Partie 1 : Michel
Cette après-midi-là, le vent, la pluie et le froid avait bloqué et givré les routes de toute la ville, seuls les trains circulaient normalement. On se trouvait à Bordeaux qui avait été conquis par les Espagnols. Dans son logis, Michel avait allumé toutes les lampes de la vielle et lugubre maison. Il était d'origine espagnole, son père avait pendant des années battues les Français et son grand-père avant lui avant de finir assassiner. Sa mère avait cherché pendant des années de cacher son fils et de le préserver de la mort. Ces parents, avait tout deux périe mais nous en reparlerons plus tard. Par la suite, il avait organisé une révolte contre la France et avait gagné une ville : Bordeaux. Ainsi, il devint riche et avec le temps la population l'oublia. Le but de Michel, était de retrouvé comment Jack le plus fort des capitaines avait disparu. Il savait qu'il avait laissé des traces à plusieurs de ces héritiers. Un de ceux-ci s'était fait arrêter par Charles XI. Depuis plus d'un an, Michel avait repris le vieux logis en quête de traces de Jack. Quand il avait du temps libre, ils prenaient tous les coffres, tiroirs, armoires et papiers pour les analyser un par un. Ils les triaient ensuite par dossier dans une pièce qui était un charment bureau à son arrivée et qui contenait maintenant des tas de paperasse. Comme chaque jour, il se mit au travail. Il commença par le bureau qu'il avait entamé la veille. Il inspecta chaque feuille une à une. Quand soudain, un détail sur l'une d'entre elles, l'intrigua. Il prit la feuille et lut à haute voix : La chasse au trésor est ouverte. Il arrivait bientôt au but, il le sentait. Il parcouru le papier, rien, à part cette phrase, la feuille était vierge. Il la prit de rage, l'amena à la salle des milliers de papier et la jeta énerver sur le haut du tas. Celui-ci, qui était mal formés s'effondra, révélant une ouverture dans le mur. Il se pencha ! Il inspira ! Expira ! Regarda à travers le trou. Il était profond ! Il se releva, couru dans sa salle à outils. Prit une masse et revint ! Il la jeta ensuite de toutes ses forces sur le trou. Celle-ci fît effondrer le mur, laissant la place à un large et profond trou. Il s'allongea, respira un instant et se lança. Il avait l'impression de juter dans un tobogan noir. Il se rappât le coude. Puis tout s'arrêta. Sur le côté de l'ouverture, il y avait un bougeoir encore allumé. Il le prit sans se poser la moindre question. Il partit ensuite au milieu de la salle. Il y avait un bureau. Michel posa la lampe sur la table et inspecta celle-ci. Sur ce bureau était posé un carnet et une lettre. Il prît tout d'abord la lettre, de ses mains tremblantes, et l'ouvrit. Il y découvrit un texte écrit soigneusement. L'homme ne sachant pas lire dans sa tête lut à haute voix :
A celui qui lira cette lettre,
Mes dernières heures sont comptées avant mon grand départ vers l'île interdite. Est-ce qu'il y a des gens qui vivent là-bas ? Je sais juste le nombre d'homme qui m'accompagneront. Ils seront 500. Mes marins sont en ce moment en train de s'entrainé. Si cette lettre n'a pas été détruite, c'est que je suis mort d'une quelque qu'onc manière. Je ne connais point vos moyens de communication. Si toi qui lis cette lettre, tu ne me connais pas, pardon ! Voici mon histoire : Je suis né le 15 octobre 1577 à Bordeaux ! Mon grand-père m'a appris les bases principales d'un marin pour que je parcoure la mer seul ou à plusieurs. Très vite, je suis parti en voyage avec lui. J'étais très fière car pour la première fois je pouvais naviguée le navire et tenir la barre. Malheureusement, lors d'une terrible tempête, le mat se craqua et s'effondra sur mon grand-père. J'étais terriblement triste ! Ainsi, je décida de ne pas me laisser m'abattre et de continuer ma destiné de marin. Je rentra au port, après avoir jeté la dépouille de mon grand-père, je tua ma grand-mère que je haïssais. Par la suite, j'organisa une révolte contre Charles 3 que je tua. Je nomma une personne de confiance. Il me nomma par la suite à la tête d'une expédition, ce que je ne savais pas encore c'est qu'il allait se débarrasser de moi. Avant de partir en mission, je cacha un trésor que tu ne trouveras pas. Je termine cette lettre avec ces quelques mots : adieu !
