Partie 6 : Brigitte
Xavier et Lucas arrivèrent dans une petite pièce, seul une table et trois chaises étaient installées dans la pièce. Lucas dirigea sa main à sa tête, sans doute avait-il mal supportait le voyage se dit Xavier qui l'avait remarqué. Lucas se baissa, s'allongea par terre et perdit connaissance. Xavier s'assit sur une des chaises qui faisait face au bureau. Il attendit quelques minutes avant qu'une femme assise sur un fauteuil roulant fit irruption dans la pièce. L'infirmière qui l'aidait l'installa face à lui.
– Bonjour Brigitte, s'exclama Xavier.
– Bonjour ! dit-elle d'un ton dur et ferme qui montrait qu'elle ne laisserait passer aucune faiblesse et qu'elle était forte.
– Dites-moi la vérité et dites à votre infirmière...
– Elle restera, et elle se tourna vers son infirmière et lui ordonna, reste et écoute bien !
– Brigitte, je vais vous le redemander gentiment, dites-moi la vérité !
– Je vous l'ai déjà dit cette vérité !
Et la vielle femme s'endormit sur son siège
– Mais que fait ce jeune homme par terre ? demanda l'infirmière qui prit Lucas et sortit de la salle avec le corps.
– Aaaaaaaaaaaah ! hurla la femme qui venait de se réveiller soudainement.
– Nous voilà seule maintenant ! Je sais que vous m'avez menti la dernière fois !
– Où est Bénédicte ? demanda la femme qui ne prêtait pas attention à ce que disait Xavier.
– Je sais où se trouve votre fille ! hurla Xavier.
La femme se tourna vers lui, éclata en sanglots et hurla à son tour :
– Où est-elle désormais ?
– Oh ! Non, je suis désolé !
– Ce n'est rien, la femme essuya les lourdes larmes d'un revers de sa main et essaya de retrouver une mine dure et sérieuse.
– Vous devez pour savoir où se trouve votre fille...
– Attendait vous ne le savez pas ?
– Si...si ! Racontait moi l'histoire de votre famille en fin votre histoire mais dites moi la vérité rien que la vérité !
Brigitte baissa la tête et commença à parler :
– Je suis née en 1950 à Catilleul, une ville où la magie n'est pas source peu courante ! Je faisais partie d'une famille la plus haut placée dans la société. Mon père était le roi de la magie et ma mère s'occupait de l'hôpital où nous nous trouvons à l'instant même, d'ailleurs ils exercent toujours les mêmes professions encore aujourd'hui. Ma famille c'est une longue histoire ! Pour commencer, je n'ai jamais su pourquoi la plupart des membres de ma famille dont moi vivons plus de cent ans voir plus de mille et peuvent avoir des enfants à l'âge de quinze ans jusqu'à notre mort. En 1999, je rencontra mon mari, il s'appelait Michel, je ne sais pas s'il est mort, se fut rapidement un amour parfait pou nous deux si bien que nous avons eut un enfant une année après notre formidable rencontre ! Nous décidions de l'appeler Karine. Par la suite...
– Attendais Karine est votre fille ? l'interrompu Xavier.
– Oui ! Et éviter de me couper la parole, j'ai horreur de ça ! Par la suite, notre fille qui avait 5 ans disparu lors d'une après-midi, je m'étais assoupie quelques instants seulement et elle s'était volatilisée dans la nature. Pouf ! Je pensais à une fugue mais lui Michel pansait à un enlèvement. Il se mit en colère car je devais la garder sous les yeux. Bien évidemment je ne lui est pas révéler que je m'était endormie. Je croyais et j'avais espoir que notre dispute ne dure pas longtemps mais la vie en avait décider autrement quand il ne me faisait pas des reproches c'étaient des tentatives de meurtres : en clair il essaya de me tuer plus d'une fois ! Cela me brisa énormément. Un jour, je décida..., sa voix se brisa, elle ravala sa salive et lâcha une larme ou deux et reprit son récit. Un jour, je décida de partir, je ne pouvais plus le supportait. Peut être était son plan de me montrer que je n'étais pas finalement une bonne personne. Je n'avais nulle par où allait quand il m'était venu une idée. Mes parents étaient encore très jeune, à peine la cinquantaine, je décida de me rendre chez eux. Le portail, à l'époque, était de l'autre coté de l'autoroute dans une forêt. Je ne pouvais pas me permettre de contourner la route cela aurait pris trop de temps. Je vérifia qu'il n'y avait aucune voiture, prit mon courage à deux mains et commença ma traversée. Je passa la première voie sans grande difficulté mais quand il dut s'agir de traverser la seconde voie je fis moins attention et un camion me rentra de plein fouet dans les jambes car je mettais jeter sur le coté de la voie. Je me souviens d'avoir vus mes jambes partir d'un coté et de l'horrible claquement que j'avais entendu. A mon réveil était posé à coté de moi ma mère qui s'appelait...à zut ! Bon ce n'est pas grave cela va finir par revenir. Elle m'apprit que je ne pourrais plus marcher et que j'utiliserait désormais un fauteuil roulant. Waouh ! Cela vient de me revenir ma mère s'appelait Claire Nuiti !
