Partie 3 : Karine
Elle avait criée et l'homme l'avait giflé, voici les mots qui tourner dans la tête de Karine. Elle était allongée sur une banquette à l'intérieur de la bibliothèque. Celle-ci était fermé depuis bien des heures. Lucas, ou plutôt l'étranger, l'avait retrouvé. Xavier s'était fait arrêter et Karine avait perdu son médaillon, seule souvenir qui la rattachait à sa famille dont elle s'était enfuie à l'âge de 15 ans et ne se souvenait plus. Cela faisait plus de quatre heures qu'elle était maintenue là quand, enfin, elle put sortir et rentrer chez elle. Elle pensa qu'il y a quelques heures, seulement, elle avait envie de rentrer, et que maintenant elle voulait en savoir plus sur son collier. Sur le chemin, entre la bibliothèque et chez elle, elle repensa à la discussion qu'elle avait eu avec ce Xavier. En même temps, elle voulait l'aider mais aussi l'empêcher d'en savoir plus sur elle et son collier. Dehors, elle avait l'impression que le problème dont elle faisait face était pareil pour tout le monde sur Terre mais elle se rendit bien compte que la vie continuait normalement et paisiblement sans elle. Une fois rentré chez elle, elle finit son rapport, écrivit sa démission à son poste de bibliothécaire et réserva des billets de train pour partir loin très loin !
Le mardi suivant, elle se rendit à la gare, sa valise à la main droite et son ticket dans l'autre. Elle avança tranquillement sur le quai, quand tout à coup, Karine eut l'impression que quelqu'un l'espionner, elle le sentait comme un vent froid et chaud qui soufflait sur que sur elle ! Cette impression ne dura qu'un court instant. Une fois cette sensation passée, elle se décida de monter dans la voiture du train.
Le trajet fut de courte durée pour Karine, une fois la première gare franchie, elle se décida, à descendre. Cette gare était tellement peu réputée qu'elle fut la seule personne à en descendre. Elle se dépêcha de sortir de la gare. Une fois dehors, elle demanda un taxi.
Le soir à l'hôtel, elle reçut une lettre. Celle-ci disait :
Chère Karine,
Je vais être très clair !
Donne-moi le médaillon !
Plus tu tardes, plus tu as de problèmes !
Tu ne me connais pas !
Luhce
Cela était tout, Karine réfléchissait, qui cela pouvait-il être ? Personne, disait la lettre ! Elle s'assit sur son lit s'allongea et s'endormie.
Je trouvai le temps long. La nuit, le froid, le fatigue, je ne pouvais pas réfléchir. Xull, le forgeron, ne m'avait pas fourni le médaillon que je lui avait demandé. Un collier que l'on pourrait ouvrir seulement avec une clé. Je trouvai cela fort, très fort ! La chaine devait être en or, tout comme le coffret qui contiendrai, une horloge de poche ou tout autre chose. Je décida de me rendre chez Xull quand un énorme coup de vent arriva, je tomba à la renverse.
Karine se réveilla en sursaut, quelqu'un toquait à la porte. Qui cela pouvait-il être ? Elle se leva et ouvrit la porte. Elle prit quelques instants avant de s'habituer à la lumière aveuglante. Karine se rendit compte que ce n'était qu'un serveur qui lui ramenait un plateau avec un verre d'eau posé dessus.
– Pourquoi m'amener vous ce plateau, demanda-t-elle.
– Vous l'avez commandé, dit-il d'un ton exaspéré.
Karine ne batailla pas, elle prit le plateau point barre ! Celui-ci contenait un verre d'eau et une lettre. Elle remercia le serveur, alluma la lumière de sa chambre er referma sa porte. Elle prit le mot et lâcha le plateau qui s'écrasa sur le sol. Elle prit la lettre, l'ouvrit et lut :
Chère Karine,
Tu es en retard !
Je t'attend en bas !
Dépêche-toi !
