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Chapitre bonus : Petites histoires

À la base ces petits trucs devaient être dans l'histoire. Mais comme je ne les ai pas mis dedans et que je trouve ça dommage je les mets ici ! Ne vous attendez pas à de super trucs.

1

Damien regardait avec jalousie Thomas qui dansait au loin avec Clément. Comment Thomas pouvait-il danser avec Clément ? C'était injuste. C'était lui, le grand Damien, qui sortait avec Thomas. Pas ce mini pousse qui semblait vouloir jouer dans la cours des grands. Ça énervait le jeune homme aux billes bleus de voir son compagnon avec quelqu'un d'autre.

-Damien ?

Cyril se posa à côté de lui. Ils étaient tout les deux assis sur des chaises posées près de la piste de danse. Le rouquin regarda là où le regard de Damien était posé. Un sourire amusé s'étira sur ses lèvres.

-Ho non, ton beau prince s'est trouvé un nouveau chevalier. Dommage Dada.

Cyril explosa de rire alors que Damien grognait.

-Attention Damien si tu continues comme ça ton regard va tuer ce pauvre garçon. Tu as un beau regard assassin. C'est un ami à Thomas ?

-Oui. Regard moi ça.

Damien leva ses bras vers le duo qui dansait, sûrement un peu trop sous l'emprise de l'alcool.
Cyril rigola.

-T'es drôle Damien. T'as qu'à te lever, si t'arrives toujours à soulever ton gros boule, et aller te taper l'incruste avec eux.

Damien se leva d'un coup et lança un regard remplit de défi vers Cyril.

-Attends.

Cyril de-serra un peu la cravate qu'avait Damien autour du coup.

-Vas-y !

Damien se dirigea donc vers le duo. Thomas dansait comme un fou, tout comme Clément. Damien se demandait même si ils n'avaient pas un peu trop abusé sur l'alcool. En temps normal ils ne faisaient pas ça.
Clément trébucha et se mangea son torse en pleine face. Damien soupira.

-Salut Dami !

Clément fit un long rot et le rire de Thomas éclata. Damien retena Clément alors qu'il allait glisser parterre.

-T'étais super classe au moment de mettre la bague au doigt.

Clément se remit à danser alors que Thomas s'était arrêté.

-Tu ne veux plus de moi ?

Le sourire du petit brun s'agrandit sur ses lèvres. Damien les aimait plus que tout. Et ça même si tout de suite c'était un grand sourire idiot à cause de l'alcool qui lui faisait face. Il s'approcha de son amoureux et vint déposer ses lèvres sur les siennes. Il pouvait sentir le grand sourire qu'avait son brun.

-Je t'aime Toto. Me laisse pas seul.

Thomas se recula un peu. Son sourire était toujours aussi grand. Il releva sa main en l'aire et montra l'anneau qu'il portait.

-T'es mon mari. Depuis même pas un jour. Ça serait quand même con que je me lasse de toi dès le premier jour.

Damien fit une petite moue, ce qui fit rire son compagnon.

-Allez, viens.

Thomas tendit ses mains vers Damien qui les attrapa.

-Il se fait tard.

Damien se mit à danser doucement avec Thomas contre lui malgré la musique qui ne donnait envie que de bouger. Les deux étaient posés ensemble, dans leur bulle. Thomas dansait très mal avec l'alcool et ne tenait pas toujours droit. Damien le tenait fort contre lui.

-Je sais.

Une des mains du petit brun descendit jusqu'au bas dos.

-Tu sais ce que ça veut dire ?

Un sourire plein de sous entendus faisait face à Damien. Le rouge faisait surface sur le visage du plus grand alors que la musique prenait fin. Il allait répondre quand quelqu'un décida de faire irruption dans leur bulle, venant se coller à eux. Thomas se mit à rigoler avec Clément alors que Damien rougissait encore plus. Et voilà que maintenant Clément se mettait entre lui et son mari. On aurait presque pu croire qu'ils étaient une famille. Lui et Thomas étant les parents et Clément étant le gamin trop collant.
Le jeune homme aux billes vertes entraîna Thomas plus loin alors que celui-ci montrait son annulaire.
Effectivement, son compagnon avait trop bu. Et Clément aussi. Il se mit alors à marcher rapidement vers eux alors que les deux hommes tanguaient ensemble, leurs jambes aillant du mal à les tenir.

