Une nuit d'explications et de retournements
J'étais appuyé sur un arbre. Le jour se couchait. Catarina arriva et s'appuya elle aussi sur l'arbre.
-Tu vas bien ? me demanda t elle. Tu as l'air déranger.
-Non, je ne suis pas dérangé, mais par contre, il y a quelque chose qui cloche.
-Ah bon ? Et puis je savoir se que c'est ?
-Non, je ne sais pas encore si ça a un rapport avec le meurtre de Mme. Speelt alors je préfère ne pas me prononcer.
-Tu pense que c'est Mr. Narc qui aurait tuer Mme. Speelt ?
-Peut être, il a l'air de s'énerver pour un rien mais...
-Mais ?
-Rien...
-Bon, alors je te souhaite une bonne soirée, et ne prends pas froid.
-T'es pas ma mère !
-Oui mais je t'ai élever comme une mère alors un peu de respect !
-Oui, oui bon !
Elle se dirigea vers la maison. Puis vint le tour de Patricia, elle semblait dérangée par quelque chose et énervée, aussi.
-Quelque chose ne va pas ? demandais je.
-Vous ne vous êtes pas excusez auprès de Julie Narc.
-Je n'en ai pas eu le temps, madame.
-C'est peut être vrai mais si vous avais fais se que je vous avais dis, vous vous seriez au moins excusez et on aurait peur être pu éviter cela.
-Pas du tout madame !
-Ah ? Et pourquoi donc ?
-Son mari a fait se qu'il pensait de juste mais même si je m'étais excuser, ça n'aurait rien changer.
-Mais si, vous lui auriez proposer de venir avec vous et tout cela aurait été évité.
-C'est là que vous vous tromper madame, je ne comptais pas du tout l'emmener avec moi. Elle serait rester ici et je n'aurais rien ou faire.
-Mais pourquoi ne l'auriez vous pas emmenez ?
-Car j'avais à faire ?
-Vous êtes un triste personnage !
Elle partie, encore plus énervé qu'il ne l'était auparavant. Rob Martin arriva.
-Bonsoir monsieur. dit il.
-Bonsoir.
-Vous allez bien ?
-Un peu déranger. Et vous ? demandais je.
-Mouais... Bof. Je... suis un peu tracassé.
-Par quoi ?
-Je le suis car...
Il ne termina pas sa phrase car quelqu'un arrivait. C'était Paul et il paraissait pressé. Il franchit les grilles du domaine et s'enfonça dans la nuit profonde.
-Terminé vite. m'enquis je.
-Il y a quelque chose que je ne comprends pas. Pourquoi les personnes présentent dans le salon n'ont rien fais.
-La peur peut être... Bon, je vais suivre ce garçon.
-Bien, bonne soirée.
-Á vous aussi.
Il partit et j'entamais ma course poursuite en courant, pour tenter de rattraper Paul. Il se trouvait qu'il ne marchait pas très vite, alors je le rattrapai assez vite. Je l'entendit renifler.
-Marre ! s'énerva-t-il.
Je le rejoignait et lui touchais l'épaule.
-Quelque chose ne va pas jeune homme ?
-Ah !
Il me regarda avec de petits yeux tristes et surpris.
-Que... faites vous là monsieur ?
-Rien, je vous suivais.
-Hein ? C'est mon père qui vous a demander de faire ça ?
-Non.
-Vous allez lui dire ?
-Non.
-Alors que chercher vous ?
-La vérité.
-Hein ? Que dites vous ?
-Je cherche la vérité. Que faisiez vous le jour où votre chère mère est morte.
Il soupira.
-Je ne peux pas vous le dire monsieur. Vous m'en voyer navré.
-Vous m'en voyer navré vous aussi mais, j'aimerai savoir.
-Non. Vous ne pouvez pas.
-Je crois en revanche que si.
-Je ne veux pas.
-Mais si, vous voulez, mais votre instinct vous dis de ne pas me le dire car il n'a pas confiance en moi.
-Surement.
-C'est sur, d'ailleurs.
-Ah ?
-Mais l'instinct ne dit pas toujours la vérité et si vous voulez voir, comme vous l'avez dis, le meurtrier de votre mère mort, il va falloir me dire la vérité.
-C'est moi qui l'ai tué.
-Ah ?
-C'est tout se que vous dites ?
-Oui, je le savais.
-Ah ?
-Oui, je savais que se que vous alliez dire serais faux, alors, cela ne m'étonne pas du tout.
-C'est la vérité...
-Ne mentez pas Mr. Paul Speelt.
-Je... d'accord. Je rejoignait quelqu'un.
-Qui était ce ?
-Une fille. Mais j'étais aussi dans la bois, en fait, c'est elle qui le rejoignait.
-Qui était ce ?
-Vous voulez son nom ?
-Oui, naturellement.
-Elle s'appelait Marie-Jane.
-Pourquoi avez vous employé l'imparfait ?
-Elle s'est suicider.
-Ah ?
-Pourquoi faut il toujours que vous disiez " ah " ?
-Parce que, j'ai découvert des tas et des tas de vérité, alors rien ne me choque plus.
-Rien ? Vous voulez dire, plus rien ?
-Non, plus rien. Et c'et bien dommage.
-Pourquoi ?
-Dites moi la vérité et je vous dirais la vérité.
-J'ai dis la vérité.
-Ah ?
-Oui, j'en suis sur. J'étais dans le bois.
-Vous n'y avez pas bougé de toute l'après midi ?
-Non, pas le moins du monde.
-Bien, très bien.
La conversation s'arrêta plusieurs minutes puis je repris :
-Pourquoi êtes vous sortis ce soir ?
-Je... je ne sais pas, cette histoire est bizarre, je voulais réfléchie.
-De quoi avez vous marre ?
-De tout monsieur, tous les psy que j'ai eu m'ont dis que c'était l'adolescence, je ne les crois pas.
-Pourquoi ?
-J'ai passé l'âge d'être adolescents mais pourtant, je continue d'être dans... dans une dépression étrange. Quelques fois, je veux mourir, d'autre vivre. C'est étonnant.
-Comme vous dites, oui... Curieux.
Puis, après une autre minute de silence, je posai ma dernière question de la soirée :
-Pourquoi Marie-Jane s'est-elle suicider ?
-Quand sa mère est morte, elle... a... perdu la boule.
-Curieux.
-Oui, en effet.
-Jeune homme, retournons au domaine, un jeune homme ne devrais pas se retrouve seul dehors.
-Mais je voudrais rester seul un moment.
-Bien. Je vous laisse, j'ai sommeil, je retourne au domaine. Mais attention, n'attrapez pas froid.
-Vous n'êtes pas ma mère.
Un sourire en coin, je me retournais et repartais vers la domaine.
Le lendemain, un cri me réveilla. Louis Speelt arriva en courant dans ma chambre, en robe de chambre.
-Mon fils ! Mon fils !
-Qui a-t-il ?
-Il est mort !
-Comment ?!
-La voisine l'a vu mourir, un homme l'a quitter et puis soudain, quelqu'une st sorti de derrière un arbre et a tuer mon fils !
Il pleurait à chaudes larmes et je du me restreindre à lui faire un câlin. Je savais que c'étais moi qui l'vais quitter, mais je ne savais pas qui étais l'homme ayant tuer Paul. Cela m'effrayait un peu.
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