Une énième dispute éclata entre le duo de l'équipe sept sous les soupirs de Ahiko, Hotaru et Utakata. La blanche pensait qu'elle essaierait de négocier avec Muffet pour baisser le prix que Naruto devrait à la femme araignée. Peut-être que la kunoichi pourrait même faire disparaître la dette, mais ça elle en était moins sûre.

Finalement, le groupe reprit son petit voyage, toujours sous les cris de Naruto et Sakura. Ahiko, Hotaru et Utakaka ne prêtait même plus attention à leur dispute, ils commençaient à s'habituer.

— Dit Ahiko, est-ce que les monstres ont des choses si horrible que cela à cacher ? Demanda Hotaru.

— Hotaru, je pense qu'on est mal placé pour poser ce genre de question. Tout le monde à ses sombres secrets, et si les monstres ne veulent pas révéler les leur, on ne les forcera pas, réprimanda Utakata.

— Ça ne fait rien Utakata. Je comprends la curiosité de Hotaru. Qui ne serait pas curieux ? Je sais le genre d'expérience que Alphys a mené, mais je ne peux rien vous dire. C'est aux monstres de faire le premier pas sur ce sujet. Vous savez quand on est au fond du trou, on peut faire n'importe quoi, expliqua Ahiko.

La dernière phrase paru familière au groupe. Quelque soit le moment de leur vie, chacun avait connu un moment, où il faisait des choses stupide simplement pour revoir la lumière du jour, face une vie qui n'avait été qu'abysse. Que cela Naruto, Sakura, Hotaru ou Utakata, aucun n'avait eut une vie facile, surtout en tant que ninja.

— Je comprends, je suis désolée, murmura Hotaru.

— Cela ne fait rien, je suis contente de voir que tu t'intéresses aux monstres, répondit Ahiko.

La blonde souria à la remarque de son amie avant de continuer sa route. Rapidement, les ninjas firent face à un gigantesque building. Une multitude de shinobi de tout horizon s'activait autour, mais à part Ahiko, personne prêta attention aux mouvements autour.

La hauteur de l'immeuble était impressionnant et son design était vraiment spécial. Jamais, Naruto et les autres n'avaient vu ça. Même les ninjas qui travaillaient autour fixaient de temps à autre ce grand bâtiment. C'était vraiment très impressionnant à voir, mais au vu du peu de réaction d'Ahiko, c'était quelque chose de normale.

Les rares fois que les ninjas avaient vu ou entendu parler de Mettaton, ce dernier reflétait toujours une image très extravagante, qui ne passait jamais inaperçu. Ce building était à l'image du robot, rayonnant et impossible à manquer.

— Darling tu es là ! Résonna la voix robotique de Mettaton alors que ses bras vinrent enlacer avec énergie Ahiko.

La jeune femme se retrouva serrée contre le robot. Elle avait l'habitude des puissantes étreintes de Mettaton. Il lui disait toujours bonjour ainsi. Après quelques secondes, le monstre se décida enfin à lâcher Ahiko qui put enfin respirer normalement.

— Tu es venu m'aider dans ce grand déménagement darling ? Je vois que tu as emmené de l'aide supplémentaire. Super, plus on est de fou, plus on rit ! Allez suivez moi !

Le robot tira alors Ahiko par le bras. Elle était suivit de prêt par Naruto et les autres qui se demandaient bien ce que Mettaton pouvait préparer. Le groupe d'humain arriva rapidement sur un plateau télé.

La jeune femme comprit rapidement les intentions du monstre. La blanche se libéra alors rapidement de l'emprise de Mettaton. Le robot s'arrêta dans son élan quand il sentit que Ahiko venait de se détacher de lui.

— On n'est pas venu ici pour une de tes émissions Mettaton, dit Ahiko.

— Oh come on darling ! Aucun ninja ici ne veut participer à un épisode de mon émission ! Répondit le robot.

— Parce que nous sommes tous venus ici pour t'aider à déménager ! En plus avec quoi veux-tu filmer dans de telles conditions ? Je suis certaine que tu trouveras de meilleurs invités quand tu seras installé à l'extérieur !

Le monstre se mit à réfléchir quelques secondes. Personne ne semblait vraiment comprendre de quoi Ahiko et Mettaton discutaient, toutefois après quelques secondes, il semblait que le monstre avait abandonné son idée d'origine.

Le groupe de Naruto se mit alors à aider les ninjas déjà présent. La tour MTT avait plusieurs étages, de ce fait, son déménagement était assez complexe. Ajouter à cela, le fait qu'il y avait beaucoup de chose que les humains ne connaissaient pas dans ce qu'ils déplaçaient, et le building de Mettaton devenait un casse-tête sans fin. Les bulles de Utakata dans le transport aidaient énormément.

Ahiko restait à la disposition des ninjas qui avaient des questions. Hotaru avait continué de poser des questions sur la vie de la Ketsui dans les souterrains. La blanche avait alors confié que Mettaton avait surtout été son professeur de taïjutsu.

La blonde comprenait pourquoi. Le robot avait des capacités de combats au corps à corps vraiment très puissantes et originales. C'était un mélange de souplesse et de grâce. C'était un style de combat nouveau qui avait beaucoup déstabilisé les adversaires pendant la guerre.

— Oh darling, je me souviens de l'époque où nous faisions une émission autour de tes entraînements. Les téléspectateurs des souterrains adoraient cette émission ! S'exclama Mettaton.