2

David
(Page d'un carnet)
Et
(Pendant le séjour à l'hôpital)

Un jour, David m'a dit Tu as pensé à voir un psy ? Je savais qu'il ne voulait que m'aider mais ça m'a fortement déplu et puis un rien arrivait à me contrarier. Je me suis alors tourné vers lui, un grand sourire sur le visage alors que nos amis à nos côtés ne faisaient pas attention à notre conversation. Pas même Damien qui ne participait pas à leur prise de tête. Je lui ai alors dit Bien-sûr que si, mon cher David. Après quoi j'ai mis vite fin à notre conversation et je suis parti loin. C'était en fin d'année. Après quoi je l'ai évité. Quel con je suis moi.
Voilà pourquoi j'écris maintenant. Je voulais m'excuser, David, pour ce que je t'ai fait.
J'ai vraiment réagi comme un gamin ce jour là. Mais tu ne faisais que dire la vérité tant blessante. Je ne voulais pas voir la vérité en face. Je ne voulais pas voir que ça n'allait pas. Même si ça faisait tellement longtemps que ça avait commencé. Qu'est-ce qui avait commencé ? Mes problèmes. Mes visites chez la psychologue. Puis, plus tard, chez le psychiatre.
Tous ses problèmes qui s'accumulaient dans ma vie, dans ma tête. Je ne voulais pas que tu sois témoin de tous mes problèmes. Tu en avais déjà assez avec le autres connards du lycée. Et ne t'en fais pas. Ce n'est pas ta faute si ils s'en prenait à moi. Pour eux j'étais le fou qui aimait tout ce qui bougeait. Alors ne te fais aucun souci. Si je t'ai dit que c'était de ta faute c'était juste parce que j'étais énervé ou que j'avais peur.

David, je t'aime. T'es mon ami le plus précieux. Et franchement je m'en veux de t'avoir tourné le dos.
(#NOHOMO). Désolé. J'ai essayé de faire un peu d'humour. Et moi j'suis pas Homo. Y'a pas que les hommes que j'aime...

Bref. Excuse moi.

Tu te souviens quand je me rapprochais doucement de Damien. T'étais le premier, et sûrement le seul, à me soutenir et à me rassurer. J'avais peur. J'avais peur de ce qui pourrait arriver avec lui. Et toi tu me rassurais. Tu me disais même que t'étais prêt à lui casser les genoux si il me faisait du mal. Franchement on ne pouvait pas avoir mieux comme ami.
J'espère que tu pourra toujours me considérer comme un ami. Ou même rien qu'une connaissance. Mais je ne veux pas que toi et moi redevenions de simples inconnus. Je ne veux pas qu'on retourne à la case départ, ça me ferait trop peur.

Merci. David. Pour tout ce que tu as fait et pour m'avoir supporté au lycée. Et même au moment où j'écris ça.

----

David releva son regard vers Thomas. Des larmes tombaient le long de ses joues. Son regard était flou, tout comme la silhouette de son ami dans le lit blanc.
David n'hésita pas et vint poser son front contre le torse de son ami. Celui-ci dormait et le jeune homme esseya d'être le plus discret possible. Il ne voulait pas le déranger alors qu'il se reposait.

-Mec. Tu savais que je ne dormais pas ?

-Thomas !

David essuya son visage alors qu'une main se posait sur sa joue pour essuyer ses larmes.

-Qu'est-ce qui ne va pas ?

Thomas avait un visage inquiet. David n'aimait pas lui mettre ce genre d'expression sur le visage. Il ne voulait pas nuire à son bonheur.

-Thomas. Je t'aime comme je n'ai jamais aimé aucun de mes amis. T'es mon putain de meilleur ami. Ne me laisse plus, ok ? Et essaye de ne plus te mette dans de mauvaises postures. J'ai vraiment cru qu'on allait te perdre. Ne te mets pas en danger pour rien. 

-Heu ok...

-Et peut importe ce que tu fais, tant que ce n'est pas contre la loi, je serais là pour te soutenir. Mon p'tit Thomas.

David vint serrer dans ses bras son ami qui ne semblait pas comprendre ce qu'il se passait.

-Ok. Alors tu veux bien aller me chercher à boire ?

3

Julien
(Page d'un carnet)

Je n'arrive toujours pas à croire ce que les gens peuvent arriver à nous faire faire. C'est ce qu'il s'est passé pour un camarade de ma classe. Je ne vais pas m'étaler sur lui.
Seulement je ne veux pas qu'on me demande pourquoi je reste avec quelqu'un qui m'embêtait au lycée.

Tout d'abord il n'a jamais participé à mon harcèlement. Et il m'a même aidé en terminale. Il m'a aidé d'une façon assez étrange. Mais il a quand même bougé son cul. Tout d'abord il a commencé à tenir tête à ceux qui dominaient un peu les autres. Julien faisait partie de ceux qui s'écrasaient parce si il ne le faisait pas il était sûr qu'ils s'en prendraient lui. Julien avait peur. Et il était un gros con également. Mais ce n'est pas pour autant qu'il était détestable. Je l'ai remit sur le bon chemin. Je lui ai même mis une bonne grosse droite. Et sans le vouloir j'ai fait de lui quelqu'un de respectable en qui on peut avoir confiance.

