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Chapitre IV : "L'annonce"

Mon dieu. Que faire quand votre roi est en proie à la folie? Enrôler de force ses propres habitants. Mais qui serait assez fou pour faire une chose pareille?

Moi- Mais, mon roi...!

Roi- Assez ! Hors de ma vue ! Je ne veux te revoir que le jour de l'annonce !

Moi- C... Comment?

Roi- Il me faudra quelqu'un qui ait déjà affronté plusieurs monstres seul pour pouvoir convaincre les habitants.

Moi- M... Mais c'est..!

Roi- Silence ! Maintenant, disparais !

Je quitte la grande salle du trône... Et une question me vient à l'esprit : "qui est le plus dangereux? Un monstre? Ou le roi?". Cette question me hantera à jamais. Je vais acheter une nouvelle épée...

Une fois la chose faite, quelqu'un me demande si je sais manier une épée... Il s'appelle Sébastian.

Moi- pourquoi veux tu savoir cela?

Sébastian- j'ai besoin d'aide... Il y à eu des disparitions, ces temps-ci...

Moi- ... Pourquoi ne pas en parler aux chevaliers?

Sébastian- et bien... dix-sept chevaliers sont allés enquêter... Aucun n'est revenu.

Moi- ...

Il me reste quelques jours avant l'annonce... Bah, je peux bien accepter gratuitement, le roi m'a donné de quoi acheter trois maisons, avec toutes mes missions. Contrairement à lui, je m'intéresse au peuple. 

Un jour plus tard, Sébastian et moi arrivons dans un endroit reculé et près d'une falaise... La nuit va bientôt tomber, mais le ciel est encore visible. Nous sommes à plus de cinq cents mètres d'un grand manoir, immense même. A ma connaissance, je n'en ai jamais vu un d'aussi grand. Il est en bord de falaise. Mais, c'est étrange, il a l'air abimé... Même d'aussi loin, on vois des murs écroulés ou des toitures ayant des trous...

Sébastian- C... C'est ce manoir. Je n'irais pas plus loin.

Moi- Pourquoi?

Sébastian- P-personne n'en n'est jamais revenu, mais on entend toujours des bruits quand on s'en approche... J'en dis qu'il est maudit !

Moi- Tu a déjà parlé au propriétaire?

Sébastian- on m'a parlé de lui, mais je ne l'ai jamais vu. On dis qu'il était un médecin chevronné et qu'il faisait tout pour sauver des vies. On m'a dis qu'il avait accueillit des malades pour les soigner, mais je ne sais pas s'ils sont morts de leur maladie ou bien de leur vieillesse.

Moi- Hum. Les chevaliers le voyaient, non?

Sébastian- J'ai accompagné les trois premiers, mais le portail était toujours fermé, ils devaient escalader. Les murs autours sont trop hauts pour être escaladés.

Moi- Drôle de docteur, cela ressemble à une prison.

Sébastian- Apparemment, c'était pour que les malades ne s'enfuient pas pour contaminer les gens dehors.

Moi- ....... Ils avaient quoi, comme maladie...?

Sébastian- Je ne sais pas, je n'ai jamais vu aucun d'entre eux....

Moi- Hhhh... Bon, reste ici, je vais voir. Le soleil se couche, essaye de faire un feu.

Génial, si je ne meurt pas à cause d'un monstre, la maladie le fera. Je suis fou d'accepter, ce type ne me paye même pas. Non, ne pense plus à l'argent ! Pense au bien des habitants. Bon, mon corps est forgé, vu tout les monstres mortels que j'ai combattu. Un peu d'escalade ne peut pas me faire peur.

Un médecin qui vit dans un manoir qui pourrait insulter celui d'un prince, des malades jamais vus et des chevaliers qui ne reviennent pas. Il y a trop de personnes impliquées pour que ce soit une simple coïncidence. Profitons des derniers rayons de soleil pour chercher des indices.

Une fois devant le portail, les rayons de soleil me fuient. Non non, il ne fait pas nuit, il s'est juste mis a pleuvoir. Oh, et d'après la brève apparition de lumière accompagnée d'un bruit assourdissant, il s'agit d'un orage. J'escalade le portail... L'investigation des lieux commence.