— Oui je m'en souviens, l'émission était vraiment originale, répondit Ahiko.

— Tu as participé à des émissions Ahiko ? Demanda Hotaru surprise.

— Évidemment ! Dans les souterrains, Ahiko est une vedette ! Expliqua Mettaton.

— Whoua, un ange et une vedette. Tu as une sacrée réputation parmi les monstres, répondit la seule blonde.

— Un ange ? Répéta le robot.

— Ce..Ce n'est rien, j'ai expliqué la signification du deltarune et il semblerait que Hotaru aime me taquiner avec cela, dit Ahiko gênée.

— Mais enfin darling, il n'y a pas de quoi être gênée ! C'est la réalité, tu es notre ange sauveur ! Sans toi, mes audiences n'auraient jamais pu être aussi élevés ! Et maintenant je peux espérer fonder des projets parmi les humains ! Dit le cousin de Napstablook.

Ahiko jouait avec ses doigts de gêne. La jeune femme était particulièrement timide sur le fait qu'on l'élève à une personne divine qui aurait sauvé tous le monde. Elle était humaine, en aucunement parfaite. Sa détermination pouvait la rendre têtu, il lui arrivait de désespérer vite et elle ne prenait même pas forcément soin d'elle correctement. Toriel courait toujours après elle quand elle tombait malade.

En bref, elle avait des défauts comme n'importe quel humain et de ce fait, la Ketsui n'aimait pas qu'on l'élève parce qu'elle pourrait décevoir des gens.

La jeune femme pensait à tout cela alors qu'elle portait un carton rempli de toutes sortes d'objets venant des différents plateaux de télévision de Mettaton. La jeune femme se dirigea alors vers l'ascenseur, dans le but de rassembler l'ensemble de ces affaires avec les autres.

Alors qu'elle allait appuyer sur le bouton pour signaler à l'ascenseur de descendre, Ahiko aperçu Utakata dans la même situation qu'elle. Il avait un carton rempli à ras bord. Le brun se dirigea alors vers l'ascenseur, ayant eut la connaissance de ce à quoi servait l'appareil.

Le Jinchuriki rentra, puis Ahiko appuya sur le bouton de l'ascenseur. Aussitôt que les portes se refermaient, la Ketsui posa le carton à terre pour se soulager du poids. Elle s'appuya contre le mur, dans un soupire, pour soulager son corps. Le brun lui avait suivit la jeune femme, posant aussi sa boîte au sol. Le long kimono bleu de l'homme trenait au sol.

Un silence paisible planait dans l'ascenseur. Ahiko profitait du calme tandis que Utakata observait l'ascenseur autour de lui, étant quelque chose de nouveau pour lui.

C'était assez amusant de constater que des qu'ils étaient tout les deux seuls, l'ambiance autour du duo était paisible. Ahiko devait avouer qu'elle appréciait cette tranquillité. Elle écoutait le bruit de l'ascenseur descendants, profitant de cet environnement paisible.

— C'est assez étrange, commença Utakata.

— Étrange ? Répéta Ahiko.

— Cette atmosphère paisible à chaque fois qu'il n'y a que nous deux. Après tout, on dit que le silence est le cadeau des anges dont nous ne voulons plus, murmura le brun.

Ahiko se retrouva de nouveau embarrassée par le fait qu'on l'assimile à un ange. Elle n'aurait décidément pas dû en parler, du moins pas aujourd'hui. En fait, l'assimiler à un ange était beaucoup trop pour elle.

Comme elle le pensait avant de monter dans l'ascenseur, la jeune femme était humaine avant tout, elle ne voulait pas qu'on l'idéalise

— Je ne suis pas un ange, et puis comme tu le dis le silence est un cadeau des anges que personne ne veut. Même les anges sont devenus insignifiant aux yeux des gens, répondit Ahiko.

— Je le sais, j'ai bien compris que tu ne voulais pas qu'on t'idealises, tu as peur que les gens soient déçu ensuite, dit le senseï de Hotaru.

— Tu es toujours très perspicace.

— Mais quand quelqu'un a une certaine réputation, c'est qu'il l'a mérite en partie.

— N'importe qui aurait pu tomber dans les souterains et sauver les monstres.

— Six humains sont tombés avant, mais c'est toi qui a libéré les monstres. Tu te dévalorises sans cesse, mais tu as aussi tes mérites.

— Je... commença Ahiko.

— Tu as le droit d'être fière de ce que tu as fait. Tu dis que les anges sont insignifiants aux yeux des gens, mais ils ne le sont pas. Ils continuent de faire rêver les gens, comme toi tu l'as fait avec les monstres, et même si un ange devenait insignifiant, je ne l'abonnerais pas, parce que l'ombre est bien trop horrible à supporter, dit Utakata en regardant droit la blanche dans les yeux.

Le duo se fixait intensément. La dernière phrase de Utakata venait de faire rater un battement de cœur à Ahiko. Elle n'avait jamais ressenti cela auparant.

Une petite musique retentit dans l'ascenseur signe qu'il était enfin arrivé à destination. Pourtant, personne ne bougeait.

— Eh bien ? Vous ne sortez pas ? Résonna la voix de Hotaru.

Les paroles de la blonde firent sortir Ahiko de sa rêverie. Elle prit rapidement son carton pour sortir de l'ascenseur, complètement perturbée.

Bon sang, mais qu'est-ce que c'était que ça ?