Il te reste cinq minutes !
Luhce
Elle lâcha la lettre, elle n'y croyait pas du tout. Ce ne fut que vers onze heures qu'elle prit au sérieux le message. Elle était descendue au buffet et là, deux hommes se tenait, armé, dans la salle. Elle remonta rapidement dans sa chambre et s'enferma à double tour. Quelques heures plus tard, quelqu'un toqua à la porte. Elle décida de ne pas répondre, de ne pas ouvrir, de ne pas faire de bruits. Un mot glissa sous la porte, elle entendit les bruits de pas s'éloigner de celle-ci. Elle se leva toute tremblante. Elle se pencha et ramassa la lettre au sol. Elle l'ouvrit et lut :
Je m'appelle Xavier ! Je m'excuse pour la gifle de l'autre jour. J'ai besoin de te parler, viens dans la chambre 333 de l'hôtel. Attention ! Commande un hot-dog et surtout attend demain pour venir me voir ! Je sais qui tu es !
C'est sur ces mots que la lettre s'achevait et que l'excitation, d'en savoir plus, de Karine augmentait. S'il savait qui elle était alors elle saurait enfin la signification et le moyen d'ouvrir son médaillon. Elle suivit à la lettre les instructions de l'homme : elle décida de ne pas sortir de sa chambre de la journée et de commander un hot-dog. Elle attendit quelques minutes, avant de se dire qu'il y avait un gros problème ! Quand soudain, quelqu'un toqua à la porte. Elle hésita à ouvrir puis se dit que non, c'était surement un piège. Elle prit son téléphone et composa un message avant de le faire parler à un avatar. Il dit :
– Je suis désolé mais je crois que vous vous êtes trompés de chambre.
Ouf ! Elle avait eu peur ! Plus une mouche volée. Pas un bruit ! Karine s'allongea et décida de s'endormir. Elle se réveilla à minuit pile, pas une seconde de plus ni de moins ! Elle le sentait, c'était un signe du destin. Elle se leva et se rendit, comme indiquer sur le mot, à la chambre 333 et elle toqua. Aucune réponse ! Elle retenta son coup ! Toujours rien ! Elle hésita à baisser la poignée, elle réfléchit quelques secondes et elle se décida, enfin, à ouvrir cette porte. Il faisait noir, elle se pencha et tomba dans un long trou. Elle hurla mais personne ne l'entendu. La porte se referma comme par enchantement.
Lucie était arrivée quelques jours plutôt, elle avait d'abord étudier les droits puis elle avait décidé d'arrêter et de se lancer dans la chasse à L'Homme. Dernièrement, elle suivait une jeune femme, elle étudier ces moindres gestes et actions. Elle l'avait suivi et s'était retrouvé là ! Elle lui avait envoyé plusieurs mots, elle était bien renseignée, pour la faire sortir de sa tanière. Trois heures ! Elle se décida à se rendre chez elle, enfoncé la porte s'il elle ne répondait pas et de la tuer pour enfin rentrer chez elle, triomphante. Elle attendit quatre heures, heure à laquelle ouvre l'hôtel. Lucie se leva, prit son pistolet caché dans sa table de chevet. Elle sortit de sa chambre et appela un ascenseur. Une fois qu'il arriva, elle monta dedans, personne ! Elle appuie sur l'un des boutons pour pouvoir monter aux étages supérieurs. Une fois arrivée, elle sortit dans le couloir et chercha le numéro de la chambre 423. 419, 420, 421, 422...423 ! Elle l'avait trouvé ! Lucie donna deux petit et légers coups à la porte. Aucune réponse ! Pas de bruits de draps ! Pas de sons ! Est-elle partie ? Elle se décida de baisser la poignée, la porte s'ouvrit facilement. Lucie sortit son arme et tira deux coups dans le matelas. Elle avança dans la chambre toujours sur ces gardes, souleva la couverture et là personne...
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