Une fois de l'autre coté, je regarde un immense jardin pourri. On dirais qu'il y a des sortes d'outils faits pour amuser les enfants, mais ils sont cassés et rouillés. Cela rend l'ambiance angoissante : "que s'est-il passé ici?"... Je regarde ailleurs... Je ne vois personne. Mais c'est peut-être parce que c'est grand...

Tiens? Une Cabane pour chien. Pendant un instant, je me suis dis "je vais m'y abriter le temps que la pluie passe", mais je me rappelle que je suis humain, et le propriétaire risque de ne pas être content de voir un intrus dans sa cabane. Alors que je réfléchissait à ce que pourrait bien dire un chien en me voyant dedans, je remarque... Des sortes de... Traces. La pluie m'aide à les relever, on dirais une trainée de boue. Cela part de la cabane? On a trainé le chien? Non, cela semble plus gros... Un homme? 

Après avoir suivi la trainée de boue, je m'aperçois que je me trompait : c'était le chien. Mais je doute que ses intestins à l'air ou bien ses cotes perforant sa chaire lui permettent de retourner s'abriter. Tout y passe, boyaux comme organes, je vois que sa cage thoracique a sautée et qu'elle a refusée de soutenir quoi que ce soit, ses poumons ont même divorcés. Son museau a réussit à disparaître et sa gorge semble s'être ouverte, mais je ne sais pas ce qui a pu le permettre. Sa jambe droite et son dos semblent étrangement ondulées, Quelque chose de louche l'a attaqué.

Ce chien a eu une mort atroce, je trouverais le coupable et lui passerait moi même la corde autours du cou. Il a perdu beaucoup de sa peau, je ne me l'explique pas... On dirais que des loups sont venus le grignoter. Mais c'est impossible, si les malades ne peuvent pas sortir eux-mêmes...

Minute. ça parait fou, mais... Je regarde sa gorge... Ce n'est pas un couteau qui a fait ça... Je regarde ma main... Je la fait imiter la forme de ma bouche et la rapproche de la gorge de ce pauvre chien de garde... Malheur. ça coïncide. Je me relève et jette un œil aux alentours, pour être sûr d'être seul... Oui, je suis seul. Ce pauvre chien a souffert, mais il a réussit par delà sa mort à m'indiquer le coupable, une trainée de sang continue le chemin. Je la suit.

Qu'est-ce qui a pu arriver...? Le chemin continue entre un mur et, non loin, une fenêtre brisée donnant sur une chambre du manoir... Je ne vois pas grand chose à l'intérieur... Un éclair envoie un flash de lumière et me fait peur en éclairant un squelette !

Moi- WAH !! hhh ! hhh ! Fiouuuu...

je reprend mon calme... Un squelette debout? Ingénieux, ce médecin, il l'a ficelé pour connaître aisément la position de chaque os du corps humain... Mais bon, où est-il, que je lui parle de sa brillante idée en face à face? Sans oublier le chien. 

Alors que je repart, je ne remarque pas qu'une main décharnée s'appuie lentement sur le bord de la fenêtre...

Courage, Aruego, tu fais ça pour Camelot. Pitié dieu ne me fait plus sursauter ainsi. La trainée de sang diminue, la pluie essaye maintenant de m'empêcher de continuer mes recherches... Un chien mort, un squelette debout, la pluie qui dilue le sang... Dieu m'envoie un signe, hein? Non, je ne tournerait pas le dos à Sébastian et à ce pauvre chien. 

J'arrive dans la grande cour intérieure... J'aperçois des formes disséminées. Un éclair m'indique que ce sont des personnes... J'essaye de les appeler, mais ils ne m'entendent pas... Surement la pluie.

Moi- Hey ! Excusez moi ! 

Ils se retournent vers moi... Ils sont louches. Ils ne parlent pas. Je n'entend que de vagues bruits, mais leur apparence est étrange. Oh. Ils se mettent a avancer vite, tous vers moi. Je sors mon épée car vu ce qu'ils ont fait au chien, ils ne sont sûrement pas amicaux avec ceux qui font du bruit. Je leur somme de s'arrêter, mais ils ne font qu'avancer en faisant plus de bruit...!

Soudain, J'aperçois une silhouette escaladant les fondations en face, un éclair la rend terrifiante, elle hurle comme pour prévenir d'autres silhouettes ! Je recule pour éviter ceux devant moi... Leurs corps ! Ils sont comme décharnés ! Malédiction, on dirais des pestiférés ! Je recule jusqu'au mur, mais je vois que d'autres pestiférés au loin courent vers moi, ceux-là peuvent courir, et ils sont assez rapides !