Aimez Julien. Soyez Julien.

4

Beau-père.
(Page d'un carnet)

Il a appelé mon animal Toc. Et vous savez pourquoi ? Je vous laisse devinez.

C'est vraiment débile et ça m'a énervé plus qu'autre chose.

Troubles obsessionnels compulsifs.

Quel con quand même.

Il a toujours été trop étouffant. Mais là c'était vraiment trop. C'est comme si chaques fois il voulait me rappeler que j'en avais.
Bien-sûr maintenant je ne les ai plus ou presque plus. J'en avais quand même beaucoup quand j'étais plus petit.

Quel con...

Mais les cons on ne les déteste pas pour autant.

5
(Après mariage)

Thomas était assis sur le canapé. Il était entrain de regarder la télé tout en faisant jouer son chaton, bougeant ses doigts près du visage de l'animal qui essayait de les attraper entre ses petites pattes.
Avoir un chaton était comme avoir un enfant en bas âge. Il fallait le surveiller tout le temps. Il faisait des bêtises toutes les deux secondes et miaulait dès qu'il se retrouvait seul. Thomas se demandait encore comment il avait fait pour finir avec avec un chaton entre les mains. Ce n'est pas comme si il était fan des chats.

-Thomas !

L'adulte releva la tête vers Damien. Celui-ci arrivait les jours rougies et un sachet dans une main qu'il tendait fièrement à son compagnon. Thomas attrapa les paquet, laissant le chaton qui laissa échapper un couinement. Damien s'approcha rapidement de l'animal et se mit à prendre une voix que le brun trouvait idiote pour parler au chaton. Thomas ouvrit ce que lui avait donné Damien et lança un coup d'œil à ce qui se trouvait dedans.

-Je dois le prendre comment quand mon compagnon me prend des médocs pour la constipation ?

Damien arrêta de jouer avec le chaton. Il le prit dans ses bras et le blottit contre lui alors qu'il s'asseyait à côté de Thomas.

-Ouvre le paquet.

Thomas lança un regard blasé à Damien avant de prendre la boîte et de l'ouvrir. À sa plus grande surprise il trouva un bout de papier.
Je suis enceinte !!
Thomas lança un regard blasé vers Damien.

-Je te hais. Tu le sais ça ? Je te hais.

-Quoi ? Tu ne veux pas de cet enfant  !? Je suis choqué !

Damien prit un air dramatique alors que le brun se relevait, lançant des regards autour de lui.

-Où il est ?

-Quoi ?

-Damien. Je suis ton mari. Rappelle-toi que je te connais par cœur. Il est où ?

Thomas lança un regard qui se voulait autoritaire vers Damien. Celui-ci posa le chat qui fila se coller contre les jambes du brun.
Damien s'en alla dans une pièce avant de revenir avec un énorme chien.

Thomas ne s'attendait pas à ça. Vivre avec Damien pouvait vraiment être surprenant des fois. Il en voyait de toutes les couleurs avec son compagnon. Ce n'était pas la première fois qu'il lui faisait le coup du "je suis enceinte". C'était la quatrième fois. Et chaques fois il avait face à des choses surprenantes. Comme maintenant. Il avait un énorme chien qui lui faisait face.
Le chaton se mit à pousser des miaulements apeurés. Thomas prit le chat dans ses bras alors que Damien jouait nerveusement avec ses doigts.

-Parle avant que tu ne te retrouves sans mari.

-Et bien... Comment dire ça ? C'est le chien d'un pote et il m'a demandé de le garder pendant une semaine.

-Damien...

-Je sais chéri, tu me hais. Mais le problème est que je lui en devait une alors j'ai été obligé de dire oui.

-Et il ne pouvait pas rester chez lui ?

-Thomas.

Damien s'approcha et vint poser ses mains sur les épaules de son compagnon avec un regard déterminé qui fit peur à Thomas. Il était dans la merde... Un Damien déterminé était un Damien déterminé. Personne ne pourrait le faire changer d'avis. Même pas lui.
Le brun tourna la tête sur le côté.

-Je te hais...

Des étoiles apparurent dans les yeux de son compagnon qui semblait avoir rajeuni d'au moins vingt ans. Un sourire vainqueur prit place sur son visage alors qu'il s'en allait gratter gentiment le haut de la tête du gros animal.

-Quel gamin...

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