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La fin de Patricia

Patricia revint de l'hôpital une semaine plus tard, elle paraissait changée. Elle n'avait plus de cernes, ses cheveux et son visage avaient repris des couleurs et elle tremblotait de guetté. Elle semblait ravivé. Elle vint me voir et me dit :

-Allons marcher.

Je l'a suivie en dehors de la maison.

-J'ai quelque chose à vous dire Mr. Brown...

Elle garda le silence quelques instants.

-Je... en revenant de l'hôpital, j'ai appris que Yvette s'était... suicidée...

-Oui, nous le savons. Mais pourquoi me dire cela ?

-Et bien, on m'a dit que vous étiez aller la voir pour lui soutirer des informations jute avant qu'elle ne vienne, ce soir là, et que vous y étiez retourner. Est ce que, par hasard, se serai vous qui... lui auriez... qui l'auriez insisté à... bon, vous comprenez, vous n'êtes pas bête !

-Je n'ai rien fais de tel, madame. Je peux vous le certifié.

-Bien... dit elle sans trop y croire.

-Mais pourquoi me dites vous cela, madame ? demandais je. Je sais très bien que vous avez quelque chose derrière le tête.

-Non ! Enfin... peut être. C'est que, on m'a dit qu'on avait retrouver une aiguille à ses côtés.

-Oui ?

-Et bien... se n'était pas une aiguille toute simple, c'était une aiguille à tricoté. Vous pensez que je l'aurais tué... ?

-Mais ? Non ! Bon sang, qu'est ce que vous vous mettez en tête, Mme. Nurte ?

-Je ne me met rien en tête. J'ai juste fais... comment dire, j'ai fais une espèce de poupée lui ressemblant... et puis, avec mon aiguille à tricoté...

-Vous avez fais de la magie vaudou ?

-Oh ! Arrêtez ! Je ne peux pas croire que je l'ai tuée !

-Mais arrêtez de croire ses sottises bon sang de bois ! Vous avez vous même appris qu'elle s'était suicider. Et vous n'avez pas bougé de l'hôpital, voyons, ne soyez pas si dure avec vous même !

Elle commença à pleurer.

-Et bien ? Que se passe-t-il ?

-Taisez vous !

Elle repartit dans l'autre sens au pas de course. Découragé et un peu déçu de ne pas en avoir su plus, je m'assis sur une souche.

-Et bien Ethan ? Que fais tu là ? Tout seul ? Perdu ? Découragé ? 

-Catarina ! On ne t'as jamais appris que les gens on besoin, quelques fois, de rester seuls ?!

-Je ne crois pas... rit elle.

-Laisses moi.

-Je ne crois pas. As tu réfléchis à se que je t'ai dis hier et les autres jours d'avant ?

-Je n'y ai pas réfléchis, mais... il y a une semaine, Patricia a été blessé à la main et m'a expliquer une histoire qui m'a éclairer, le dernière phrase qu'elle a prononcer avant de sombrer dans un malaise fut : "  Il aura se qu'il mérite ! Tout vient à point à qui sait l'attendre ! ".

-Et de qui parlait elle ?

-De l'ancien petit ami de Carmen Speelt.

-Elle a eu un petit ami avant d'avoir Louis Speelt ?!

Elle semblait interloqué.

-Et bien oui, pourquoi ? Cela te choque à ce point ?

-Oui et non. C'est que je ne pensais pas que... enfin, tu vois !

-Oui, mais les gens ont souvent une vie antérieur, ou plutôt une ancienne vie bien caché.

-Je...

-Un problème ?

-Oui. Qui était ce ?

-Ah ! Ça, je sais ! C'était Gaspard Jacksonnes, et que Carmen Speelt se soit marié avec Louis l'a mis dans un état pas possible, m'a-t-on raconté.

-Gaspard Jacksonnes ?! Tu veux dire... CE Gaspard Jacksonnes là ?!!!

-Oui, CE Gaspard Jacksonnes là !

-Et penses tu qu'il aurait ou... je ne sais pas moi, tué Carmen pour se venger ?

-Yvette en parlait.

-Qui est Yvette ?

-Yvette Trucide, la vielle dame qui s'est suicider hier, ou avant hier. Ils sont tous les deux - Yvette et Gaspard - demis frère et sœurs !

-Mais ils ont quand même une bonne différence d'âge !

-Ça t'as marqué toi aussi ! C'est se que je me suis dis.

-Ça me parait assez louche, tout cela est assez louche ! Très louche !

-Oui.

-Mais ? Tu n'as pas remarqué autre chose ? questionna Catarina.

-Quoi ?

-Que les personnes meurent ou disparaissent les unes après les autres. Si ça, se n'est pas étrange, je ne sais pas se qui l'est ! énonça-t-elle.

