Désespéré, j'étais assis dans un fauteuil accablé par les reproches de ma sœur. Cette grande sœur aux beaux cheveux châtains sur qui j'avais pu compter revenais après des années d'oublis.

-Tu aurais pu me prévenir, j'ai du faire appel à un grand détective ! Tu ne sais pas combien de pièce d'argent j'ai du faire tomber de mon compte pour te retrouver Ethan Brown ! 

-Moi aussi je suis détective je te ferais remarquer !

-Je sais mais te retrouver est super compliqué Ethan ! Cela fait trois mois que je te cherche ! Tu n'as pas honte ? Moi, à ta place, j'aurais honte, je me serai excuser, mais toi, non, tu ardes la tête haute, rappelle toi quand même que je suis TA sœur et que je t'ai élever à la mort de papa et maman ! Alors un peu de respect !

-Catarina, je te respecte, mais là, je suis en plein dans une affaire criminelle alors écoutes moi; Mr. Speelt va être bien aimable pour t'offrir une chambre et tu vas arrêter de me déranger ! Compris ?

-Si Monsieur Ethan le prends comme ça...

-Catarina !

Elle était déjà parts avec six mots en bouche ;

-Va te faire cuire un œuf !

Louise Speelt lui offris une belle et grande chambre, car il ne voulait pas avoir de problèmes avec ma sœur.

Le lendemain matin, je buvais mon café sur la terrasse quand elle entra dans une belle robe jaune canaris. Elle s'assit.

-Je peux te donner un conseil ? demanda-t-elle.

-Oui, si tu en as envie Catarina.

-Tout viens à point à qui sait l'attendre !

Elle repartit. Toute la journée, je repensait à ce qu'elle m'avait dit et je ne trouvais pas. Le soir, vers 21h, je me baladais dans le domaine et tombait nez à nez avec Julie Narc.

-Que faites vous là ?! demanda-t-elle sur la défensive.

-Et bien, comme vous, je me balade. 

-Je ne me balade pas ! réplique la jeune femme, sèchement.

-Ah ? Et bien que faites vous alors ?

-Je... j'évite mon mari.

Je ris.

-Et bien quoi, il y a quelque chose de drôle à cela ? J'aimerais bien le savoir si c'est le cas.

-Non, excusez moi, pourquoi évitez vous votre mari ?

-Vous êtes très indiscret monsieur, il faudrait que vous appreniez à ne pas brusqué une dame !

Elle s'assit sur une souche.

-Et bien, je l'évite car il me semble suspect monsieur. Je ne voulais pas que l'on me prenne pour une complice alors je lui ai expliquer ma manière de penser. Il n'a pas aimer, rendez vous en bien compte. Alors il a essayer de me frapper. J'ai crier, hurler mais il n'y avait personne. J'avais mal, monsieur. Alors j'ai sauté par la fenêtre après qu'il m'ai enfermé.

-Quel grotesque bonhomme. On ne dirait pas qu'il est aussi brusque, comme ça...

-J'ai peur Mr. Brown...

-Je ne vais tout de même pas vous inviter à dormir avec moi ?

-Non, se serais mal vu monsieur, mais je ne sais pas quoi faire.

Je ris une seconde fois.

-Je vais vous payé un hôtel mademoiselle.

-Non, se serai trop !

Quelqu'un traversa les fourré et se retrouva devant nous. C'était Patricia.

-Mr. Narc hurle au domaine, expliqua Patricia, il cherche sas femme, je n'ai pas bien compris mais il veut la tuer, et le gros bonhomme, Mr. Jacksonnes l'incites, c'est ça le pire, il vous cherche, mademoiselle.

Julie se mit à pleurer.

-Calmez vous mademoiselle, chuchotais je, tout vas bien se passer. Restez là avec Patricia, je vais voir si je peux essaye de régler le problèmes. Il a surement trop bu, c'est surement là seule raison à cela.

-Non, il est comme ça souvent monsieur...

Je courrais vers le domaine, là bas, je trouvais Catarina en train de frapper violemment Mr. Narc qui hurlait et s'époumonait qu'il voulait tuer sa femme. Mr. Gaspard Jacksonnes hurlait qu' c'est se qu'il fallait faire, Rob Martin et Lara Misce étaient bouche bée, comme figé. Paul et Sally était dans le petit salon, et Dr. Carmt les empêchaient ( surtout Paul )  de se joindre à la bagarre. Sally pleurait dans un coin mais Pal du être retenu par Analia et June pour ne pas ouvrir la fenêtre et sortir.

-Mais vous êtes fou Mr. Narc ! hurlais je. Vous faites peur à votre épouse ! Vous n'avez pas honte !

-Non, pas le moindre ! Je vais la tuer, cette sotte qui ose me dicté se que je dois faire !

-Arrêtez Mr. Narc, vous vous comportez comme un barbare !

-Je suis un barbare !

Catarina attrapa une cruche sur la table et l'écrasa sur la tête de Jack. Puis elle se tourna vers Gaspard et lui mis une droite.

-Catarina ! m'écriais je.

Gaspard et Catarina commencèrent à se battre. Mr. Martin essayera de les arrêtez mais Catarina lui mis un poing dans la figure et il retourna où il était. Puis, ma sœur déchira un lambeau de sa robe et étrangla le pauvre Gaspard Jacksonnes. Cette fois, je me jetas sur elle et arriva à temps à l'arrêter avant qu'elle ne fasse le coup fatale. Elle tomba à la renverse et, Gaspard, se tenant le coup, l'insulta de plus belle. Elle se rejeta dessus et recommença à l'étrangler,  cette fois avec ses mains. Je vis arriver Patricia et Julie. Elles étaient exténuer. Julie pris une nouvelle cruche au moment où son mari se réveiller et la lui rebrisa sur la tête. Il tomba une nouvelle fois. Catarina la remercia car elle n'aurait pas réussi à faire deux choses en même temps. Paul arriva enfin à sortir du petit salon et se jeta sur ma sœur qui l'évita de peu. Elle lui décocha un coup de pied et il tomba au sol. Dans un cri, Patricia se ria sur lui et le ramena au salon en hurlant sur la pauvre docteure qui n'avait pas pu le retenir. Je me jetais sur Catarina car Gaspard commençait à devenir bleu. Elle le lâcha et il repris sa respiration. Puis, il cour le plus vite possible pour s'enfuir des griffes de ma furieuse sœur. Je le rattrapa et le ramenais à la maison pour qu'il se repose. On donna une grande dose de somnifère à Mr. Narc, Mr. Jacksonnes et Catarina pour qu'il se passe une nuit correcte. Puis, on obligea Mme. Narc à en prendre une petite dose pour qu'elle arrive à dormir. Enfin, tout le monde repartis se cocher. 

J'étais le seul à avoir remarqué que Louis Speelt avait disparu.