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Interrogatoire6

J'accueilli Julie Narc avec grand sourire.

-Entrez ! Entrez !

-Merci.

Elle paraissait distante.

-Asseyez vous Mme. Narc.

-Merci.

Elle s'assit.

-Avez vous des questions a me poser, car je n'ai pas le temps.

-Oui madame.

-Bien, posez les moi.

-Qu'avez vous fais de la journée du meurtre ?

-J'ai discuté avec mon mari dans la salon. Puis nous avons manger. Je suis ensuite aller promener le chien.

-Vous avez un chien ?

-Oui, un pit-bull qui vit dans la niche au fond du jardin.

-Quelqu'un m'a dit que à votre habitude, vous alliez le promener le matin. Est ce vrai ?

-Oui, mais ce matin là, j'avais mal au ventre, je suis donc rester à la maison et papoter avec mon mari en buvant une tisane.

-Oui ? Mais vous y êtes quand même aller l'après-midi. Pourquoi votre mari n'a pas fait la promenade ?

-Pilipalou n'aime pas Jack, a chaque fois qu'il le voit, il le mort, alors bine que, mon mari l'évite, il a d'ailleurs deux cicatrices aux jambes.

-Ah ? Pourquoi ? 

-Un jour, Jack lui avait donner un os à la vanille, et depuis, Pilipalou n'est plus comme avant !

-Ah ? Á cause d'un os ?

-Oui, un os à la vanille.

- Á cause d'un os à la vanille ? C'est un idée...

-Ah oui ? Vous pensez ?

-Non, pas du tout, j'ai juste penser au chien de ma sœur qui lui avait mordu la jambe après qu'elle lui ai eu donner un os. 

Elle rit aux éclats.

-Se n'est pas drôle ! assurai je.

-Je sais, excusez moi Mr. Brown, c'est très impoli de ma part, je vous demande pardon. J'ai honte, excusez moi...

-Ce n'est rien, tans que ma sœur n'est pas là.

Elle repris son sérieux.

-Quand êtes vous rentrez ? 

-Le soir ?

-Oui.

-Vers 16h35, je pense, c'est un peu après que j'eu entendu es cloches de l'église sonner la demi. J'étais contente, car j'ai pu me reposer dans la jardin. Seulement, je n'ai vu personne.

-Ah ?

-Oui, personne !

-Bien. Et quelles était vos relations avec Mme. Speelt ?

-C'est ma sœur !

-Ah ? Et votre mari, il s'entendait bien avec elle ?

-Non, ils ne se sont jamais parler.

-C'est dommage.

-Oui, en effet !

-Bon, je crois bien que j'ai fini. Appelez moi votre mari... Jack Narc ?

-C'est cela. J'y vais.

Je sonnais. Patricia arriva.

-Amenez des cookies et une théière de thé noir s'il vous plait, j'ai soif.

-Oui monsieur.

Elle repartie et bientôt. Le jeune mari de Julie Narc entra, suivis de près par Patricia qui posa la théière et s'en alla.

-Bon, asseyez vous s'il vous plait !

-Merci Mr. Brown. Je m'appelle Jack Narc et j'ai 44 ans. Je suis instituteur en Sciences et Vie de la Terre dans un lycée prestigieux pour jeunes garçons.

-Merci. Puis je vous demandez, si vous vous en souvenez, se que vous avez fait en détail de a journée de la mort de Madame.

-Je ne m'en rappelle plus trop bine, mais je vais essayez pour vous de vous en souvenirs. Je pense que vers 11h, je discutais avec ma bien-aimée. Puis, à 14h, je suis aller aux toilettes et je suis ensuite aller lire dans le fumoir.

-Sans indiscrétion de ma part, que lisiez vous ?

-Un livre d'Albert Camus, La peste, très bon livre, d'ailleurs.

-Oui, continuez.

-J'ai lu un long moment et puis, sans m'en rendre compte, je me suis endormis.

-Ah ?

-Oui, après, comme j'avais faim, je suis aller en cuisine et piquer un croissant.

-Un croissant ?

-Oui.

-Avez vous croisez quelqu'un ?

-Attendez que je m'en rappelle. Oui, ça me reviens, j'ai croisé Mme. Speelt.

-Ah ?

-Je sortais le la cuisine et elle retrait à ce moment là.

-Et donc ?

-Elle m'a regarder et puis a dit un truc du genre : " Il y a des croissant ? Vous auriez pu me prévenir quand même ! " .

-Et qu'avez vous répondu à ça ?

-Je ne lui ai rien dit.

-Bien, y avait il des cuisiniers quand vous êtes descendu ?

-Je crois que oui, mais ils ne m'ont pas vu, je n'avais pas le droit de manger, donc il ne fallait pas que l'on me voit, je me serais fais enguirlander par Julie si elle l'avait su monsieur.

-Bien, et pensez vous que les cuisiniers ai entendu Mme. Carmen Speelt ?

-Non, elle aussi suivait un régime. Elle n'avait pas non plus le droit de manger de viennoiseries.

-Et elle descendait souvent en cuisine ?

-Oui, chaque jours après sa sieste.

-Vous étiez le seul à le savoir ?

-Oui, car moi aussi je n'avais pas le droit, alors nous avions convenu que nous ne dirions rien à nos conjoints !

-Bien, qu'avez vous fais ensuite ?

-Cela, je ne m'en rappelle plus. Pas le moins du monde monsieur.

-Bine, je crois que j'ai tout. Vous pouvez disposez.

Il sortit et je me levait. À ce moment là, Mr. Speelt entrait.

-Bonjour, avez vous fini les interrogatoires monsieur ?

-Oui pourquoi ? J'allais de  ce pas sortir me promener.

-Et bine j'ai essayé de la retenir mais... elle n'a rien voulu savoir, je lui ai affirmer que vous seriez libre ce soir mais non, elle souhaitait ardemment vous voir sur le champs, voudriez vous venir la voir monsieur... elle est très colérique...

-Qui est ce ? demandais je.

-Ah ! Cela, je n'e ai pas la moindre idée monsieur, elle m'a affirmer qu'elle vous connaissait intimement.

-Elle était blonde ?

-Pas du tout monsieur.

-Ouf !

-Pourquoi cette question ?

-Je pensais que c'était mon ex-femme. Je suis soulagé.

-Je vous comprends, veuillez me suivre s'il vous plait.

Je le suivais dans un salon assez minuscule et j'entendais une voix grave crier :

-C'est une honte de me mettre dans un si petit salon, j'ai toujours été accueillit dans les plus grands, mais non, monsieur je-ne-sais-quoi n'y a même pas pensé !

Je me tournait :

-Catarina ?

-Et oui, et tu vas dire à ton pote de me faire une chambre, sur-le-champ !

-Qui est-ce ? demanda Mr. Speelt.

Je soupirais :

-Ma sœur monsieur.

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