Jack, le marin qui parcoure tous les globes.
Michel lâcha la lettre, prit le carnet et commença à le lire. Il lut :
Samedi 2 mars 1613 :
Je me suis fait avoir ! Mes camarades de voyage et moi furent attaqué par la population locale ! Malgré un combat dur et long, nous perdions et seul moi fut le seul à survivre. Ils m'embarquèrent dans une cage vers leur campement. Quelques heures plus tard, ils me firent rencontrer leur chef. Je parla longtemps avec lui puis il décida de me relâcher. Le soir, je mangea avec eux, autour de leur feu.
Dimanche 03 mars 1613 :
Ce matin, je me réveilla, ils sont déjà partis ! Au sol, ils ne m'ont laissé que deux bananes, une machette et une lance. Après un copieux petit déjeuner, je parti dans la forêt, ma machette dans la main droite et ma lance dans l'autre.
Michel releva la tête, que du blabla pensa-t-il, il feuilleta le livre et se rendit directement à la dernière page. Il lut :
Dimanche 31 juillet 1616 :
Je me suis perdu, il ne me reste que mes habits, il pleut très fort ! J'ai du mal à écrire ! Je ne renonce pas, je continu. Je me dis que j'arrive bientôt mais cela va faire 3 ans que je suis rentré dans cette maudite forêt. Enfin j'en sort, le soleil m'éblouie et me fait mal aux yeux. Face à moi, la plage, la mer, l'océan. Au large, aucune trace de mon magnifique vaisseau. Seule une barque reste. Je monte dedans et je m'éloigne en direction de l'horizon.
Samedi 31 décembre 1616 :
Ça y est, c'est la fin ! J'ai froid ! Je cache ce carnet dans le coffre que je laisserai dans la barque en espérant que quelqu'un le trouve. Adieu !
Michel releva sa tête, il avait entendu un bruit ! Il jeta le carnet. La lueur de la bougie commençait à fortement diminuer ! Il repartie vers là d'où il était arrivé. Devant, il se rendit compte qu'il ne pourrait pas remonter. Il devait bien exister un autre moyen de sortir, vu que Jack y était parvenu, pensa-t-il. Il sortit de sa poche une torche électrique et visita la cave. Il y découvrit un passage dissimulé derrière une armoire révélant des escaliers grimpant sans doute vers la surface. Il escalada les marches très rapidement. Malheureusement, il fut arrêté par une grande grille. Derrière elle, il y avait un couloir désaffecter. A ce moment-là, un homme passa et lui demanda :
- Ben ! Qu'est-ce que tu fais là ?
- Je suis bloquée ! Pourrais-tu m'aider ? lui demanda-t-il.
- Ah ! Ok, il posa la bouteille qu'il tenait à la main et sa sacoche, tu es prêt ?
L'homme poussa de toutes ses forces. Au début Michel avait l'impression que la personne n'arriverai pas mais par la suite, la grille se décrocha dans un horrible grincement. Le métal qui devait être rouiller, céda ! Cela fut un tel vacarme que Michel fut étonné que personne de très curieux vienne voir ce qui se passe. De plus, l'homme sortit de sa sacoche une grenade et la jeta dans les escaliers. L'homme reprit ses affaires et prit ses jambes à son cou ! Michel le suivit mais fut distancer très rapidement. Heureusement, il réussit à sortir à temps juste avant d'entendre une grosse explosion et de voir se faire effondrer sa maison et la gare, il était 18h00. La police l'attendait plus loin. Il ne protesta pas quand la policière lui passa les menottes aux mains.
Quelques mois plus tard, l'autre homme fut retrouvé et juger avant de se faire pendre. Seulement, Jack n'était pas mort sur une barque. Son trésor n'était pas faux. Jack était revenu vivant de son voyage. Le carnet et la lettre étaient des faux papiers. Ils témoignaient juste de l'aventure qu'avait sans doute vécu le marin. Elle avait été très bien était romancer. Seulement, notre aventure continue...
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