-Bon, dis je, il faut maintenant trouvé l'arme.

-D'après se que l'autopsie du le médecin légiste dit , elle est morte environ aux abords de 16h15-16h40. Juste avant l'heure du thé, se qui est bien dommage car c'est se qu'elle préfère. dit il avec un air mesquin.

-N'oubliez pas, monsieur, que vous êtes aussi le suspect, peut être même le numéro 1 !

Il me regarda d'un mauvais œil.

-Vous pensez donc que je... que j'aurais pu... tuer ma... femme ?

-Oui, c'est souvent comme ça que ça se passe ! La femme rédige un testament en faveur de son mari et comme celui-ci manque d'argent, il l'a tue pour pouvoir retrouver une bonne allure. C'est presque tout le temps se qu'il se passe.

-Oui mais si je l'avais tué, je ne vous aurais pas appeler.

-Non, sauf si c'est dans votre plan !

Il soupira.

-Bon, je vous emmené voir ma femme. Mais si vous cherchez l'arme, c'est un peu tard, personne de toute la maisonnée ne l'a trouvée, et on a tous chercher !

-Oui, sans doute, mais le meurtrier devait être avec vous à ce moment là et il a cherché à l'endroit où il avait caché l'arme, comme cela, il vous dit qu'il n'a pas trouvé l'arme mais il sait où elle se trouve. Puis il revient plus tard et jette l'arme dans un autre endroit. C'est souvent comme ça que cela se passe car la plupart du temps, les meurtriers entendent des personne arriver et ils déguerpissent.

Nous montèrent à l'étage. Louis Speelt m'ouvrit la porte et j'entries dans la grande pièce avec si peu de mobilier que j'en fus déçue. Il y avait un lit où était allonger le cops de la défunte, une table de nuit, une chaise où étaient disposé deux robes de couleurs différents et une cheminée. Après un moment de recherche, Mr. Speelt me demanda :

-Alors ?

-J'ai vu se que j'avais à voir !

-Vous avez trouvé l'arme ? s'enquit il.

-Oui, très certainement, sauf si votre femme était en possession d'un surin !

-Pas à ma connaissance monsieur.

-Je vais maintenant faire des interrogatoires de chaque personne de la maisonnées. Souhaitez vous commencez ?

-Heu... Et bien c'est que j'ai à faire mais voyez vous, je devrais bien y passer à un moment ou un autre. Où voulez vous interroger les membres de la maisonnée monsieur ?

-Avez vous un boudoir ou un fumoir Mr. Speelt ?

-Bien entendu, en bonne maison, les deux Mr. Brown !

-Je vais prendre le fumoir !

-Bien monsieur. Á quel heure souhaitez vous commencer à interroger les membres de la maisonnée ?

-Je commencerais aujourd'hui avec... Mais dites moi, qui est le médecin légiste qui a fait l'autopsie du corps de madame ?

-Le Docteur Carmt !

-Qui est il ?

-Qui est elle, plutôt, c'est une femme monsieur.

-Bien, qui est elle ?

-Elle se nomme Analia Carmt !

-Analia ? Ce n'est pas un nom commun tout cela. Où était elle au moment du crime monsieur ?

-Je ne sais point monsieur. Vous devriez lui demander. Mais je crois bien les avoir vu passer dans le jardin du domaine vers 15h30 ! Elles discutaient avec la jardinière, je crois bin...n

-Bien, mais pourquoi avez vous dit : " Elles " ? demandais je.

-Et bien, elle était accompagné de sa sœur, Mme. June Carmt.

-Amenez la moi ! Je crois bien...

-Vous pensez qu'elle ai pu tuer ma femme ?! s'emporta Louis.

-Peut être, elle tait dans le domaine au moment du crime et elle à fait l'autopsie, elle a très bien pu inventé une histoire... Vous ne croyez pas ?

Mr. Speelt déglutis.

-Je vais l'appeler.

-Bien, je vais de ce pas m'installer dans le fumoir.

-Oui Mr. Brown.

Il descendis au pas de courses et cria :

-Patricia !

Une petite femme arriva.

-Oui Mr. Speelt ?

-Allez me chercher le Dr. Carmt !

-Et sa sœur monsieur ?

-Aurais je mentonnier le nom de Mlle. Carmt ?

-Je ne crois pas monsieur.

-Alors je veux juste Mme. Carmt !

La petite dame cour et revint.

-Elle se presse monsieur, elle buvait le thé alors vous comprenez que cela l'a déçus mais je crois bien qu'elle m'ai dis qu'elle se pressait !

-Elle a intérêt, oui !

Une grande dame arriva, elle avait l'air farouche ais Mr. Speelt ne manqua pas de lui faire une réflexion sur son retard. Nous entrâmes ensuite dans le fumoir et je fermis avec application la porte.

-Vous êtes bien le docteur Carmt ?

-Oui, Analia Carmt !

-Bien, et vous avez une sœur ? June ?

-Oui, June. Elle m'aide, elle veut faire médecine, elle aussi.

-Quel âge avez vous ? Si cela n'ai pas indiscret ?

 -Vous enquêtez, je ne vois pas se qui serait indiscret. J'ai 35 ans.

-Bien, et votre sœur ?

-Elle a 21 ans, monsieur ...?

-Mr. Brown. Pouvez vous me dire se que vous avez fait - avec les moindres détails - de votre journée.

-Je me suis lever vers 10h et j'ai pris mon petit déjeuner. Heu... dois je vous dire se que j'ai manger ?

-Ce ne sera pas utile. Continuez je vous prie.

-Nous sommes rester je crois bien, toute a matinée à la maison. Vers 14h nous sommes arriver au domaine et comma à notre habitude, nous avons marché tout en discutant.

-Oui ? Avez croisez quelqu'un au cour de cette promenade ?

-Oui ! La jardinière ! Elle plantait je-ne-sais-quoi. Nous avons discuté un moment puis avons continuez notre marche.

-Oui ? 

-Puis nous sommes retourner vers la maison et nous nous sommes assisent sur les chaises longues de la terrasses pour continuez de parler. Il y avait d'ailleurs un jeune homme avec un croissant dans la main. Je me suis dit que c'était étrange, car vous comprenez, on ne mange pas à toutes les heurs de la journée. Mais je ne crois pas que je lui ai ait de reproche. Puis le gong du thé à sonner. Mais Mme. Carmen Speelt ne venait pas alors nous sommes aller la chercher, elle... elle était morte. J'avais mes affaires dans la voiture, alors j'ai fait une autopsie, elle était morte dans l'heure d'avant. 

-Bien.

-Mais avec cette histoire, la pause thé à été décaler.

-Vous aimez l'heure du thé madame ?

-Si je l'aime ?! Mais bien sur, c'est le meilleur moment de la journée. JE crois bien que c'est se que pensait aussi Mme. Speelt.

-Bien vous pouvez disposez.

Il se faisait tard alors je demandais à dormir sur place pour reprendre les interrogatoires demain, à la première heure, en commençant par Mr. Louis Speelt.