Et la pauvre femme, qui venait de revivre les pires moments de sa vie, s'évanouit en glissant de son siège et de finir sa chute au sol dans un lourd bruit.
Xavier avait tout de suite appelait l'infirmière, la soi-disant Bénédict, avait accouru rapidement. Elle avait dans sa main droite un pot de sel. Elle réveilla Brigitte et l'aida à se relever.
– Où est mon ami ? demanda Xavier.
– Dans la chambre, l'infirmière prit quelques secondes de réflexion. Dans la chambre 375-586, cinquième étage, vous trouverez et au fait les num...
– Merci !
Et Xavier se hâta de sortir de la pièce pour retrouvait rapidement son ami. Il gravit les étages un à un au pas d'un léopard avant de se rencontre qu'il venait de se perdre. Aucun panneau n'indiquait le numéro de l'étage où se trouvait Xavier. Il s'approcha d'une fenêtre pour savoir à quelle hauteur il était environ. Oh ! Stupeur ! C'étaient des sortes de fenêtres artificiels. Il allait redescendre tous les étages et comptait les étages avec plus d'attention quand il se rendit compte que le numéro des chambres était écrit sur les portes. Houra ! Il inspecta l'inscription de la première, coups de chance il tomba immédiatement sur la bonne. Il toqua, pas de réponse sauf un petit cri étouffé auquel il ne préta pas grande attention. Il ouvrit la porte et entra dans la pièce.
Berk ! Une odeur épouvantable pénétra dans les narines de Xavier. La pièce était peu éclairer. Il sortit sa lampe de sa poche et commença à scruter les profondeurs de la chambre. Il n'y avait aucune trace de Lucas. Il mit sa lampe dans sa bouche et retourna armoire, draps et toutes autres affaires qui se trouvaient à la disposition des ses mains. Aucune trace de son ami. Il sortit de la pièce et descendit les escaliers, il arriva à l'étage d'où il était arrivé plein de rage qui bouillonnait dans sa tête. Bénédicte était là ! Elle se tenait assise sur une chaise, les yeux rivaient sur une lettre, elle ne prêtait aucune attention à ce qu'il se passait autour d'elle.
– Et toi ! l'interpella Xavier. Tu m'as menti où est Lucas ?
– Hein ! Bénédicte leva la tête et se mit à pouffer de rire avant de répondre qu'il se trouvait belle et bien quelques parts dans l'hôpital.
– Je ne rigole pas !
– Moi si ! Et tu sais quoi ? J'étais entrain justement de lire cette lettre, elle montra bien le papier à Xavier, elle indiquait que je pourrais tuer ceux qui me gênent lors de ma mission. Et tu en es justement un !
La femme arrêta de rire, de parler et sortit de sa poche une clé USB.
– Laisse-moi t'enfoncer ça dans la cervelle ! Tu verras cela ne te fera aucun mal ! Enfin beaucoup je voulais plutôt dire !
Bénédict se leva de sa chaise. Xavier tenta une tentative désespérée. Il donna un coup de poing dans la figure de la femme. Elle ne bougea pas d'un pas mais lui poussa un hurlement, sa main était tout ensanglantée !
– Non ! hurla-t-il de douleur.
– Ah, ah, ah ! Tu es sot ! s'amusa la femme.
Elle fit semblant de lever le pied, Xavier tomba à la renverse de terreur. Elle le prit d'un bras et commença à enfoncer la clé USB dans la tête de Xavier à l'aide de son deuxième bras. Xavier hurla encore plus fort, le métal commençait à chauffer, ses yeux à se remplir de larmes ; des larmes de sang ! Sa vue commença à se brouiller quand la douleur s'arrêta ! Lucas se tenait face à lui. Une femme qui lui était inconnu se tenait juste derrière son ami. Sa vue était trop flou pour se faire une image correcte de la personne. Il sourit puis sa vue se brouilla.
A son réveil, il était dans une des chambres de l'hôpital, sur son lit était assis Lucas. Il lui souriait. A coté de sa couchette était assise sur son fauteuil roulant Brigitte, elle dormait à poing fermait. Dehors le paysage était magnifique enfin l'espèce d'écran.
– Tu es enfin réveillé ! Comment te sens-tu ? lui-demanda Lucas.
– Bien !
– Brigitte voulait te le dire elle-même mais tu le vois elle s'est endormie. Deux jours que tu dors ça se comprend ! D'ailleurs moi aussi je devrai aller me coucher maintenant que je sais que tu es en bonne santé. Enfin...bref ! Elle voulait te dire que la responsable de l'hôpital, soit sa mère, Claire. Si j'ai bien compris. Donc, cette personne aimerait nous voir tous les trois pour un entretien !
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