Le lendemain arriva. J'avais plutôt bien dormi, mise à part les pleurs de Mlle. Speelt à qui appartenait la chambre à côté de moi. Je pris un bon petit déjeuner. Puis, je m'installa dans le fumoir et attendis que Mr. Speelt vienne.

-Bonjour Mr. Speelt, veuillez vous assoir en face de moi, je vous prie.

Il s'assit et sans lui laisser le moindre moment de répits, ma question fusa :

-Quel âge avez vous ?

-Je... dit il, un peu dépassé par cette question, j'ai 46 ans monsieur.

-Quel était l'âge de votre femme ?

-Elle avait deux ans de moins que mois, 44, monsieur.

-Bien. Maintenant, pouvez vous me dire avec détail se que vous avez fait de votre journée de hier ?

-Je me suis levé aux alentours de 8h. Enfin, je pense... Après un copieux petit déjeuner, je suis aller...

-Oui ? l'incitais je.

-Je crois bien que je suis aller au boudoir vers 11h Mr. Brown. Mais je n'en suis pas sur. 

-Ah ?

-En tout cas, j'y suis aller à un moment de la matinée. J'y ai écrit une lettre pour heu... une personne que vous ne connaissez pas monsieur.

-Ce n'est pas grave, vous pouvez tout de même me le dire !

-Non, je ne crois pas !

-Si monsieur, il va falloir me le dire Mr. Speelt. Á qui avez vous écrit ?

-Á quelqu'un.

-Qui est ce monsieur ?

-Je ne vous le dirai pas Mr. Brown. Cela ne vous concerne pas.

-Je crois au contraire que si. Nous n'allons pas tourné autour du pot 2h, avec qui avez vous envoyer une lettre ?

-C'est que...

-Oui ?

-Non, rien...

-Aller s'y ! 

-C'est que...

Il hésita une seconde fois.

-C'est que je ne l'ai pas encore envoyer. Elle est toujours dans le boudoir monsieur.

-Comment ?

-Oh non, maintenant que je vous l'ai dis, vous allez aller fourré votre nez où il ne faut pas. Je vous en pris monsieur, n'y aller pas, il y a déjà assez de problèmes dans cette maison !

-J'irai suivant mon besoin, mais come disais ma mère quand j'étais petit, rien ne dois venir embêter les recherches. Donc, oui, j'irai sans aucun doute voir cette mystérieuse lettre Mr. Louis Speelt.

-Vous faites peur quand vous m'appelé par Mr. Louis Speelt.

-Bon, maintenant que le mystère de la lettre est presque éclaircie, continuer votre journée, Mr. Speelt.

-Alors voila, après être aller au boudoir écrire ma lettre, le gong du déjeuner à sonner et je me suis rendu à la salle à manger. Le plat a été servie et nous avons manger dans le calme.

-Est ce que madame vous a semblé déranger ?

-Oh ! Je ne sais pas monsieur, je ne 'ai à peine regarder. J'étais occupé dans es pensées à cause de cette lettre. Ensuite, je me suis rendu dans ma chambre et j'ai fais un somme. Puis, vers 16h, je crois bien, oui c'est ça, j'ai entendu la sonnette. Il y avait un de mes amis au portail. Je suis descendu et je lui ai ouvert. Nous avons parlé un moment puis je l'ai inviter à continuer la discussion à l'intérieur. C'était dans le salon.

-C'est tout ?

-Oui, c'est tout Mr. Brown.

-Vous pouvez disposer.

Alors qu'il e levait, je le suivis jusqu'au boudoir et entrait avant lui à l'intérieur de la pièce. Il jura. Je pris la seule lettre qui était sur le petit bureau et l'ouvrit. Á l'intérieur, une petite écriture de mouche avait écrit ;

Rejoignons nous dans la foret après demain, à 18h, après l'heure du thé. Á cette heure là, ma femme ne s'occuperas pas de nous, ni de personne d'ailleurs. 

Votre bien aimé ;

Mr. Louis Speelt.

-Donc vous trompiez votre femme monsieur ?

-Non, ce n'est pas ça Mr. Brown, je ... j'entretenais des relations avec une autre femme mais je ne voulais pas le lui dire. Je ne voulais pas qu'il y ai de problèmes. 

-Appelez moi Mlle. June Carmt.

Il parti. Je me rendis dans le fumoir et Mlle. June me rejoins quelques minutes plus tard.

-Vous m'avez demander monsieur ?

-Oui, asseyez vous mademoiselle.

-Bien. 

Elle s'assit.

-Votre nom est bien June Carmt ?

-Oui monsieur.

-Quel âge avez vous, si cela n'est pas trop indiscret.

-Ça l'est un peu trop mais je vais vous répondre, j'ai exactement 21 ans monsieur.

-C'est se que j'avais cru comprendre.

-Vous le saviez déjà ?

-C'est mon métier mademoiselle.

-Mais pourquoi me le demande à nouveau, alors ?

-C'est aussi mon métier mademoiselle.

-Je ne comprends pas...

-Il n'y a rien à comprendre. Pouvez vous me dire - avec les plus grand détails -, se que vous avez fait de votre journée, hier, mademoiselle.

-Je me suis lever assez tard mais ma sœur n'étais pas encore lever monsieur.

-Oui ? 

-J'ai préparer mon petit déjeuner et j'ai manger. Dois je vous dire se que j'ai manger, monsieur ?

-Ce ne sera pas nécessaire Mlle. Camrt.

-Bien, vers 12h, nous avons manger le déjeuner et puis nous nous sommes rendu au domaine pour faire notre marche quotidienne.

-Oui ?

- Nous avons donc marché et ... nous avons discuté à un moment avec une jardinière. Elle était fort sympathique mais nous l'avons laisser et nous nous sommes éloigner. Puis, nous avons quitter le domaine mais sommes retourner sur nos pas car l'heure du thé approchait.

-Oui ?

-Ensuite, le crime à eu lieu. Et ma sœur a fait l'autopsie. Vous pouvez avoir confiance e elle. Elle ne s'est jamais trompé.

-C'est exactement se que dirai une personne qui serait aussi dans le coup !

-Mais ? Je ne suis pas dans le coup monsieur ?

-Et votre sœur ?

-Si ma sœur était dans le coup, elle n'aurai pas pris la peine de faire une autopsie monsieur ! s'énerva June Carmt.

-Sauf si c'était dans son plan Mlle. Carmt.

-Je... C'est ignoble ! Vous ne pouvez pas...

-Je me doutiez que vous réagiriez comme ça mademoiselle.

-C'est ignoble monsieur ! Ignoble !

-Vous pouvez disposez Mlle. Carmt.

-Je peux vous dire que je ne vous raterais pas !

-Oui, moi non plus. murmurais je.

Je décidais de continuer les interrogatoires l'après midi en commençant par Mlle. Sally Speelt et Mr. Paul Speelt.