Le stress monte, les coureurs se rapprochent en poussant des grands cris ! Je me retourne et me met à courir sans attendre ! un autre pestiféré, il vient de la fenêtre cassée par laquelle j'ai vu le squelette !

Moi- RGH ! Pousse toi !

Il ne fait qu'avancer un peu plus...!! Je perd du temps !

Moi- Dégage !

Je panique ! Je le tranche en deux et fonce ! Je cours droit devant et arrive à la fenêtre brisée ! Je tourne la tête, trois d'entre eux sont de sacrés coureurs, et les autres avancent de plus en plus vite ! Je passe par la fenêtre ! Je vois quelqu'un sur une chaise ! Ses jambes ont été rongées jusqu'à l'os, je lui coupe la tête pour être sûr qu'il ne me fasse rien ! J'avance jusqu'à la porte, ceux de dehors arrivent, je le sens...! C'est fermé !

Je donne un coup à la porte ! Un deuxième ! Je l'enfonce ! Je la claque derrière moi et déplace un meuble non loin pour les empêcher de faire comme moi ! Malédiction, il y en a aussi à l'intérieur ! J'entend du bruit venant de la porte que j'ai bloquée, les pestiférés vont bientôt la démolir ! Un autre arrive vers moi, je lui coupe la tête ! Leurs réflexes d'esquive semblent amoindris...! Une main perfore la porte que j'ai condamnée, je me remet à courir !

Ils finissent par la détruire ! Je monte un escalier, ils sont dix à me courir après ! J'en vois un au premier étage qui porte une armure ! Sûrement un des chevaliers ! Je le prend et le jette sur mes poursuivants, Je ne préfère pas abimer mon épée sur lui ! Je fonce jusqu'au bout d'un couloir et jette un œil en arrière, ils sont plus d'une vingtaine à se bousculer pour m'avoir ! J'arrive au bout ! l'un d'eux me surprend et me saute dessus, il était isolé !

Il essaye de me mordre a la gorge, je le retiens difficilement...! J'essaye d'attraper mon épée...! Les autres arrivent...!! L'épée est trop loin, je lui met une droite pour le repousser ! je reprend mon épée et lui coupe le haut du corps ! je me remet à courir aussi vite que je peux ! leurs hurlements sont terrifiants !! J'arrive au bout d'un autre couloir ! Je tourne immédiatement ! Personne ! Je ramasse un vase brisé, ouvre une pièce en faisant attention, puis jette le vase contre la fenêtre du couloir !

Je rentre dans la pièce, referme et cale silencieusement avec un meuble... Les pestiférés pensent que je suis partis par la fenêtre, j'entend leur hurlement a glacer le sang s'atténuer... Je sens que la nuit va être longue. Peu de temps après, quand je n'entend plus de bruit, je libère l'accès a ma pièce et en sort... Maintenant que je ne suis plus poursuivi, je peux voir que les couloirs sont ravagés.

Je vois sur un mur des nombres de jours passés ici inscrits avec du sang. Merci, Sébastian, maintenant je sais que la prochaine fois je demanderais de l'argent. Ils m'ont attaqués par surprise, j'ai paniqué, mais maintenant je sais qu'ils sont aussi solides que n'importe quel homme, rien qui ne puisse effrayer mon épée. Cependant, me faire attraper serait très dangereux, je ne peux pas tous les tuer...

Ils se regroupent avec le bruit, c'est pour ça que lorsque j'ai fracassée la porte, ils arrivaient en masse. Ils ne voient pas très loin, sinon ils auraient vu que je n'était pas dehors. Ils ont autant de force que moi, mais leurs réflexes sont amoindris. Et un crochet du droit les repousse, comme tout le monde.

Réfléchis, Aruego... Comment des pestiférés peuvent en arriver là? ça n'affecte que le corps, pas l'esprit, et je ne pense pas qu'un médecin prenne le risque de soigner des pestiférés cannibales et déjà décharnés.

L'un d'eux arrive, je lui coupe la tête... Dehors, la nuit est tombée... Je préfère tuer les gros monstres de quatre mètres de haut... Eux, encore, ils ne peuvent pas me surprendre.

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