Interrogatoire5
Il s'assit.
-Bonjour-monsieur ! dit il machinalement. Je-ne-pourrait-pas-rester-longtemps-j'ai-d'autres-choses-à-faire !
-Et bien pour commencer, reprenez votre voix habituelle, cela aidera surement à faire passer le temps plus vite ! dis je d'un ton sec.
-Bien, dit il, pourquoi m'avez vous appelez, je n'ai rien fait.
-D'habitude, c'est moi qui pose les question !
-Ah !
-Vous vous nommez bien Gaspard Jacksonnes ?
-Si vous le dites...
-Je viens de dire ; vous vous appelez bien Gaspard Jacksonnes.
-Non, vous avez dis ; vous vous nommez bien Gaspard Jacksonnes.
-Je sais encore se que je dis ! Bon, votre nom s'il vous plait.
-Gaspard Jacksonnes !
-Bien.
-Je ne suis pas votre élève ! Il n'y a qu'à ses élèves que l'on peut dire ; bien ! Vous êtes old school !
-Oui, je n'en doute pas Mr. Jacksonnes !
-Appelez moi Gaga !
-Je n'utilise pas de diminutif, vous vous appelez Gaspard Jacksonnes, pas Gaga ! Je suis enquêteur, pas gardien d'enfants !
-Ah ! Je vous l'avais dis ! Vous me prenez comme un de vos élèves !
-Votre âge !
-Oula ! Calmez vous Mr. Brown ! Je ne vous ai rien fait !
-Répondez à ma question ! On ne va pas y passer deux heures !
-Oh ! Le monsieur à la moustache s'énerve !
-Cessez votre insolence Mr. Jacksonnes.
-Ah ? Je suis insolent ? Mais j'aime ça, être isolent !
-Passons, bon, avez vous une mémoire visuelle monsieur ?
-Oui, une grande mémoire, depuis le début de notre conversation, vous avez chiniez trente-deux fois des yeux et avez soupirer quatre fois.
Ravi, je lui demandais :
-Connaissez vous les pièces de cette maison monsieur ?
-Oui, celles que j'ai visiter !
-Etiez vous déjà aller aller dans les toilettes du haut avant d'y aller aujourd'hui ?
-Non, jamais.
-Bien.
-Comment ?
-Rien... rien...
-Ah ?
-Pouvez vous me décrire les toilettes du haut Mr. Jacksonnes.
-Oui, bien sur... heu... Ils sont... blanches.
-Ah ? Et quoi d'autre ?
-Heu... Je ne m'en rappelle plus.
-Vous n'y êtes donc jamais aller ?
-Si, cet après midi là !
-Ah bon, et alors, décrivez moi cette pièce monsieur !
-Heu... C'est que... je ne m'en rappelle plus monsieur !
-Et bien, où est passée votre mémoire visuelle monsieur ?
-Elle a du partir !
-Ne vous fichez pas de moi !
-Je ne me fiche pas de vous !
-Et bien décrivez moi cette pièce !
-Je ne sais pas parce que... je n'y suis pas aller, je ne les ai pas trouvé. Mais je voulais vous le faire croire, je ne veux pas que ce meurtre soi sur mon dos !
-Vous êtes donc aller aux toilettes du bas ?
-Non.
-Vous n'êtes pas aller aux toilettes ?
-Quelle conversation étrange monsieur !
-C'est vrai, j'ai déjà eu cette conversation avec une autre personne.
-Á oui ? Et quelle personne monsieur ?
-Oh ! Je ne me rappelle plus, comme c'est bizarre ! De toute manière ce la ne vous concerne pas! criai je d'un ton sec. Bon, je vous le demande une dernière fois, qui a -t-il dans les toilettes de l'étage ?
-Je ne sais pas !
-Et bien dans ce cas on ne peut pas dire que vous ayez une mémoire visuelle !
-Mais si ! C'est juste que je n'y suis pas aller !
-Et bien alors, qu'avez vous fais ?! C'est se que je me demande et j'aimerai que vous me répondiez !
-Je ne sais plus !
-Où êtes vous allez ?!
-Je ne vous le dirais pas !
-C'est don vous qui avez tuer Mme. Speelt ?
-Non ! Mais je ne veux pas vous dire où j'étais !
-Pourquoi ? Pourquoi nous mentir ? Vous allez aller en prison monsieur ! Pourquoi ne pas nous dire ?!
-Je... ne sais pas... en fait... parce que... j'ai une mémoire visuelle mais j'ai aussi une maladie.
-Laquelle ?
-La maladie d'Alzheimer !
-Ah ?
-Comment ça ; Ah ?
-Et bien, comment pouvez vous avoir une mémoire visuelle alors que vous êtes atteint de cette maladie ?
-Je... en fait la maladie qui m'atteint ne me touche que pendant quelques minutes ! Et pendant lesquelles je peux faire des choses... que... je vais regrettées !
-Comme... tué quelqu'un ?
-Oui...
-Voilà qui change tout ! Avez vous le souvenir d'être entrer dans cette chambre ?
-Pas du tout, mais c'est fort probable ! Quoique... non.
-Pourquoi donc ?
-J'ai des brides de souvenirs quand je dors et je n'ai pas ses souvenirs depuis le meurtre.
-Ah ?
-Oui, c'est le cas de le dire, je ne pourrais vous aider plus monsieur !
-Je crois que vous avez raison. Vous pouvez disposez !
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