-C'est vrai, mais bien sur, comme je suis habitué, je ne m'en étais pas rendu compte !

-Ah ! Tu vois ! Ça a du bon de faire équipe avec sa sœur !

-Pas que du bon... 

-Mais ? Pourquoi dis tu une chose pareille ?!

Je rit sèchement.

-Tu arrives toujours quand il ne faut pas. Je réfléchissais à quelque chose et BIM ! tu arrives ! Se n'est pas croyable, tout cela ! 

-Donc, si j'ai bien compris, je ne t'aide en rien ?!

-Je n'ai pas dis ça !

Énervée come une furie, elle partie en courant vers la maison. Je restais seul un moment, j'entendais un bruit et croyais voir Yvette, n'était elle pas morte ? Patricia arriva.

-Que faites vous là ?! hurla t-elle.

-Vous... n'avez pas vu ?

-Pas vu quoi ?!

-Yvette !

-Bon dieu, elle est morte bon sang ! Cette histoire vous fais tourné la tête !

-Et vous, que faites vous ici ?!

-Rien... J'allais chercher des radis au fond du domaine, dans le potager.

-Avec des chaussures de marches ?

-Des... heu...

-Oui, des... continuais je.

-Mais se n'est pas possible, on ne peut rien vous cacher ! J'allais retrouver un vieil ami.

En disant cela, elle avait rougis.

-Qui ? 

-Un vieil ami ! cria t-elle.

-Mais qui ? Tel est la question !

-Arrêtez de fouinez dans les affaires des autres !

-Mme. Nurte ! Je ne fouine jamais, apprenez le ! Je cherche et je trouve ! Si vous ne voulez pas me dire qui vous rejoignez, je vous suivrais et je trouverais. Je trouve la vérité en chacun de vous ! Un jour, je découvrirai la vérité, un jour, car, comme dit ma sœur, tout vint à point à qui sait attendre !

-Je...

Elle resta sans voix.

-L-laissez... laissez moi !

-Non Mme. Nurte ! 

Elle s'assit et commença à pleurer à chaudes larmes.

-Que se passe-t-il ? 

-Je vous en supplie, laissez moi. 

-Pas tant que je ne saurais pas, Mme. Nurte.

-Alors vous ne saurez pas !

Elle se leva, me donna un coup de coude dans le ventre et s'enfuie en courant. Je ne pu la rattrapez car mon ventre était devenu douloureux. 

-Je saurais, je saurais...

Je repartis vers la maison me couler un bain. Quand j'eu fini, je sortais et le déjeuner sonna. Patricia ne e montra pas, d'ailleurs, le déjeuner n'tait pas fait alors nous allâmes manger au restaurant. Le soir, Mme. Nurte ne se montra toujours pas. Ni le lendemain, ni le jour d'après. Elle ne revint qu'une semaine plus tard, essoufflé et dans tous es états. 

-Mais ? Vous n'avez pas honte ?! s'énerva Louis Speelt. J'ai besoin d'une femme  intelligente pour me remonter le moral dans ce moment difficile où ma femme et mon fils sont morts, et vous, vous vous barrez come si de rien n'était ! Vous êtes renvoyée ! ... Sur le champ ! ajouta-il car elle voulait insister.

Elle commença à pleure mais comme il lui hurlait dessus en l'insultant, elle fini par faire se bagages et s'en alla. Au moment où le taxi arrivait pour la ramener chez elle, Patricia Nurte se tourna vers moi et me chuchota à l'oreille :

-Je peux vous certifié que je n'ai pas tué Carmen Speelt et louis Speelt. J'espère que vous trouverez assez vite qui les a tué, je viendrais à son exécution, monsieur. J'espère que l'on se reverra. C'était un... plaisir d'avoir eu a vous parler. Excusez moi d'avoir été si rancunière, j'espère que vous saurez me pardonner. J'ai été une femme très prospère, autrefois, mais...(elle recommença à pleurer )  je suis une femme mauvaise. Bon... je... je vais y aller... Vous êtes un homme charmant, Mr. Ethan Brown , un homme admirable, charmant et admirable ! Je vous remercie !

Sue ce, elle s'enfuie vers le taxi. et disparu dans un nuage de fumée. Je voyais Louis Speelt pleurer derrière moi, je l'entendait renifler et je fus le seul à entendre Sally, de sa fenêtre, dire :

-Pourquoi fallait elle qu'elle parte, il n'y avait qu'elle pour moi, il n'y a plus rien pour me faire tenir debout, maintenant. 

Le lendemain, nous trouvâmes Sally morte, poignarder, un mot expliquant qu'elle s'était suicidée.

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