A Narnia, le temps passait et les jeunes rois, reines et princesses grandissaient. Les filles étaient devenus de jolie femmes et les garçons de bels hommes. La paix et l'harmonie régnait toujours sur le royaume.

Entre balade en forêt, partie de cache cache, baignade dans la mer et discutions sur la plage, les jeunes Rois, Reines, Princesse et Chevalier ne s'ennuient pas.

Depuis, le dîne en forêt d'Eva et Peter, ils passèrent le plus de temps possible ensemble. Ils ne se l'étaient pas avoué explicitement mais ils savaient tous les deux ce que l'autre ressentait.

- Eva? Appela Edmund.
- Oui qu'est-ce qu'il y as? Demanda l'intéressée.
Son ami l'attrapa par le bras et l'emmena avec lui se cacher ensemble. Il voulait êtres tranquille avec elle.
- Alors tu lui as dit? Questionnât-il curieux.
- Pas vraiment! Je lui ai fait comprendre que je l'appréciais en lui offrant le collier que ma mère m'avait laissai en gage de son amour. Avoua la princesse à son ami.
- Oh par Aslan, si il a pas compris je jure sur les quatre trônes de Cair Paravel que je lui hurle moi même. Jura le Roi.
- Du clame Ed, on pourrait nous entendre. On joue à cache cache je te rappelle. Rétorqua Éva.
- Oui oui je sais...mais mon frère m'énerve des fois à pas voir ce qui est sous ses yeux. Affirma Edmund.

Lucy fini par les trouver. Après le dîner, tout le monde vaqua
à ses occupations. Certains allait se coucher comme Lucy, d'autre comme Susan profitait du calme des jardins en fin de soirée avant d'aller dormir, d'autre encore aimait admirer le ciel allongé sur la plage avant de gagner les pays des songes comme Eva et Edmund. Peter et Firenze eux patrouillé dans le royaume.

- Comment c'est passé votre diné romantique? Demanda Firenze à Peter.
- C'était...romantique et merveilleux...Répondit le Roi.
- Tu lui as avoué tes sentiments? Questionna le centaure.
- Non...je voulais lui faire comprendre avec le dîne. Avoua le jeune homme.
-Elle as compris tu pense? Interrogant-il.
- Je sais pas mais elle m'a offert ça. Peter lui montra le collier.
- C'est le collier de sa mère. Le seul lien qu'elle ai jamais eu avec elle. Elle ne sans sépare jamais. Elle doit vraiment tenir à toi. Même moi, son meilleur ami, je n'ai jamais eu le droit de le voir ni de le toucher. Exclama Firenze impressionné.
- Oh je pensais pas que c'était à ce point...Dit Peter gêne. Je devrais peut-être lui rendre.
- Par tous les dieux surtout pas se serait un affront à l'affection qu'elle manifesté à ton égare. Déclara le représentant du peuple.

Ils regagnèrent ensuite leur appartement respective.

Les filles, avait pris l'habitude de se retrouver en fin de semaine au lac pour se baigner et discuter. C'était leur endroit à elles. C'était la, que pour la première fois elles avaient discuter et c'était promis une profond amitié.

Leurs robes soigneusement posé sur un rocher, leurs chaussures enlevaient et leur cheveux détachaient, les filles se précipitèrent en dessous* dans l'eau.

Lucy, assise dans l'eau s'amusait à éclabousser les filles. Susan, l'eau jusqu'aux genoux, se protéger tant bien que mal le visage avec ses mains des attaques de sa sœur. Eva avait plongé entièrement dans l'eau. Elles nageaient, s'éclaboussaient et s'amusaient dans le lac.

Après elles sortirent tremper et s'allongeaient au sol pour se faire sécher. Ensuite, Eva et Susan aimaient faire des parties de tire à l'arc. Elles avaient installé des cibles sur les arbres. Une pour chacune.
Lucy faisait l'arbitre. Parfois la jeune fille se servait de son poignard pour participer et embêter les filles. En effet, elle avait beaucoup de chance et le lancé toujours en pleine milieu.

- Tu as pas quelque chose à nous avouer Eva! Affirma Susan en brisant le silence et en mettant sa robe.
- Non je ne vois pas à quoi tu fais référence. Dit Eva en posant son carquois et revêtit ses vêtements.
- Tu ne peux rien nous cacher. Nous sommes des amie. Déclara Lucy en enfilant la sienne.
- Mais je vous le promais je ne vous cache rien les filles. Confit la princesse.
- Et ton rapprochement avec notre abruti de frère. Prosta l'ainé.
- Mais ce n'est un secret pour personne. Se défendit la fille d'Aslan.
- Certes mais tu nous à rien dit. On l'a découvert en vous voyant. Continua la plus jeune.
- Alors que Ed était au courant bien avant nous. Tu n'avais pas confiance en nous. Développa Susan.
- Je suis désolée les filles. Je ne savais pas comment vous le dire et j'avoue j'avais peur de votre réaction. Alors que Ed est venue me voir et ne m'a pas laissait d'autre choix que de lui dire. S'excusa Éva. Vous voulez bien me pardonner.
- Oui bien sûr! Dit-elle en même temps.
- Merci les filles. Câlin !

Elles se pris dans les bras et se firent un câlin.

- Alors il te plait ? Déclama Susan.
- Susan !Réprimanda Lucy. Alors? Exclama-t-elle.
- Oui je l'aime. Répondit Éva.
- Oh c'est merveilleux! On sera vraiment sœur comme ça. Déclara Lucy en sautant sur place.
- Tu lui as dit? Il as répondu quoi? Questionna Susan.
- Et bien pas directement. Je lui es dit que je l'apprécie et je lui ai offert mon collier en marque de mon affection. Répondit la jeune fille.
- Oh c'est tellement romantique. Affirma la plus jeune des Pevensie d'une voix douce en mettant ses mains sur ses joues.

Les filles rentrèrent au château sur leur cheval. Les deux sœur avait finalement trouvé une monture. Le cheval de Lucy se nommer Alexandre et la jument de Suzanne se prénommée Elisabeth.

- Firenze je peux te parler? Demanda Eva à son ami en l'interpella dans le couloir.
- Oui bien. Je serai toujours la pour toi, ma douce amie. Répondit le centaure. L'appellation fit rire son amie. Qu'est-ce ce que tu voulais me dire ?
- A vrai dire rien de particulier juste passe du temps avec mon meilleur ami comme avant. Avoua la jeune princesse.
- Très bien. Alors, on fait la course jusqu'à notre endroit préféré. Cria Firenze en partant presque en courant.
- Tu riche! Caly est pas avec moi. Prosta la fille d'Aslan.
- Vas la chercher et rattrape moi. Continua t'il de crié.
Eva s'empressa d'aller chercher sa jumeau et rattrape son ami.

Une fois, arrivé à la souche d'arbre, Eva descendit de sa monture pour s'y asseoir. Firenze se plaça en face d'elle.

- Alors, la jeune princesse s'est entiché du grand roi. Plaisanta le centaure. La remarque fit sourire l'intéressé.
- C'est exacte. Tu es sûr que ça ne te gêne pas de parler du sujet. S'assura la jeune fille.
- Non plus maintenant. J'ai accepter la chose. Et puis je n'aurais pas abordé le sujet dans le cas contraire. La rassure-t-il.
- Firenze, je sais que je te l'ai déjà dit mais je voulais te le dire encore une fois. Je suis fière d'avoir un ami tel que toi à mes côté. Je ne pourrais jamais trouvé d'ami plus formidable dans le monde et au delà. Je ne veux que toi comme meilleur amis. Je t'aime Firenze. Déclara Eva en s'approche de lui.
- Et Edmund? Demanda le fils d'Oreius sur le ton de l'humour.
- Oh Firenze ne fait pas l'enfant. Tu sais que s'est différent. Il est plus comme le frère que je n'ai jamais eu. Le réprimanda.
- Je plaisantais Eva.
- T'a tous gâché. Prostat-elle en tournant le dos à son ami en signe de mécontentement.
- Oh Eva, je suis désolé. C'était plus fort que moi. Tu veux bien me pardonner. La princesse croisa les bras sur sa poitrine et leva la tête et emi un petit bruit de contrariété.
Le centaure tourna son amie vers lui, mis ses main sur ses épaules et la regarda dans les yeux et déclara :
- Eva, tu sais mieux que personne comment j'ai parfois des difficultés à exprimer mes sentiments. Je préfère ne rien dire et attendre que ça éclate ou le prendre sur le ton de la plaisanterie. Mais à toi je veux le dire. Tu es une amie extraordinaire et je suis extrêmement chanceux de t'avoir près de moi. Sache que moi non plus je ne veux pas d'autre amie que toi. Je t'aime Eva. La jeune princesse décroisa les bras et sauta dans ceux de son ami.
- Tu vois quand tu veux. Lui dit-elle en lui donnant un coup de point amical dans le bras. Il souris.

Les deux amis s'allongèrent sur l'herbe, main dans la main et les yeux levait au ciel jusqu'à la fin de l'après-midi.

- Comme avant ! Murmura Eva.

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Un nouveau chapitre.
Bizz Evanna.

* Dessous : mots élégants fessant allusion aux sous vêtements. Ils peuvent êtres de toute sorte ( haut et short ou robe simple un peut comme une chemise de nuit).